Le Roi Arthur surveille une bataille depuis une hauteur. Il est en compagnie des chevaliers Lancelot et Léodagan. Kay, quant à lui, sonne du cor et bouge les drapeaux pour indiquer à l'armée quelles manoeuvres elle doit effectuer. Cependant l'armée n'obéit plus et la bataille se transforme vite en débâcle pour eux. Merlin est alors appelé en renfort pour tenter de renverser la situation. Sa boule de feu, bien qu'elle touche Arthur, enflamme la tenue du chef ennemi et provoque la surprise de l'ennemi. Mais Galessin vient les avertir : les troupes font retraite, vu qu'il y a un incendie qui se propage. Arthur, dépité, rentre au château sans finir la bataille.
Arthur, Léodagan et Perceval sont isolés en forêt pendant une bataille et se cachent derrière des arbres. Ils cherchent comment se tirer de cette situation, mais Perceval suggère de très nombreuses solutions farfelues (telles qu’un allumage d’incendie pour débusquer les ennemis), et manque de les faire repérer.
Un artisan vient de livrer une table ronde commandée par Arthur. Ce dernier regrette qu’elle ne soit pas en pierre, et Breccan, l’artisan, le prévient de se méfier du cuir car cela est salissant. Plusieurs personnes, comme le père Blaise et la Dame du Lac, viennent voir le résultat et font des commentaires.
Autour de la Table ronde flambant neuve, les chevaliers discutent d’un chevalier mystère : Provençal le Gaulois. Il s’avère que c’est en fait Perceval le Gallois, qui s'est trompé en donnant son propre nom. Le mystère demeure toutefois : Provençal le Gaulois a une excellente réputation, alors que Perceval pas du tout.
Arthur, Léodagan et Bohort doivent négocier face à Attila, roi des Huns. La réunion se passe dans la salle du trône et Attila exige en premier lieu l’intégralité de l’or de Kaamelott sous peine de tout détruire. Face aux protestations du roi, et en dépit de ses terribles cris, Attila montre qu’il n’est pas aussi terrifiant que sa réputation l’affirme. Ainsi, après d’âpres négociations, le chef barbare crie victoire : il repart avec un plat cuisiné (mais froid).
Un traité de paix est sur le point d’être signé, et un garde du corps est affecté à la protection d’Arthur. Ce garde du corps, très zélé, ne quitte pas des yeux le roi, y compris lorsqu’il est au lit avec une de ses maîtresses, et menace de tuer quiconque s'approche trop près de lui et pourrait ainsi menacer sa sécurité.
Guenièvre et sa mère ont convoqué un barde au dîner, qui leur chante les nouvelles du monde. Les chansons sont atroces et les nouvelles sont vagues, y compris une qui concernerait la mort d'un roi, peut-être le roi Loth d'Orcanie. Mais le barde ne parvient pas à se souvenir de qui il s'agit exactement.
Arthur se fait entrainer par son maître d’armes, qui stimule le combat en insultant copieusement le roi. Ce dernier n’apprécie guère, et le fait savoir. Le maître d'armes, dévoué à son roi, lui explique que sans les insultes, il leur serait difficile d'avoir envie de se battre l'un contre l'autre. Il exhorte Arthur à suivre son exemple. Arthur entre un peu trop bien dans le jeu : il utilise des blessures intimes du maître. Cela stimule d'autant plus les combattants.
Des barbares sont aux portes du domaine, et Arthur et ses chevaliers s’apprêtent à partir les chasser. Mais Bohort a négocié avec eux, et a obtenu qu’ils renoncent à attaquer en échange des marais, ce qui fâche Arthur et Léodagan. En effet, pour une fois, ils étaient sûrs de gagner. D'autant plus que les terres que Bohort a cédé aux envahisseurs entourent le château. Finalement la bataille a bien lieu, mais au pied des remparts.
C’est le dîner de famille avec Léodagan, son épouse Séli, ses deux enfants Yvain et Guenièvre, ainsi que Arthur. Yvain aurait préféré aller diner chez son ami Gauvain, mais sa mère s’y oppose. Arthur se plaint alors que tous les diners en famille dégénèrent en dispute. Celui-ci n’échappe pas à la règle.
