France, 1667. Un an après la mort de sa mère, Louis XIV, âgé de 28 ans, tient déjà seul les rênes du pouvoir. Traumatisé par la Fronde qui avait vu les nobles se rebeller contre son père, Louis XIII, et cible de plusieurs complots, il cherche à asseoir son autorité. Germe alors en lui l’idée d’établir le siège du pouvoir hors de Paris. Il décide de l’installer à Versailles qui n’est alors qu’un relais de chasse où il aime recevoir sa cour. Il entreprend de transformer Versailles… comme on tend un piège. Son but : éloigner les nobles de Paris, les garder sous son contrôle et progressivement faire du château une prison dorée. Le somptueux palais assouvira, au passage, ses rêves de grandeur.
La reine vient d’accoucher et le palais bruisse de rumeurs sur le nouveau-né. Ses conseillers poussent Louis à entrer en guerre. Selon eux, le roi de France ne peut se contenter de regarder ses rivaux grandir et prospérer ; il doit lui aussi montrer sa puissance. Ayant toujours été élevé dans l’ombre de son frère, Philippe, duc d’Orléans, rêve de gloire et espère la trouver sur un champ de bataille. Il demande à Louis de lui offrir le droit de mener, pour lui, le combat contre les Espagnols.
Louis n’a qu’une idée en tête : Versailles. Pour les y faire venir, le roi a exigé des représentants de la haute société qu’ils lui apportent leurs titres de noblesse, seuls garants de leurs privilèges. Premier à être déchu de son titre, Montcourt sollicite l’appui du duc de Cassel, l’un des nobles les plus puissants du Nord, qui ne porte par le roi en haute estime. Louis demande à la reine de quitter le deuil pour accueillir son invité : le prince d’Assinie, capable de lui ouvrir les voies commerciales en Afrique de l’Ouest.
Louis enrage en apprenant les exploits de son frère Philippe sur le champ de bataille ; d’aucuns le considèrent comme le plus vaillant des combattants de l’armée de Sa Majesté. Et il ne décolère pas en apprenant que l’on vient d’assassiner les Parthenay, une puissante famille de nobles du Sud, qui venaient l’assurer de leur soutien. Si les routes menant à Versailles ne sont pas sûres, aucun noble ne s’y aventurera. Isolé, le roi devrait alors renoncer à son plan. Inconcevable pour le monarque qui envoie Fabien Marchal, son chef de la sécurité, mener l’enquête sur le meurtre des Parthenay et rapporter la tête des meurtriers.
Héros du champ de bataille, Philippe revient du front, transformé. Les Français, à la suite de tous les soldats, admirent ce duc d’Orléans tout auréolé de gloire. Cette reconnaissance commence à faire de l’ombre à Louis. Les routes ne sont toujours pas sûres aux abords de Versailles et les attaques de convois se multiplient. Pour célébrer le traité de paix qu’il vient de signer avec les Espagnols, le roi décide d’inviter les plus grandes familles de nobles à Versailles pour un grand divertissement. Il y convie le duc de Cassel.
La guerre finie, les soldats ont été réquisitionnés pour mener les travaux du palais de Versailles. Mais usés par la dureté de leur tâche, leurs conditions de vie et les promesses non tenues, ils se révoltent. Deux mille d’entre eux déposent les outils. Convaincu par madame de Montespan, le duc de Cassel se rend à Versailles pour assister aux festivités. Le roi vient de décréter que les nobles qui s’installeront dans les environs seront exonérés de leurs dettes. Sans château ni terre, le duc de Cassel doit se résoudre à rester.
La forte fièvre dont est victime le roi inquiète Bontemps qui ne quitte pas son chevet. Louis délire et Bontemps fait appeler son médecin. Masson propose un traitement, sa fille Claudine en suggère un autre. On réunit également en urgence le « Cercle du Roi » composé des membres de son entourage en qui il a placé toute sa confiance. S’il arrivait malheur au roi de France, il faudrait désigner un régent. À Paris, on complote contre le roi.
