Premier jour pour Caroline au cabinet Zelder et Carvani avec, en guise de bizutage, un dossier implaidable : un couple qui souhaite conserver l'enfant que la DDASS leur a confié alors que la mère naturelle, qui a tous les droits sur son fils, le réclame. Du perdu d'avance mais Caroline décide pourtant de s'accrocher, seule : au cabinet, personne n'a vraiment le temps de s'occuper d'elle, les affaires se bousculent.
Ferdino est arrêté, accusé de viol, en présence de Michèle qui est effarée. Amoureuse de lui, elle ne peut concevoir s'être trompée à ce point. Ferdino crie son innocence ; Michèle, quand même prudente, accepte d'assurer sa défense. Il apparaît vite que la moralité de Sophie Lachaume, la plaignante, n'est pas très belle. Un témoin de son passé révèle qu'elle avait déjà porté plainte pour harcèlement sexuel et s'était rétractée après avoir été payée. L'affaire étant médiatique, Michèle utilise la presse et elle parvient finalement à faire libérer Ferdino.
Le cabinet reçoit des cadeaux macabres : quelqu'un a décidé de se venger, mais qui ? Un jeune chauffard que défend négligemment Laurent ? Antoine reprend l'affaire, lui qui n'a pas fait de pénal depuis 15 ans... Michèle, perturbée par l'histoire Ferdino, tombe malade. Robert est embourbé dans une affaire de détournement d'argent, et Caroline se sent persécutée, par son ex-amant... Comment rester serein lorsque la réalité professionnelle soulève toutes les misères humaines ?
Etienne Bouchon, est un immonde serial killer, qui viole ses victimes, avant de les découper en petits morceaux. Fort heureusement, le manique vient juste d'être arrêté. Il exige que Caroline soit son avocate. Il s'agit, pour la jeune femme, d'un cas extrêmement médiatique mais professionnellement très risqué. Caroline, inexpérimentée, va donc se confronter à ce personnage plus qu'inquiétant, un homme sans morale qui n'a pas les moindres remords, pour tenter de comprendre ce qui le motive afin de bien assurer sa défense. N'ayant plus rien à perdre, le monstre se joue de son avocate, se vante, ment éhontément et donne de fausses pistes.
Un petit dealer en garde à vue supplie Caroline de prévenir sa femme, sur le point d'accoucher, qu'il a été arrêté et ne pourra pas la rejoindre à la maternité. Malgré les conseils de Robert, qui lui rappelle qu'elle n' pas le droit de transmettre des messages venant de ses clients, Caroline prévient la jeune femme... qui prévient les complices du dealer de l'imminence d'une descente de police. Caroline comprend vite qu'elle a été manipulée. Elle risque la radiation et son client, malin et retors, en profite pour la faire chanter... Elle cherche de l'aide auprès de Robert, mais celui-ci, trop occupé à reconquérir sa femme, ne réagit pas à ses appels.
Roméo, un gamin de 13 ans, est accusé d'avoir assassiné un adolescent de sa cité. Caroline doit assurer sa défense, mais comment faire vu que cet enfant ne regrette en rien son geste et s'en vante même ? En fait, elle découvre qu'il protège quelqu'un, mais qui ? Une amie de Laurent, en instance de divorce, accouche d'un enfant qu'elle a eu avec un aute homme. Mais l'ex-mari, fou de rage, reconnaît légalement l'enfant. A l'issue d'une vérification des groupes sanguins, la véritable identité du père est révélée. Au cabinet, Michèle a donné sa démission mais elle se sent plus seule que jamais. Le divorce de Robert se passe plutôt mal et Laurent se demande s'il est vraiment fait pour le métier d'avocat.
Caroline a rompu avec son amant, le juge d'instruction Mathieu Védrine. Mais celui-ci très amoureux, prend très mal la chose et décide de se venger. Il s'arrange pour rendre la vie impossible à Caroline, en faisant traîner ses dossiers ou en retardant ses auditions. Elle frise la dépression et cherche de l'aide auprès de Robert. Mais celui-ci n'a pas le temps de la soutenir. Il défend une jeune baby-sitter d'origine camerounaise qui est accusée d'avoir tué accidentellement le bébé dont elle avait la garde et qu'elle aurait laissé tombé par terre. La mère, célibataire, est désespérée et veut que justice se fasse. La jeune baby-sitter clame son innocence et Robert ne sait que penser.
Michèle est de retour au cabinet, un retour moyennement apprécié, notamment par Robert, d'autant qu'Antoine lui a proposé de devenir associée. Laurent doit plaider sa première affaire aux Assises. L'affaire paraît simple en apparence, mais l'avocat de la partie adverse est réputé pour son intelligence et sa ruse, de quoi inquiéter et angoisser le jeune magistrat. Pour son retour au cabinet, Michèle doit parlementer avec un jeune informaticien qui s'est enfermé dans la salle des ordinateurs de son entreprise. Il accuse son patron de lui avoir volé la paternité d'un logiciel et menace de détruire tous les fichiers de l'ordinateur si ses droits ne sont pas reconnus.