Elias de Kelliwic’h, enchanteur de Calédonie, se présente à la cour du roi et réclame la jouissance du terrain de la Butte aux Cerfs, sous la menace d'une pluie de calamités. Merlin, qui craint sa puissance, lui lance plusieurs défis que l’enchanteur de Bretagne perd les uns après les autres. Cela ne rassure pas le roi sur les capacités de Merlin.
Perceval et Karadoc ont été envoyés chez Merlin chercher une dent de requin dont il a besoin sur le champ de bataille pour lancer un sort sur l’ennemi. Les deux amis, parvenus à la taverne avec l’objet, décident apeurés par une prétendue malédiction de le faire brûler par l’aubergiste. Pendant ce temps, Merlin parvient à trouver une dent de rongeur en forêt et tente de lancer le sort. Malheureusement, celui-ci ne parvient qu’à provoquer une crise de fou rire chez l’armée adverse.
Le seigneur Jacca, que Léodagan croyait mort, vient protester contre une taxe que le royaume lui réclame, alors qu’il est noble. Les ministres d’Arthur lui répondent que c’est une taxe normale décidée pour tous les seigneurs non combattants. Jacca hésite alors entre payer, tout en se plaignant de ne pas avoir la somme, et rejoindre l’armée, tout en espérant un poste planqué.
Arthur doit signer un traité avec les Burgondes, mais l’interprète du chef ennemi prend la parole pour les dissuader de plier devant les ultimatums. Même s’il est évident que le chef burgonde flotte dans la bêtise, Arthur refuse de considérer l’avis d’un simple interprète. Contre son avis, Père Blaise décide de recruter ce dernier en tant qu’interprète burgonde officiel de Kaamelott.
Guenièvre a eu la mauvaise idée d’inviter un ménéstrel pendant le repas, si bien que Arthur n'arrive pas à se concentrer lors d’une réunion militaire capitale : une chanson lui reste dans la tête. Bien mal aidé par Merlin, qui lui conseille de chanter à voix haute, le roi ne parvient pas à oublier cette comptine.
Quand Karadoc ne comprend pas un mot, et qu’il ne souhaite pas passer pour « un gland », il répond à ses interlocuteurs : « C’est pas faux. » Perceval, instruit de cette « botte secrète », l’utilise à tort et à travers avec son amante Angharad, ainsi qu’avec le roi et Lancelot, ce qui est propice à maints quiproquos.
Quelques heures avant un assaut, gagné d’avance, contre l’ennemi, les troupes d’Arthur se réunissent en forêt et mangent une omelette, avec des champignons soigneusement cueillis par Perceval et Karadoc. Toutefois, ceux-ci ne savent pas reconnaitre les champignons dangereux, et bientôt de sérieux troubles gastriques éparpillent l’armée dans les fourrés.
Lancelot, confident de la reine, est aussi secrètement amoureux d'elle, et tente de le lui faire comprendre lors d’une entrevue, en vain. Croyant qu’il lui parle d’une femme quelconque, elle lui conseille de tuer son rival : le mari. Lancelot fait alors irruption dans la salle de bain, dans l’intention de tuer Arthur, ce qu’il ne fera pas.
Les envahisseurs sont en marche. Arthur, Léodagan, Lancelot et l’armée de Kaamelott sont en position dans une forêt, et tentent de mettre en place un plan pour encercler l’ennemi – plan qui repose en grande partie sur l’intervention de Merlin et de son sort de « mur de flammes ». Seul problème : les loups grondent pour prévenir qu’une des leurs à été victime d’une fracture. Le druide doit donc choisir entre secourir la louve ou protéger Kaamelott. Il choisira la première solution, tandis que l’armée adverse viendra se fracasser contre Arthur et ses hommes.
Yvain, fils de Léodagan et de Séli, est un jeune chevalier peu dynamique qui passe le plus clair de son temps à dormir et vadrouiller avec son ami Gauvain. Réunis autour de la Table ronde, Arthur et les parents discutent de l’avenir d’Yvain, tiraillé entre l’intimidation martiale du père et l’appui artistique de la mère.