Chevalier, l’un des conspirateurs, attend son heure dans les geôles de Sa Majesté. Le cerveau du complot lui rend une petite visite de courtoisie pour qu’il ne dévoile jamais l’identité des autres conjurés. Marchal lutte contre l'effet du breuvage que lui a fait ingurgiter Béatrice. Louis se révèle toujours plus fin stratège.
Louis s'interroge : a-t-il bien fait d'envoyer la frêle Henriette à Douvres, à la rencontre de son frère, le roi Charles II ? Parviendra-t-elle à remplir la mission qu'il lui a confiée ? Surtout, reviendra-t-elle saine et sauve ? A présent que le roi de Suède assure Louis de tout son soutien, il lui faut absolument l'appui des Anglais. Marchal interroge l'homme qui a cherché à tuer Henriette. Grâce aux indices récoltés, il s'engage sur une piste prometteuse. Enfin, l'influence de madame de Montespan grandit au sein de la cour, tout comme dans le coeur du monarque…
Henriette est au plus mal. Les rumeurs vont bon train. Si certains pensent qu'il s'agit d'une maladie, d'autres craignent qu'elle n'ait été empoisonnée. Dans l'urgence, on fait appeler Claudine. C'est dans la chambre du roi que celle-ci doit soigner la duchesse. Follement inquiet, Philippe accuse son frère d'être responsable de l'état d'Henriette. Apprenant la nouvelle, madame de Montespan se précipite au chevet de son amie. Marchal mène l'enquête et interroge ses suivantes et ses servantes…
Louis a tout pour être satisfait : son palais s’agrandit et suscite l’admiration du monde entier ; ses troupes se préparent à envahir la Hollande et à écraser Guillaume d’Orange, après que Fabien a sauvé le dauphin des griffes de Rohan. Pourtant, le roi reste hanté par des cauchemars, sa paranoïa augmente, tandis que son frère, Philippe, refuse de remettre les pieds à Versailles. Mais Louis trouve force et réconfort dans les bras de sa favorite, Mme de Montespan, enceinte de leur enfant, dont l'influence ne cesse de croître, au grand dam de l’entourage du roi, à commencer par la reine Marie-Thérèse. Pourtant Louis a raison d’avoir peur : les poisons se répandent à Versailles, les meurtres se multiplient, et les assassins demeurent introuvable.
L’Église se dresse contre le roi, le sommant de mettre un terme à sa relation adultère avec Mme de Montespan. L’évêque Bossuet s’allie au père Pascal, venu à la cour à la demande de la reine pour faire revenir l’ordre et la morale au palais. Mais Louis reste sourd à leurs injonctions. Il a réussi à convaincre Philippe de revenir à Versailles, ou plutôt à l’y contraindre, en lui rendant le chevalier de Lorraine qu’il avait envoyé en exil en Italie. En retour, Philippe doit épouser la femme que Louis lui a choisie : la princesse Palatine. Fabien poursuit son enquête sur les poisons avec l’aide de Sophie qui espionne pour lui dans les salons. Madame de Montespan craint que le roi se désintéresse d’elle lorsqu’elle aura accouché. Elle s'emploie à conserver son amour grâce aux conseils et aux aphrodisiaques que lui procure Mme Agathe.
Les poisons ne cessent de se répandre et l’enquête de Fabien est au point mort. Les décisions du roi sont critiquées, comme la nomination de Cassel au poste de ministre de la Justice. Pour s’assurer de garder Cassel sous complète surveillance, Louis décide de le marier à Sophie, qui trouve du réconfort auprès de la princesse Palatine dont elle est devenue la dame de compagnie. Le mariage de Philippe et de Palatine est célébré, mais Philippe, sous la pression de Chevalier, est incapable d’accomplir son devoir conjugal… À la cour, Madeleine de Foix s’insurge contre la nomination de Cassel : elle avait pourtant tout mis en œuvre pour que le poste revienne à son fils, Gaston ! Madame de Montespan fait venir à la cour son amie, l’humble Mme Scarron, pour qu’elle devienne la gouvernante de son enfant.