Michèle doit assurer la défense d'une actrice de films X, accusée d'avoir tuée sa productrice. La comédienne prétend avoir été violée par l'un de ses partenaires et, face à l'incrédulité et aux moqueries de la productrice, a frappé cette dernière, la tuant accidentellement. Robert vient en aide à une jeune Sud-Américaine qui cherche à fuir un dangereux réseau de prostitution. Mais, malgré les menaces de mort qui pèsent sur la jeune femme, les autorités judiciaires refusent de la faire protéger.
Laurent a décidé de s'occuper plus particulièrement des affaires de banditisme, qu'il trouve plus intéressantes que les histoires de divorce ou de fusion de société. Un choix qui ravit Antoine, son père, qui n'hésite pas à lui donner des conseils. Lui-même travaille actuellement sur la défense d'une femme accusée d'avoir euthanasié son mari, une affaire qui lui tient particulièrement à coeur, sa propre épouse étant atteinte d'une maladie incurable. Alors que Robert assure la défense d'un cousin accusé d'avoir escroqué les ASSEDIC, Caroline s'occupe de son divorce, l'occasion de découvrir quelques côtés peu sympathiques du caractère de Robert.
Caroline doit assurer la défense d'un homme accusé d'avoir violé et tué une adolescente. Bien que tout l'accuse, le meurtrier présumé ne cesse de clamer son innocence et Caroline semble disposée à le croire, s'indignant déjà d'une possible erreur judiciaire. Michèle s'occupe d'une affaire de succession. Deux jeunes frères viennent de perdre leur père. Le notaire leur apprend que ce dernier, de son vivant, versait secrètement et de manière régulière une importante somme d'argent à une femme, qui n'est autre que la première épouse du défunt et dont la famille ignorait l'existence. Si les deux frères acceptent l'héritage, ils devront continuer le versement. Mais, compte tenu de l'importance des sommes, ils devront vendre la maison de famille à laquelle ils tiennent particulièrement. Michèle tente de trouver un arrangement en faisant se rencontrer les deux parties. Caroline, qui s'est finalement trompée sur son client, s'interroge sur sa capacité à être une bonne avocate, d'autant qu'une nouvelle recrue aux dents longues vient d'intégrer le cabinet...
Robert est mis en examen pour homicide involontaire. L'affaire est instruite par le juge Védrine avec qui l'accusé entretient des relations plus que houleuses. Caroline se sent prête à défendre son collègue mais le règlement le lui interdit. De toute façon, Robert, profondément déprimé, se replie sur lui-même, repoussant toute aide de son entourage. Il préfère confier sa défense à Guillaume Frances, un avocat motivé mais inexpérimenté. Antoine, de son côté, encore très affecté par la mort de son épouse, confie à son fils Laurent une affaire de moindre importance dont l'issue négative ne semble, à ses yeux, faire aucun doute. Le jeune avocat est secondé par la nouvelle recrue du cabinet, l'ambitieuse Gladys, prête à tout pour que la balance penche de son côté... Michèle, quant à elle, est chargée de défendre Lucie Florel, une jeune trisomique représentée par ses parents. Ces derniers accusent le docteur Leblois d'avoir procédé sur la jeune fille à une opération l'empêchant d'avoir des enfants... Critique : Les démêlés de Robert avec la justice, le cas d'éthique auquel est confrontée Michèle et les manoeuvres douteuses de la machiavélique Gladys, nouvelle venue au sein du cabinet Zelder... autant de péripéties menées à un train d'enfer et qui augurent d'une nouvelle saison de qualité.
Perturbé par le fiasco de sa première nuit avec Caroline, Robert fixe un nouveau rendez-vous à sa collègue... Laurent défend un détenu, Lucas Tonavel, accusé d'avoir violé son jeune compagnon de cellule. Une affaire qui révulse l'avocat, auquel son client a avoué les faits avec cynisme. Mais Gladys le convainc de tout faire pour obtenir l'acquittement de Tonavel. Par ailleurs, la nouvelle recrue, poussée par son ambition sans limite, demande à Antoine l'autorisation de partager le bureau de Caroline. Mais cette dernière se montre des plus fermes : il est hors de question de lui imposer une cohabitation avec Gladys... Critique : Problèmes personnels, dilemmes professionnels, amours contrariés et manoeuvres sournoises sont au programme de cet épisode captivant. A noter l'importance croissante du personnage de Muriel Combeau à qui la robe de l'avocate «à haïr» sied à merveille.
Michèle traverse une mauvaise passe sur le plan sentimental. Et, pour ne rien arranger, elle est chargée d'une affaire particulièrement difficile : le cas d'une femme dont le bébé est mort au cours de l'accouchement. Une négligence du personnel de la clinique obstétricale semble bien avoir provoqué le décès du nouveau-né. Mais la partie adverse s'est attaché les services d'une avocate enceinte qui ne laisse guère de chances à Michèle et sa cliente. Pendant ce temps, la plupart des avocats du cabinet mènent la vie dure à Gladys qu'ils aimeraient voir partir. En effet, ils n'apprécient pas ses méthodes douteuses ni son arrivisme. Seul Laurent continue à lui témoigner une certaine sympathie. Quant à Robert, sa maîtresse ne parvient pas à le distraire de son intérêt croissant pour Caroline Critique : Comme toujours bien construit et mené, cet épisode centré sur une affaire d'enfant mort-né pourra heurter les personnes sensibles.