Arthur s’aperçoit que Perceval n’a jamais été adoubé, et donc par conséquent qu’il n’est pas un chevalier et n’a pas sa place autour de la Table Ronde. Perceval, quant à lui, ne comprend pas pourquoi son armure ou son arme ne lui confère pas de légitimité. Arthur finira par adouber Perceval à la va-vite.
Calogrenant de Calédonie maudit les routes pavées qui l’ont fait chuter de cheval, en armure, au beau milieu d’une flaque. Les jambières de son armure étant rouillées, il se présente « cul nu » à la Table ronde. Alors que personne ne souhaite lui prêter une armure de rechange, le Père Blaise déclare que, suivant les règles, un chevalier ne peut rester aux réunions de la Table ronde qu’en armure ou en costume officiel. On finit par passer une couverture à carreaux à Calogrenant pour qu’il puisse se couvrir les jambes et, pour satisfaire le Père Blaise, Arthur décrète que la jupe à carreaux est désormais le costume officiel de Calédonie.
Arthur reçoit à sa table Goustan le Cruel, père de Léodagan et ancien roi de Carmélide. Goustan n’a de cesse de critiquer le comportement d’Arthur (ses excès de table, ses idées novatrices, sa sagesse, l’absence d’un héritier) mais se demande malgré tout les raisons qui poussent les habitants de Carmélide à fuir le pays. Arthur, lui, a son idée.
Pour ramener de l’argent dans les caisses du royaume, Père Blaise organise des visites guidées de Kaamelott. Lors de l’une d’entre elles, Arthur l’entend mentionner la prochaine étape de la visite : le tombeau du défunt et légendaire roi Arthur. Cette invention du prêtre, étudiée pour soustraire plus d’argent aux visiteurs en jouant sur leur émotion, n’est pas du goût du roi. D'autant plus que Perceval s'est mis en tête d'aller faire la visite également : il veut voir le tombeau.
Le Père Blaise met une touche finale à l’écriture d'une aventure d’Arthur et de Perceval, et en fait la lecture aux intéressés. Mais dans la scène finale, lors de la récapitulation des différents protagonistes, il fait mention de la reine d’une manière assez inattendue (« Guenièvre à la blanche fesse »), ce qui provoque l’ire du roi.
Arthur a convié Perceval à dîner, ainsi que le Perse Narsès, général de l’empire byzantin. Bien que cet invité soit eunuque – un mot qu'il faut expliquer laborieusement à Perceval et qui a pour conséquence de lui donner la nausée – il se montre particulièrement insistant pour voir des femmes. Et comme Arthur lui demande ce qu’il compte faire, Narsès explique qu’il se contente de regarder les ébats des autres.
Légèrement vexé par une insulte de Léodagan concernant ses compétences de chef militaire, Perceval se confie à Karadoc, qui lui recommande de ne pas se laisser faire, d’être un chevalier et de se faire considérer « en tant que tel ». Mais quand Perceval va se plaindre à Arthur, il déforme les propos de Karadoc, ce qui a pour conséquence de créer un énorme quiproquo.
Les chevaliers de la Table Ronde inaugurent une nouvelle cérémonie de prière pour honorer les morts au combat. Malheureusement, d’une part ils n’arrivent pas à se souvenir de quiconque tombé au combat, d’autre part ils refusent de mettre leur casques d’armure, car cela leur donne des « têtes de gland ».
Perceval et Karadoc souhaitent une potion de puissance, mais l’enchanteur Merlin la leur refuse après que les deux amis aient déclenché un incendie dans le château avec un parchemin de boule de feu. Ils vont alors emprunter des fioles pour concoter la potion eux-même, et le résultat sera plutôt inattendu.
Arthur apprend que Merlin ne veut pas se rendre à une fête druidique nommée le « Rassemblement du corbeau ». L’enchanteur avoue qu’il a peur de participer aux épreuves d’improvisation de blagues, et que de plus le rassemblement est « sans alcool ». Arthur, lui demande d’en raconter quelques-unes, pour finalement lui interdire de se rendre à la fête, tant son humour est navrant.