Madeleine de Foix est jetée en prison pour meurtre par empoisonnement. Avant son dernier souffle, elle envoie Gaston chez la seule personne qui pourra l’aider à retrouver un statut à la cour, Mme Agathe. Au palais, l’enfant de Louis et de Mme de Montespan est tombé gravement malade. Si Mme Scarron et Claudine sont très préoccupées, Mme de Montespan feint le désespoir pour ne pas se mettre le roi à dos. Louis voit cette maladie comme un signal : s’agirait-il d’un avertissement de Dieu ? Le roi étouffe, la pression de l’Église devient intolérable. À la cour, le chevalier de Lorraine se noie dans les stupéfiants et dilapide l’argent de Philippe au jeu, espérant en vain attirer l’attention de son amant. Sophie découvre à ses dépens la cruauté de son mari, Cassel, qui fait d’elle sa proie. Mais le prédateur est à son tour en danger lorsque Thomas, un jeune dramaturge embauché par le roi pour écrire l’histoire "officielle" de Versailles, l’oblige à lui livrer des informations confidentielle.
Louis est accablé par de terribles insomnies qui alimentent sa paranoïa. Il démet Fabien de ses fonctions et s’isole de plus en plus de son entourage – à l’exception de Mme de Montespan. Fabien part vivre chez Claudine pour commencer une nouvelle vie, tandis que Claudine poursuit son enquête afin de découvrir l’origine des poisons. Gaston de Foix a passé un pacte avec Agathe : revenu en grâce à la cour, il devra aider Mme de Montespan à éliminer ses ennemis, et étendre la clientèle de la sorcière. Louis décide de confier la guerre de Hollande à Philippe, au grand étonnement de tous. Mais sa paranoïa l’emporte, et soucieux d’assurer sa gloire et de fuir ce palais qui l’oppresse il décide finalement de partir lui-même sur le champ de bataille. Philippe, humilié, trouve un réconfort inattendu dans les bras de Palatine. Rongé par la jalousie, Chevalier séduit Isabelle, la jeune nièce de Colbert fraîchement arrivée à Versailles.
L’armée du roi remporte plusieurs victoires sur le front hollandais ; mais ce n’est pas assez pour Louis qui veut écraser la Hollande et mettre Guillaume d’Orange à terre. C’est sous-estimer la ruse de Guillaume qui attire Louis dans un piège et force son armée à battre en retraite. Pendant ce temps, à la cour, Marie-Thérèse assure une régence pieuse et austère. Mais son autorité est remise en question par les courtisans, à commencer par Philippe, qui endosse le rôle de roi d’un jour lors de la visite du sultan de Bijapur. Philippe se prend au jeu, poussé par Mme de Montespan, et désobéit aux ordres de la reine en organisant une soirée décadente dans ses appartements. Madame de Montespan profite de cette soirée pour pousser Isabelle, qu’elle voit comme une potentielle rivale, aux pires excès. Au village, Claudine a enfin découvert la source des poisons, mais elle a aussi attiré l’attention de dangereux criminels.
Louis et Guillaume d'Orange se livrent à un face-à-face sans merci. Dans un jeu du chat et de la souris, ils se jaugent, s'observent, se défient. Au terme de ce redoutable tête-à-tête, Louis sort enfin de la torpeur qui le paralysait et lui faisait redouter sa propre création du palais de Versailles. Chargé d'une énergie nouvelle, il retourne à la cour, laissant derrière lui ses démons. Au palais, la consternation est totale après le décès d'Isabelle. Marie-Thérèse tente de convaincre Fabien de reprendre ses fonctions de chef de la police. Madame de Montespan se sent de plus en plus isolée et commence à douter de la sincérité de son amie, madame Scarron : serait-elle, elle aussi, amoureuse de Louis ? La complicité entre Philippe et la Palatine se renforce, laissant Chevalier amer et désespéré...