Un matin, les avocats découvrent avec consternation que leur cabinet a été cambriolé : tous les dossiers d'affaires en cours ont disparu. C'est une catastrophe pour les associés, surtout pour Antoine. Un de ses clients, mafieux notoire, lui avait confié certaines preuves «brûlantes» grâce auxquelles il comptait bénéficier d'une mise en liberté... Pendant ce temps, au Palais, Robert et Caroline doivent plaider sans documents Critique : Une histoire prenante et un rebondissement sentimental inattendu sont au programme ce soir. Les habitués de la série devraient être comblés.
Laurent est passible de la correctionnelle pour s'être livré à des ébats amoureux dans un lieu public. Un de ses ex, accusé d'inceste, demande à Caroline de le défendre. Critique : Les héros de la série se trouvent salement malmenés dans cet épisode au rythme alerte, émaillé de quelques scènes de procès captivantes.
Caroline défend Pascal Augustin, un homme jaloux qui est accusé d'avoir saccagé le bar où travaille sa fiancée. Caroline parvient à obtenir sa relaxe. Mais le lendemain elle apprend que son client est revenu dans le bar et qu'il a tué son supposé rival et sa fiancée. Il est maintenant en fuite... Le lendemain, au cabinet, Caroline a la surprise d'y découvrir Pascal Augustin. Recherché par la police, cet homme aux abois, désespéré, sans argent, veut que Caroline vienne à son aide...
Robert et Caroline défendent Nathalie, une mère accusée d'actes de barbarie sur son fils. Agée de 25 ans, la mère n'a pourtant rien d'un monstre : issue d'un milieu très défavorisé, elle paraît plutôt idiote, butée, vaguement soumise. Sans raison, elle refuse de parler à qui que ce soit, même à ses avocats. Pour Robert, le cas est désespéré : la jeune femme est inexcusable, elle n'a aucune circonstance atténuante. La partie adverse, représentée par un jeune avocat brillant que Robert déteste, va les laminer ! En fait, Robert a un souci bien plus important : une jeune fille de 18 ans, Cécile, affirme qu'il est son père !
Souffrant d'une maladie grave psychologique (la dysmomorphobie), une jeune femme n'a de cesse de faire appel à des chirurgiens esthétiques pour se faire refaire le visage car elle ne le supporte pas ainsi. Mais aujourd'hui, Jacqueline est bel et bien défigurée et sombre dans la dépression. Elle ne peut plus s'occuper d'Adèle, sa petite fille. Sa mère, folle de rage contre les chirurgiens, déclenche un scandale dans la clinique en saccageant tout, avant d'être placée en garde à vue. Antoine est chargé de sa défense. Alors que la mère de la fillette est à l'hôpital et que sa grand-mère est en prison, Antoine s'occupe à merveille de la fillette et lui permet d'éviter de se retrouver à la DDASS.
Plus que jamais désireuse d'avoir enfin son premier procès aux Assises, Caroline traîne au Palais où elle rencontre Lola, une jeune fille de 17 ans. Née d'un viol, Lola demande des dommages et intérêts à son père. Tout le monde déconseille à Caroline de prendre cette affaire, sauf Alexandre d'Avila, le jeune et brillant avocat dont Caroline est éprise, qui l'incite à aller de l'avant : cette affaire est une occasion en or pour elle de se faire remarquer ! De leur côté, Laurent et Gladys dénouent une petite affaire de faux testament : un monsieur de 50 ans, qui a passé toute sa vie à s'occuper de sa maman, s'estime floué quand il doit tout partager avec sa soeur !
Laurent prend la défense d'une femme, Clara Geller, qui a tué ses maris et ses amants. C'est une femme d'une cinquantaine d'années, intelligente, complètement amorale, d'un caractère autoritaire, dur et manipulateur. L'idée de rencontrer cette «ogresse» est un challenge qui excite Laurent. Il la voit à plusieurs reprises, et il est rapidement séduit par la force de cette femme cruelle mais brillante. Au jeu des joutes oratoires, Laurent se montre finalement le moins fort. L'ogresse a tout deviné du jeune homme, ses amours, ses ambitions ou ses failles, alors que Laurent ne sait toujours pratiquement rien de sa cliente : est-elle folle ? A-t-elle tué par jalousie, par amour, par haine ou par égoïsme ?
Robert a pris à coeur la défense de Barbara, la jolie mannequin venue porter plainte contre son agence à qui elle reproche d'obliger les jeunes femmes à se prostituer. Dépressive, Barbara est aussi anorexique et sa santé décline : elle n'a plus goût à rien et pense que sa vie est fichue. Robert s'attache à elle et décide d'enquêter discrètement sur cette agence apparemment peu recommandable. Mais il se laisse entraîner par Andréa, une jeune mannequin de l'agence, avec qui il passe la nuit. S'il croyait avoir séduit la jeune femme, celle-ci le détrompe rapidement : elle a accepté de coucher avec Robert parce qu'«on» le lui avait demandé et parce qu'«on» lui a fourni en échange la coke dont elle a besoin pour sa consommation personnelle... Tandis que Michèle défend un homme politique dont on a dévoilé l'homosexualité et dont la vie est désormais brisée, Caroline essaie, en vain, de réconcilier deux parents et leur fille : celle-ci veut les assigner en justice pour défaut de soutien alimentaire.