Un des prisonniers des geôles de Kaamelott réveille les habitants du château en hurlant la nuit. Il s’avère qu’il s’agit d'un ancien terroriste qui est resté emprisonné des années après la fin de sa peine. Enfermé à l'époque d'Uther Pendragon, il avait mis le feu à plusieurs édifices afin de protester contre l'alliance prévue avec les Romains. Arthur lui signale que l'alliance a été faite par lui, et que c'est plutôt une réussite pour tout le monde. Le prisonnier préfère alors rester enfermé, pensant qu'il recommencera ses attentats dès qu'il sera sorti de geôle.
Léodagan et Arthur s'étonnent de voir une fumée blanche s'élever de la forêt. Curieux, ils décident de partir voir d'où elle vient. Il s'avère en fait que ce sont les seigneur Calogrenant et Lancelot qui se sont perdus et qui attendaient de l'aide. Bien entendu ni Léodagan, ni Arthur n'a pris de carte et les voilà perdus pour plusieurs jours jusqu'à ce qu'il retrouve enfin le chemin du château.
Une bande de brigands a saccagé une partie de la cité sans rencontrer de résistance de la part des gardes, qui étaient sous le commandement de Bohort. Il s’avère en fait que Perceval et Karadoc essayaient d’apprendre un jeu du Pays de Galles aux gardes, ce qui a conduit à leur désertion. Pour ne pas dénoncer, Bohort assume ses fautes, à la grande surprise d’Arthur et du Père Blaise.
Karadoc et son frère Kadoc jouent a un jeu : le jeu du caillou. Lancelot qui passe par là se retrouve à jouer avec le frère de Karadoc pendant que celui-ci est parti uriner. La partie continue; Arthur qui cherchait Lancelot partout et le père Blaise qui leur criait dessus parce qu'ils jouaient a côté de la chapelle, se trouvent mêlés au jeu.
Ygerne révèle qu'Arthur a été élevé de 10 à 20 ans par les Romains à l'école militaire. Léodagan a honte d'avoir un roi et un beau-fils Romain. Arhtur doit répéter « Je ne suis PAS Romain! » Et explique que si Kaamelott existe et qu'on lui permet d'être le être roi de Bretagne, c'est parce que les Romains le connaissent et le respectent.
La Dame du Lac n'est pas contente. En revanche, Arthur est vraiment fatigué d'avoir à aller chercher des « objets magiques débiles dont tout le monde se fout ». Mais La Dame lui révèle que les Dieux sont exaspérés, et pour se venger, elle a ouvert une Porte du Chaos, qui laisse passer les pires créatures de l'Univers! Et c'est Perceval qui l'essaie...
Arthur et Grüdü, avec Karadoc et sa petite famille, assistent au marché du village au spectacle de marionnettes avec les personnages représentant la cour de Kaamelott. Avec Ariane et Jeanne Astier, les filles d'Alexandre, dans le rôle des filles de Karadoc. (On dirait aussi que le peuple est au courant de l'idylle naissant entre Lancelot et Guenièvre.)
Arthur rentre à Kaamelott avec Calogrenant et une escorte de soldats. Alors qu'il traverse la forêt, il se sent épié... et pour cause : tapis derrière un buisson, Lancelot l'observe. Ce dernier finit par se montrer pour annoncer au roi qu'il prend ses distances vis à vis de Kaamelott : il reprend son activité de chevalier errant et ne participera plus aux réunion de la table ronde.
Caius se présente à Kaamelott en pleine nuit. Il entretient Léodagan, Lancelot et Arthur du départ prochain des troupes Romaines de la terre bretonne (voir épisode 2.12, «Le Reclassement»). Il en profite pour voir s'il pourrait à cette occasion rester et devenir seigneur Breton. Sauf que le nom Caius en Breton, c'est Kay, comme le sonneur... Et ça fait clodo...
Forcé de se soumettre à une tradition graciant des prisonniers à Kaamelott, Léodagan décide de soumettre à son tour Arthur à une tradition de son pays lors d'une bataille en Carmélide. Arthur doit donc coucher avec la fille ainée du chef de clan vaincu, pour respecter la coutume. Cependant, "il n'en a pas envie" ...
