Malgré les moins 34 degrés et les abondantes chutes de neige, les opérations forestières se poursuivent près du camp Caribou au nord du Lac St jean. Plus au nord, Réjean et Charles s’affairent à la construction d’une route de glace. Pendant ce temps, le transporteur de Steve démontre des signes de fatigue extrême et tombe en panne. Un coup dur qui risque de retarder toute la chaîne de production.
Le printemps frappe aux portes du chantier au nord du Lac St Jean. Pour nos travailleurs forestiers, l’arrivée des températures plus clémentes signifie le début d’une importante étape de transition pour eux. C’est une course contre la montre. Il faut sortir au plus vite le bois coupé de la forêt avant que les routes jusque-là gelées ne deviennent impraticables.
L’arrivée du printemps annonce aussi un arrêt momentané des travaux sur les différents sites de coupe. C’est alors le moment ou jamais de rentrer la machinerie dans les garages et de réparer tout ce qui est cassé. Mais il faut d’abord régler un problème de taille. Une abatteuse s’est enlisée dans un marécage de boues printanières. Une pelle mécanique de 80 000 livres arrive en renfort pour sortir l’engin de sa fâcheuse position. L’opération sera titanesque.
Le métier de camionneur forestier est un rouage essentiel au bon fonctionnement de l'industrie. Luc Fortin offre un tour de camion planétaire hors-norme. Pendant ce temps, Charles inaugure son nouveau bulldozeur géant avec la construction d'une route forestière. Aussi, Jessy explore un secteur totalement dévasté par un feu de forêt.
Dolbeau-Mistassini. À l’extrême nord du Lac St Jean. Plusieurs défis de taille attendent nos travailleurs forestiers. Charles se voit confier le mandat de construire un chemin d’été par - 40. La tâche est colossale. Il doit se battre contre le froid, la glace et la neige. Pendant ce temps, Jessy inspecte un secteur ravagé par les feux de forêt pour y récupérer le bois encore sain. Mais le temps presse. Le printemps arrive.
La fin de l’hiver signale le début de la saison des réparations des machineries forestières. Mais le temps presse. Cette année, les entrepreneurs ne disposent que de cinq semaines pour mettre à niveau leur mécanique. C’est bien peu. Pendant ce temps, un groupe d’étudiants en foresterie débarquent en pleine forêt pour tester leur choix de carrière. Dur contact en vue avec la réalité!
C’est la reprise des travaux sur les grands chantiers forestiers. Les chemins forestiers sont en piteux états et les équipes n’ont pas eu assez de temps pour se réparer. Un petit bout de tuyau brisé donne tout un mal de tête aux mécaniciens. De son côté, Charles travaille sur un terrain à moitié dégelé et il en paie le prix. La machine tout comme l’homme. Et surprise : un camp forestier est la cible de vandales.
Charles, aux commandes de sa nouvelle pelle hybride, s’attaque à un chantier de route forestière qui va demander beaucoup de savoir-faire. Il doit installer un ponceau dans un secteur particulièrement boueux et instable. Pendant ce temps, l’entrepreneur Éric Fortin doit remplacer à pied levé son opérateur de chargeuse qui est malade. Et dans un chantier, la chargeuse est un équipement pivot qui doit fonctionner jour et nuit.
Dany et son équipe déménagent dans un nouveau secteur, c’est une course contre la montre pour repartir les opérations. De son côté, Charles fait la leçon à de futurs employés tandis qu’ une recrue de 22 ans prend les commandes d’une abatteuse pour la première fois de sa vie. Et une rareté sur le chantier, un entrepreneur achète un camion de service flambant neuf fait sur mesures.
Éric Fortin fait un essai routier avec un camion planétaire accidenté, mais les choses ne se passent pas comme prévu. Barrage routier sur le chemin forestier principal, on s’attaque aux grands excès de vitesse et aux manques de communications radio. Et on suit un Français qui a tout laissé derrière pour venir travailler dans la forêt québécoise.
Le scarificateur, une des machines les plus spectaculaires de l'industrie forestière, fait son entrée sur le chantier. L'épisode présente aussi une visite guidée du camp Daniel, à 200 km au nord de Dolbeau-Mistassini. Charles Aubut nous parle des plus beaux moments de son enfance sur la ferme de son grand-père.