Robert pense qu'il va pouvoir mettre à terre l'agence de mannequins. Mais celle-ci est défendue par un avocat retors et sans scrupule qui avait tout prévu ! La jeune mannequin avec laquelle Robert a couché n'a que quinze ans et demi. Robert se retrouve mis en examen pour détournement de mineure. Devant la tournure que prennent les événements, Barbara se rétracte et refuse de témoigner contre l'agence. Robert se retrouve seul, sa carrière semble terminée... Robert essaie de prouver sa bonne foi, en vain. Michèle et Caroline prennent les choses en main et parviennent à le tirer d'affaire en prouvant au juge que Robert ne pouvait pas savoir que la jeune mannequin n'avait que quinze ans et demi. D'autant qu'il s'agit surtout d'un piège monté par l'agence qui redoutait que Robert n'aille trop loin dans son enquête. Robert et Caroline fêtent cette victoire... et font l'amour. Cela se passe merveilleusement bien. Tout joyeux, Robert pense que Caroline va rompre ses fiançailles.
Gladys a décidé de prendre la défense de «l'ogresse», une femme accusée d'avoir assassiné mari et amant. Gladys va tout faire pour la faire sortir de prison avant le procès : elle voit là un bon moyen pour qu'on parle d'elle dans les journaux, et oublier Laurent avec qui elle est en train de rompre. Travaillant jour et nuit, elle parvient finalement à dénicher le petit vice de forme qui lui permet de faire libérer sa monstrueuse cliente et de devenir célèbre du jour au lendemain. Robert défend le fils d'une amie, un adolescent qui a tué sa victime parce que celle-ci refusait de se faire racketter. Pour Robert le choc est d'autant plus dur que son propre fils lui tient à peu près le même discours. Antoine s'inquiète car Michèle (qui attend un enfant de lui) ne semble pas très préoccupée par sa grossesse. Il la juge irresponsable alors qu'elle ne veut que profiter de la vie et s'amuser en vivant à droite et à gauche quelques brèves aventures sentimentales. Antoine, quelque peu jaloux, essaie de la raisonner: en vain.
Gladys se rend en prison pour y voir son père qui devrait bientôt être libéré. Mais cet homme, condamné à cause de son témoignage, n'a qu'une idée en tête : la détruire et se venger d'elle ! Un autre détenu propose à Gladys de régler l'affaire à sa façon... Caroline défend une jeune bourgeoise accusée d'avoir aidé un cambrioleur à échapper à la police. Après l'avoir lavée de tous soupçons lors du procès, elle découvre ensuite que sa cliente a menti sur toute la ligne... De son côté, Laurent, en défendant un jeune rappeur, découvre le monde du rap et des banlieues difficiles... Michèle a fort à faire, entre un Antoine inquiet et protecteur à outrance et Monsieur Bornstein, qui nie devant la juge avoir trempé dans des affaires de corruption... alors que tout prouve le contraire ! Robert, toujours déçu à l'idée que Caroline puisse aimer un autre homme que lui, essaie de s'occuper de son fils.
Michèle défend Samir, un algérien de quarante ans, qui est accusé d'avoir braqué un supermarché. L'homme est sympathique, réservé, secret... Il reconnaît les faits : il a volé par besoin d'argent et mérite d'être puni. Cette attitude étonne Michèle, qui finit par comprendre que Samir est en réalité complètement innocent. De son côté, Antoine défend une vieille dame qui affirme avoir été battue et maltraitée par l'une des infirmières de sa maison de retraite.
Le père de Gladys, qu'elle redoute tant, a vu sa remise de peine annulée... Elle apprend que le détenu qu'il a blessé est un de ses clients. Mais l'homme lui avoue s'être blessé lui-même pour ensuite accuser le père de Gladys et la faire chanter. Il lui ordonne de poster une lettre, sinon il parlera et son père sera libéré. Piégée, Gladys prend la lettre, mais ne peut se résoudre à la poster tout de suite... Le client de Robert, un pauvre marginal, est accusé d'avoir assassiné une femme. Il croupit en prison d'où il clame son innocence. Désespéré, il entame une grève de la faim. Robert, en participant à une émission télé, essaye de faire bouger les choses.
Caroline défend une jeune femme nord-africaine qui prétend avoir été mariée de force par sa famille et celle de son «mari». Elle aurait ensuite été sequestrée et violée par son époux qu'elle connaissait à peine et qu'elle n'aimait pas. Mais au cours du procès, des éléments semblent prouver qu'elle était consentante, et qu'elle a inventé tout cela pour faire mettre en prison un mari qu'elle ne supportait plus.. Robert découvre alors la vraie personnalité de sa cliente, une femme froide, égoïste, dominatrice... Michèle défend un drôle de bonhomme qui dit être en liaison directe avec des aliens d'une autre planète, et qui tabasse tous ceux qui osent mettre en doute sa parole.
Nadia, une nouvelle avocate brillante et intelligente intègre le cabinet Zelder. Mais elle souffre d'un léger handicap qui la diminue à ses yeux : elle est grosse. Tout le monde la trouve rapidement sympathique. Surtout Robert, qui est rapidement séduit par son dynamisme et son côté «bon copain». Nadia et Laurent sont chargés de défendre trois adolescentes accusées d'avoir peut-être tué un homme plus âgé de leur cité. Les gamines sont effectivement violentes, rebelles, amorales, ce qui choque Laurent peu habitué à ce genre de relations sociales.