Louis est déterminé à reprendre le contrôle de son palais et de sa vie. Il commence par mettre un terme à sa relation avec madame de Montespan. Humiliée devant la cour, elle se résout à l'impensable : si Dieu l'abandonne, c'est donc vers le diable qu'elle devra se tourner. La Palatine tombe très malade, faisant craindre un empoisonnement. Mais le diagnostic tombe : elle est enceinte. Le duc de Cassel, empoisonné par Sophie, se meurt à petit feu. Se sachant en sursis, il révèle à Louis les véritables intentions de Thomas. Les méfaits de Gaston de Foix finissent par se retourner contre lui lorsque le couple Maquet, épuisé par son chantage, met fin à ses jours dans les murs de Versailles. Fabien accepte de se remettre au service du roi, déterminé à venger la mort de Claudine et à mettre enfin un terme à l'affaire des Poisons...
Madame de Montespan a scellé un pacte avec le diable en participant à une messe noire célébrée par le prêtre défroqué Etienne Guibourg. Fabien et ses hommes interrompent de justesse le rite satanique, mais madame de Montespan parvient à s'échapper sans être vue. A la cour, Philippe applique assidûment les ordres de Louis et se rapproche de Thomas. Chevalier, rongé par la jalousie, est résolu à en découdre et à éliminer son nouveau rival. La joie de la grossesse de la Palatine laisse place à la détresse lorsqu'elle apprend que son peuple a été décimé par les armées du roi. Louis, accusé d'avoir autorisé le massacre du Palatinat, s'effondre : Dieu l'aurait-il définitivement abandonné ? Il se retourne vers la seule personne qui puisse lui apporter la paix intérieure, madame Scarron, devenue madame de Maintenon...
L'arrestation d'Agathe bouleverse le palais. Madame de Montespan et Gaston de Foix font profil bas alors que les gardes royaux arrêtent un à un les nobles impliqués dans l'affaire des poisons. Humiliée par sa déchéance, c'est une Montespan aux abois qui prépare sa vengeance. Thomas comprend qu'il a été démasqué et prépare son évasion avec Sophie. Philippe manque de perdre la vie en tentant de l'en empêcher, mais le chevalier de Lorraine obtient enfin sa vengeance et sauve la vie de son bien-aimé. Le mal a enfin été éradiqué de Versailles. Alors que la sorcière brûle sur le bûcher et enjoint le peuple à se soulever contre son roi tyrannique, Louis reste imperturbable...
Défait par les armées conduites par Philippe d'Orléans, le roi Léopold de Hongrie, archiduc d'Autriche, arrive au château de Versailles afin de prêter serment d'allégeance à Louis XIV. Le monarque présente à ses hôtes la galerie des Glaces qui vient d'être achevée. Pour l'inaugurer, une somptueuse fête est organisée. Madame de Montespan fomente un plan pour discréditer Madame de Maintenon de plus en plus proche du souverain français.
Philippe d'Orléans doit envoyer aux Amériques les nobles emprisonnés pour avoir trahi le roi. A la prison de la Bastille, il veut rencontrer le duc de Sullun, un aristocrate inconnu de la cour et qui porte un masque de fer. En entrant dans sa cellule, il est assommé. La reine Marie-Thérèse entretient une liaison avec l'empereur Léopold de Hongrie qui séjourne au château en attendant la finalisation des accords de paix.
Après avoir trompé son mari, la reine Marie-Thérèse d'Autriche met tout en oeuvre pour garder secret cet écart de conduite. Pendant ce temps, le roi décrète de nouveaux impôts malgré les avertissements de ses ministres et de ses conseillers. Le peuple ne parvient plus à manger à sa faim et cette mesure fait monter le mécontentement, notamment, de Parisiens. Philippe d'Orléans poursuit son enquête pour découvrir l'identité de l'homme au masque de fer.