Robert défend une superbe femme, séductrice et manipulatrice, accusée d'avoir fait assassiner son mari. Résistera-t-il à cette femme qui l'attire terriblement ? Michèle a décidé de partir au Québec avec Bertrand. Antoine ne supporte pas l'idée de voir s'éloigner sa fille Emma. Depuis sa rupture avec Alexandre, Caroline va mal...
Robert surprend tout le monde en publiant un livre sur sa vie intitulé 13, rue des Lys. Il prépare ainsi sa candidature au bâtonnat. Des tensions se nouent. Antoine voit d'un mauvais oeil que Robert déserte le bureau pour courir les cocktails. Nadia, quant à elle, défend une prostituée accusée de meurtre...
Nicolas a accepté de défendre une femme habitée par le démon du jeu. Pour assouvir sa passion, sa cliente aurait volé de l'argent à son patron. Nicolas, lui aussi habitué des salles de jeu, se retrouve ainsi face à ses propres faiblesses. Il ressent enfin le déclic qui l'aidera à vaincre sa dépendance...
Robert vient de recevoir un prix et doit répondre à de nombreuses interviews. Il charge Claire de le remplacer auprès d'un convoyeur de fonds qui attaque son employeur, lequel l'a licencié après un braquage. C'est la première affaire de Claire qui, dans un excès de zèle, frôle la subornation de témoin...
Gladys défend un infirmier suspecté d'avoir euthanasié de nombreux patients. Nadia, elle, accepte enfin de rejoindre le cabinet. Robert est furieux car il est le dernier à avoir été mis au courant. Nicolas devient plus entreprenant avec Luba, qui reste pourtant très distante et mystérieuse...
Robert traite le cas d'un individu accusé de meurtre qui le met mal à l'aise : il avait fait libérer cet homme lors d'une précédente affaire d'homicide. De son côté, Nadia prend la défense d'un dessinateur de BD qui accuse un grand groupe de lui avoir volé un dessin pour en faire son logo...
Nadia s'occupe d'une cliente qui attaque son psychiatre pour viol. Pendant ce temps, Gladys joue gros : accusée de subornation de témoin, elle risque d'être radiée du barreau. Elle est défendue par Nicolas, par ailleurs chagé d'une affaire de divorce où aucun des époux ne souhaite la garde de l'enfant...
Robert reçoit une série de photos compromettantes le représentant en compagnie de Dorine dans des positions plus qu'équivoques. Après une courte enquête et l'élimination d'éventuels suspects, ses soupçons le portent vers maître Boutard, qui a toutes les raisons de vouloir le neutraliser...
Claire traite sa première vraie affaire : elle défend une femme que son ex-mari accuse de vouloir faire exciser leur fille de 12 ans.
Robert a quelque difficulté à gérer son agenda : sa candidature au bâtonnat et sa liaison avec Dorine lui laissent peu de temps. Laurent rompt avec Adrien Varese et tente de se rapprocher de Paul. Antoine défend un jardinier accusé d'avoir enlevé le bébé de ses employeurs et Nadia s'occupe d'un écologiste...
Laurent s'occupe du cas d'un vieil homme qu'il a connu jadis et qui a tué accidentellement une jeune fille sur la route. L'affaire, bien que tragique, paraît simple, mais le juge d'instruction pense qu'il s'agit d'un homicide volontaire. Par ailleurs, il reprend la défense d'Adrien Varese...
Robert et Claire défendent un homme accusé d'avoir tué sa femme, mais l'apparition d'un témoin surprise bouleverse le procès. Nicolas représente les parents du petit Kevin qui attaquent un médecin ayant procédé à tort à l'ablation du pancréas de l'enfant. Gladys tente d'éloigner Luba de Nicolas...
Robert est arrivé en tête du premier tour de l'élection au bâtonnat, mais il n'a pas le temps de fêter l'événement : Dorine, qui vient d'être mise en garde à vue pour une histoire de plus-value, demande à Robert de la défendre. Tout le cabinet s'y met : ils ont une nuit pour trouver les éléments à décharge...
Vanessa, l'ex-assistante de direction du cabinet, est de retour. Elle prétend que la maison de repos dans laquelle elle réside depuis quelque temps est radioactive. Personne n'ose la contredire, mais personne ne souhaite non plus s'occuper de l'affaire quand Vanessa menace d'attaquer l'établissement...
Eva, une amie d'enfance de Claire, l'accompagne avec Laurent et Gladys à une soirée donnée par Marc Gillain, un ami de Laurent, procureur en vue et fils de magistrat. Le lendemain, lorsque Claire retrouve Eva, qui avait disparu, celle-ci lui confie avoir été violée par Marc Gillain. Malgré les pressions, Claire décide de défendre Eva, Laurent prenant la défense de Marc Gillain...
Dans le cadre de l'enquête sur la mort d'Adrien Varèse, Paul est arrêté et placé en garde à vue. Contrairement à ce qu'il affirme depuis le meurtre, il se trouvait bien dans le bar où Adrien a été tué. Alors que Laurent doute de plus en plus de son innocence, c'est Antoine qui assure la défense de Paul...
Robert se charge de la défense d'un client devenu hémiplégique à la suite d'un dramatique accident de voiture. Les assurances refusent obstinément de l'indemniser, alors que la vie entière de cet homme est brisée. Nadia, elle, va brillamment remporter une affaire d'escroquerie aux assurances...
Serge N'Guyen, brillant avocat d'affaires, vient de racheter l'immeuble qui abrite le cabinet Zelder et Carvani. Il a donc tout naturellement décidé d'installer ses propres bureaux dans les étages supérieurs. Jusque-là, rien de mal, mais il semble qu'il ait déjà d'autres projets moins amicaux !...
Les intentions de N'Guyen sont claires : il veut fusionner avec le cabinet Zelder et Carvani. Gladys sent qu'elle a une carte à jouer pour enfin devenir associée. Elle se rapproche donc de N'Guyen, qu'elle trouve séduisant. Pendant ce temps, Elisabeth défend une femme accusée d'avoir tué son mari...
Claire arrive enfin à dire ses quatre vérités à Gladys et pense déjà à sa future association au sein du cabinet. Par ailleurs, elle défend l'employé d'un parc d'attractions accusé d'homicide involontaire après que la nacelle d'un des manèges s'est détachée, entraînant la mort de trois enfants...
Elisabeth défend Mario Carboni, le propriétaire d'une pizzeria, accusé du meurtre de son pizzaïolo. Il l'aurait tué après avoir appris qu'il avait violé sa fille.
Laurent défend Janine Dutreuil, qui s'est constituée partie civile contre Jacques Loussier, un maraîcher chez qui elle avait placé son fils Jean-Michel, 18 ans. Gladys est contactée par la championne de tir à l'arc Sonia Galvinec, qui veut empêcher la parution d'un magazine dévoilant sa vie privée...
Gladys défend Franck Rispoli, un cadre accusé d'avoir tué l'un de ses collaborateurs lors d'une escalade en montagne organisée par leur entreprise. Franck soutient qu'il n'avait pas le choix : ils ont glissé et se sont retrouvés suspendus dans le vide, une version démentie par ses collègues...
Lorsqu'Angela quitte le cabinet après un rendez-vous avec Robert, Gladys ne peut pas s'empêcher de s'étonner que les plus belles clientes soient toujours pour lui. Elle ne sait pas qu'un an plus tôt, Angela s'appelait encore Angelo...
En arrivant à la clinique vétérinaire où elle travaille comme secrétaire, une femme s'est retrouvée face à un guépard qui s'est jeté sur elle. Laurent est chargé de la défense d'Henri Revel, l'éminent vétérinaire et patron de cette respectable clinique, accusé d'avoir omis de refermer la cage du guépard...
Après le décès de son père, Laurent hérite des parts du cabinet. Marco Simoes, en phase terminale de cancer, veut sortir de prison pour mourir. Gladys obtient sa libération, mais il est déjà trop tard. Le fils de Robert annonce à son père qu'il s'installe à Paris. Ravi de le retrouver, Robert lui propose d'habiter chez lui...
Laurent défend Guillaume Lancelot, un pompier de 24 ans, accusé d'avoir mis le feu à un immeuble. Claire s'occupe de Vanina Masson, accusée de coups et blessures sur un huissier de justice. Mais, sans prévenir, la jeune femme disparaît, et Elisabeth reprend l'affaire...
Claire a disparu. Mandaté par l'imam Shadili, Robert doit défendre Morad Saïd, accusé de tentative d'attentat dans une école. Le juge Chapelle est convaincu de sa culpabilité et Saïd est peu bavard. L'affaire semble bien mal partie...
Robert convoque les membres du cabinet pour une réunion exceptionnelle : on a retrouvé la robe d'avocate de Claire dans un square. Elisabeth défend une jeune femme qui a tué un infirmier avec une paire de ciseaux...
Après avoir sauvé une femme enceinte de la noyade, Salah Meziane a été reconnu par madame Darbois. Il s'avère qu'il a braqué son épicerie il y a quelques années, braquage au cours duquel son mari est mort d'une crise cardiaque. Salah est-il un héros ou un malfrat ?...
Gladys défend un adolescent de 16 ans qui a tué sauvagement sa mère. L'avocate est désespérée par la tournure que prend le procès : son client est mutique, et le père du jeune homme s'entête à décrire sa femme comme une mère parfaite. Les apparences se révèleront trompeuses...
Marcel Detiot, un type un peu curieux, demande à Laurent de s'occuper de lui. Il prétend avoir tué sa femme qui avait été hospitalisée pour une appendicite. L'hôpital réfute cette affirmation : pour les médecins, madame Detiot est morte d'un arrêt cardiaque. Mais le client de Laurent s'entête...
N'Guyen défend Denis Lenoir, un grand ponte de la médecine, à qui madame Chanteux a intenté un procès. Elle l'accuse d'être responsable de la mort de son fils, Sébastien. Elisabeth s'occupe de Julien Lemieux, visiblement responsable de la mort d'une jeune fille dans un accident de voiture...
Emmanuelle défend Tony Stanovic. Ce jeune boxeur a écrasé une femme enceinte alors qu'il se rendait à un match dans sa voiture de sport. Gladys est obsédée par la mort de Claire. Elle est sûre qu'elle a été tuée par Canyon et veut le prouver. N'Guyen est furieux de la voir délaisser ses dossiers...