Fabien Marchal est kidnappé et torturé par les insurgés de Paris en représailles des arrestations arbitraires ordonnées par le roi après l'attaque de l'un de ses ministres. De son côté, Philippe retourne dans la maison abandonnée au milieu des bois, où il a aperçu pour la dernière fois l'inconnu au masque de fer. Après avoir réclamé 80 % de l'Espagne et de ses territoires à la mort de Charles II, Louis XIV inquiète le pape qui craint de le voir devenir plus puissant que lui.
Madame de Maintenon revient à Versailles, ivre de pouvoir. Elle étend sa sphère d'influence et intrigue pour occuper un poste important. Elle parvient à atteindre son but quand Louis la nomme membre de son Conseil. A la cour, la présence de Di Marco, émissaire du cardinal Leto, met Bontemps en danger tandis qu'un messager du sultan ottoman fait une proposition au roi. Si Louis accepte, l'équilibre européen pourrait bien être remis en question. Philippe, de son côté, soupçonne le Vatican d'être impliqué dans l'énigme de l'homme au masque de fer. Il doit se méfier : ses investigations pourraient lui nuire.
Après la mort de Marie-Thérèse, Louis cherche à marier sa nièce au roi Charles d'Espagne et complote avec les Ottomans. Comme à son habitude, il entend, par ces manoeuvres diplomatiques, asseoir la position de la France sur le continent européen. Léopold et l'émissaire papal, le cardinal Leto, sont reçus à Versailles pour assister aux funérailles de la reine. L'événement marque les consciences. Pendant ce temps, Philippe et Marchal poursuivent leur enquête et découvrent l'impensable concernant l'homme au masque de fer. Ils soupçonnent un scandale d'Etat qui risque de faire vaciller le pouvoir royal.
Louis et Philippe veulent rencontrer la sage-femme qui se serait occupée de leur frère aîné. Pendant ce temps, Marchal et ses hommes traquent Sophie et Eléonore. La colère enfle dans les rues de Paris. La population, affamée et accablée par les impôts, s'échauffe. La révolte gronde. Si le roi n'agit pas dans les plus brefs délais, il risque de devoir affronter un soulèvement populaire. L'empereur Léopold apprend que l'armée ottomane marche sur Vienne. Si les Ottomans parviennent à prendre la ville, c'est tout l'édifice impérial qui s'effondrera.
Louis et son frère Philippe se demandent comment garder secrète l'identité du prisonnier au masque de fer. Les espions sont nombreux à la cour et risquent de résoudre l'énigme assez rapidement. Le cardinal Leto a perdu son atout maître, mais ne s'avoue pas encore vaincu. Il persuade Colbert et la princesse Palatine d'inviter l'infante Isabelle du Portugal à Versailles pour la marier à Louis. Si cette union se réalise, elle redéfinira les équilibres européens. Dans les rues de Paris, les graines de la révolte commencent à germer. Les agitateurs en profitent pour semer la zizanie.
Louis et Philippe s'affrontent sur le sort qu'il convient de réserver à l'homme au masque de fer. Ils ne sont pas d'accord sur les mesures à prendre. Vaut-il mieux l'éliminer, le garder au secret ou révéler son identité au grand jour ? Parallèlement, Louis accélère sa campagne d'expansion en Europe. Il souhaite aussi révoquer l'édit de Nantes, promulgué en 1598 par Henri IV, et qui accorde certains droits aux protestants. Marchal remet en question les décisions de son roi tandis que Philippe plonge, lui, dans une spirale d'autodestruction. L'infante Isabelle arrive à Versailles. L'avenir du royaume repose sur ses épaules.
Après avoir mis les protestants à genoux et déjoué les plans du cardinal Leto, Louis se sent invincible. Mais la France est divisée, et Louis tente de regagner la confiance du peuple. Il doit agir pour éviter une révolte populaire qui pourrait faire vaciller le pouvoir royal. Il espère le retour de son frère à Versailles et convoque le Dauphin pour lui enseigner l'art d’être un bon roi. Il doit penser à sa succession et ne pas laisser une période d'instabilité s'installer trop longtemps. A Paris, des rebelles fomentent un attentat contre le roi.