Rose est enceinte de Thomas, ravi de cette situation. Cela ne plaît pas à Robert, qui tente de le raisonner. Jérôme Henri-Biabaud demande à Laurent d'attaquer un couple d'homosexuels possédant une boutique de piercing en face du lycée de sa fille Charlotte, adolescente en pleine rébellion contre son père...
Emmanuelle ayant besoin d'un bureau, Robert installe Rose aux archives. N'Guyen défend un grand couturier dont l'invité d'un soir est mort d'une crise cardiaque à son domicile. Gladys défend Pascaline Mancini, retrouvée inanimée aux côtés de son patron, mort d'un mauvais mélange médicamenteux...
Elisabeth défend en cour d'assises Patricia Kosic et sa mère, Monique Lherbier, qui ont tué ensemble le mari de Patricia, en prétextant la légitime défense. Rose donne sa lettre de démission à Robert. Audrey annonce qu'elle va partir. Robert apprend que Thomas et Rose viennent de se séparer...
Le cabinet Zelder et la P.J. Saint-Martin se mobilisent pour défendre Chloé Matthieu et Gladys Dupré, victimes de la même machination. Avocats des beaux quartiers et flics de la rue se livrent à un jeu du chat et de la souris sans vraiment savoir qui fait quoi. La découverte d'un corps les oblige cependant à travailler main dans la main...
Suite à l'affaire Claire, Gladys fait une dépression qui nécessite son placement en maison de repos. De son côté, Laurent voit un de ses anciens clients effectuer une étonnante démarche : selon lui, l'homme qui a été envoyé en prison, il y a quelques années, pour le meurtre de sa fille, est innocent...
Serge est dans le quartier VIP d'une prison en attendant son procès. Il a choisi Robert comme avocat et celui-ci semble beaucoup plus préoccupé que N'Guyen par cette affaire. Andrei, un mafieux russe, demande expressément que Gladys soit l'avocat de son frère. Laurent parvient à la convaincre de reprendre le travail - et cette affaire - mais elle n'est plus sûre d'être capable de l'exercer correctement...
Robert défend un chiropracteur accusé par un de ses patients de l'avoir mal manipulé et de l'avoir empêché d'obtenir un emploi. Gladys s'occupe quant à elle du divorce d'une femme qui finit par dresser un portrait exagérément négatif de son mari. Celui-ci, fou de rage, s'en prend à Gladys et à tout le cabinet. C'est Emmanuelle qui parviendra à le maîtriser...
Une jeune fille de l'Est accuse Jacques Ferrand, son compagnon, d'être son proxénète. Emmanuelle s'occupe de Carole Berthoux, une femme de vingt-sept ans accusée de mise en danger de la vie d'autrui. Son fils de quatre ans, laissé sans surveillance un dimanche, s'est tué en tombant par la fenêtre...
Gladys est odieuse avec Laurent et Jean-Bern qui ont du mal à supporter cette cohabitation. Laurent s'occupe du dossier d'un ouvrier accusé d'avoir fait sauter son usine pendant que Robert et N'guyen font face à un client inquiétant. Elisabeth assiste à l'ouverture du testament des parents d'Emmanuelle...
Gladys défend le capitaine Hérard, attaqué par sa coéquipière, qui l'accuse de dérapages dans l'exercice de ses fonctions qui auraient mis sa vie en danger. Audrey, de son côté, impose à N'guyen une cliente qui ne répond pas à ses critères habituels : une femme arabe qui veut que l'on défende son fils...
Pour son mariage, Gladys a choisi Jean-Bern comme témoin. Elisabeth défend une jeune femme de 19 ans, Berthille Dubois Béranger. Fille de diplomates, elle est accusée d'infanticide sur son nouveau-né. Elisabeth plaide le déni total de grossesse et l'accident provoqué par le choc dû à l'accouchement...
Gladys prend en main le dossier d'un garçon accusé de trafic de stupéfiants, et qui jure par tous les saints qu'il est innocent. Pourtant, la police a retrouvé de l'héroïne dans le pare-chocs de sa voiture. Pendant ce temps, Robert est pris en otage par un forcené qui a juré de se venger d'un procureur...
Au tribunal, Laurent défend François Pelletier, accusé d'avoir saboté la cuve d'une usine de produits chimiques, entraînant ainsi l'invalidité du gardien de nuit. Le prévenu semble accepter son sort avec résignation. Mais Laurent découvre que le témoignage d'un prêtre pourrait innocenter son client...
En instruction, Serge défend le docteur Béliard, accusé d'avoir fait le mauvais choix après l'accident de moto de ses deux fils, donnant la priorité aux soins au moins atteint, au détriment de l'autre, décédé depuis. Gladys, de son côté, s'occupe du divorce de Fournier, un riche homme d'affaires...
Robert prend en charge la défense d'une dénommée Laura Jamin, accusée d'avoir poussé son époux à la folie. Elle l'aurait, en effet, incité à pratiquer des jeux de rôles grandeur nature. De son côté, Gladys prend une décision irrévocable : elle veut divorcer. Mais Laurent tente de l'en dissuader...
Aux assises, Gladys a fort à faire avec le cas d'un jeune homme, Yannick, accusé d'homicide à la suite d'une agression. Il invoque la légitime défense, mais l'avocate comprend que la motivation première de cet acte criminel est en fait l'antisémitisme. De son côté, Elisabeth défend un gardien de nuit...
Robert affronte Damien Fuzati, qui défend monsieur Viot, accusé du meurtre de son associé. En mettant Robert en échec grâce à une étonnante tactique de défense, le jeune avocat impressionne Serge, l'associé de Robert, et intégre l'étude. Gladys s'occupe d'une sportive de haut niveau devenue handicapée...
Laurent est chargé d'un nouveau dossier qui va s'annoncer difficile à gérer d'un point de vue personnel. Rachid, son client, est accusé d'avoir passé à tabac un militant de la cause homosexuelle. Serge défend un certain Charles Dumayet et Damien organise une fête pour célébrer son arrivée...
Drôle de journée pour Elisabeth : son vélo est à plat un jour de grève de la RATP. Elle est ensuite mêlée à une arrestation en voiture sur une voie de bus, à un échange inopportun de dossiers avec Damien, et finit en détention pour outrage à magistrat. Pendant ce temps, malade et alité, Robert est censé faire libérer Amanda Lear, placée en garde à vue pour agression...
Elisabeth est chargée de défendre Samir Larbi accusé d'avoir tué sa proviseure de lycée. Cet adolescent à problèmes semble un coupable tout désigné, mais l'est-il réellement ? Robert s'occupe, lui, de la famille Gobillon, qui revendique un enfant mis au monde par une mère porteuse, morte pendant l'accouchement...
Gladys est en charge du dossier de Paul Delale, qui remet en cause sa paternité en raison de l'absence d'une marque héréditaire un peu particulière sur le corps de son fils. Au même moment, Suzanne, l'ancienne maîtresse de Robert, est retrouvée morte. Elisabeth et Robert sont aussitôt suspectés...
Gladys prend la défense d'Enzo, maître nageur accusé de négligence après la noyade d'un enfant ayant échappé à la surveillance de sa mère. Robert, lui, s'occupe de Stephan Leroy, employé de banque qui a ouvert le feu sur deux hommes venus attaquer son établisseme
Francis Revel vient d'être arrêté par la police alors qu'il transportait un homme ligoté dans le coffre de son véhicule. L'homme d'affaires se retrouve en garde à vue et Laurent se rend au commissariat pour assurer sa défense. Les policiers l'accusent d'être un violeur en série et espèrent des aveux...
En défendant le docteur Dumoncel, accusé de défaillance, Elisabeth retrouve Sylvain Lebec, un ancien camarade d'université. Comprenant qu'il n'est pas vraiment avocat, elle propose de lui donner un coup de pouce. Damien, lui, gère le dossier d'un lycéen accusé d'avoir crevé le pneu d'un de ses professeurs...
Serge défend Jacques Marinier, représentant en spiritueux d'une cinquantaine d'années, mis à la porte pour être remplacé par un employé plus jeune. Mais le système de défense choisi par Serge ne convient pas à son client. En effet, l'avocat prétend que Marinier a été réduit à l'état de loque humaine par son travail...
Elisabeth défend Zoni N'Guema, veuve de l'ancien dictateur de Guinée équatoriale menacée d'extradition. En épluchant le dossier, Elisabeth découvre que sa cliente est tout sauf une victime. Face au sévère juge Mandernier, Laurent défend Vincent Pouvrai, un jeune homme discret, accusé de meurtre...
Serge a décidé de donner un coup de fouet au cabinet en sollicitant les services d'un conseiller en communication. Gladys assiste une famille d'artisans plombiers dont la maison va être cédée lors d'une vente à la bougie. Elisabeth défend une femme dont le mari s'est suicidé après avoir f
Laurent retrouve le cabinet d'avocats complètement bouleversé après ses deux ans d'absence. Damien, qui est pourtant le dernier arrivé, a pris le pouvoir au sein de l'équipe. Il occupe le bureau de Serge qui a disparu depuis deux ans et dont personne ne sait où il se trouve. Gladys explore le judaïsme...
Gladys est envoyée en Biélorussie pour défendre Cécile, une jeune ressortissante française, qui est passible de la peine de mort. A son arrivée, elle découvre avec surprise que son ex-mari, Serge N'guyen, dont elle n'avait plus de nouvelles depuis des années, souhaite aussi récupérer le dossier...
Serge est de retour à Paris. Il n'a cependant pas réintégré le cabinet. Par une malencontreuse coïncidence, il se retrouve à devoir affronter Damien sur un important dossier. Parallèlement, un client de Laurent tente de le manipuler afin de s'évader du palais de justice. Parviendra-t-il à ses fins ?...
Elisabeth assiste une femme dont le fiancé est décédé. Elle se montre déterminée à obtenir l'autorisation de l'épouser post-mortem. Les méthodes autocratiques de Damien deviennent totalement insoutenables. Ses associés se réunissent et décident de comploter contre lui afin de l'évincer du cabinet...
Robert défend une femme qui s'est accusée d'un meurtre dans l'espoir d'obtenir la notoriété qu'elle recherche désespérément. Gladys use de harcèlement moral pour pousser aux aveux une femme accusée du même délit dans son entreprise. Les membres du cabinet obligent Damien à quitter les lieux...
Aux assises, Serge, qui défend deux caïds de la pègre, est en très mauvaise posture, peut-être pour la première fois de sa carrière. Contre toute attente, Damien, pourtant banni du cabinet, arrive en sauveur, lui offrant sur un plateau le témoin qui pourra faire basculer le verdict du procès...