C'est la réunion des chefs du Royaume de Logres. On attend longtemps leur arrivée pour l'Assemblée... Le maître d’armes et Grüdü sont seuls à surveiller la grande porte. Enfin assemblés, Arthur, roi de Bretagne préside et fait les présentations : Calogrenant, roi de Calédonie ; Loth, roi d’Orcanie ; Hoël, roi d’Armorique ; Ketchatar, roi d’Irlande. Il oublie de mentionner Léodagan, roi de Carmélide, et celui-ci est vexé. Ça commence bien...
Tandis que les rois de Bretagne se disputent sur la légitimité d'Arthur, le maître d'armes et Grüdü, en pleine discorde, laissent entrer malgré eux un commando de rebelles orcaniens. Arthur et ses alliés vont facilement s'en défaire en utilisant leurs objets et pouvoirs magiques. Mais cette attaque constitue un premier signe du futur complot d'Orcanie.
Arthur trouve que le personnel de Kaamelott est rare. En même temps, il s'adresse à Venec, le marchand d’esclaves, pour libérer des galériens. Mais Arthur découvre que Venec vend de nouveau les esclaves qu'il lui a achetés, et ils doivent aussi travailler ailleurs. Mais Arthur décide de les affranchir tous.
Arthur et Lancelot ont une nouvelle fois quitté le château en tenue de paysans, pour voyager en sécurité. Ils rentrent au château séparément. Une nouvelle fois, Arthur se fait capturer par ses gardes qui ne le reconnaissent pas. Et Lancelot fait son obtus : il ne veut pas le libérer avant d'être sûr que c'est bien Arthur.
Karadoc sort de sa chambre pour son goûter de 2h et Arthur en profite juste pour dire bonsoir à Mevanwi... Mais pour elle, ça ne va pas assez vite. Elle veut qu'Arthur prenne ses responsabilités. Ensuite, elle révèle à Karadoc qu'Arthur la veut et qu'il doit le provoquer en duel. Karadoc va voir Arthur en ami...
Karadoc ne veut pas faire de duel « pour une histoire de gonzesse », ce qui fait fulminer Mevanwi. Arthur exige au père Blaise qu'il trouve une faille dans la loi et dans les coutumes du pays de Vannes qui exige que Karadoc doit le tuer. (Père Blaise lui permet de faire aussi le lien avec cette situation avec celle avec Lancelot et Guenièvre...). Arthur la trouve : l'échange solennel des épouses ! Et Karadoc est fou de joie !
Demetra dit à Arthur que, malgré le respect qu'elle doit à son épouse (« la reine des putes »...), elle estime être la plus apte à prendre sa place et devenir reine. Puis Aelis lui dit que c'est elle la plus apte (elle est toujours « partante »). Puis les Jumelles aussi (sauf qu'elles vireraient toutes les autres maîtresses...). Une folle petite bataille s'en suit (une belle scène de fantaisie absurde !).
Karadoc se sent honoré d'échanger d'épouses avec Arthur (et il sera bien le temps un jour d'aller chercher Guenièvre...). Mevanwi est furieuse qu'il soit si joyeux, mais finalement elle se sent bien débarrassée. Ils célèbrent l’échange avec Arthur près du grand lac. Père Blaise proteste en traînant puisque Guenièvre n'y est pas, et malgré qu'elle n'y sera évidemment pas. Bohort craint la vengeance des dieux... Pendant ce temps, Yvain révèle à Séli et Léodagan la cérémonie... et ils en saisissent les conséquences !
Pour finir la cérémonie, il faut un druide. On va chercher Merlin (même s'il ne sait pas lire le druidique...). Léodagan et Séli, parents de l'échangée absente (fuyarde), contestent la légitimité et la validité de la cérémonie. Et craignent pour leur position à la cour... Mais la cérémonie a bel et bien lieu.
Les conséquence des agissements d'Arthur débutent (accepter les départs de Lancelot et Guenièvre, puis d'ignorer l'avertissement des dieux par la voyante, et de procéder à l'échange d'épouses). Une nuit, la Dame du Lac débarque dans la chambre d’Arthur, en forme humaine. Grelotante, elle annonce au roi que les dieux l’ont bannie. Elle n'a aucune idée comment vivre en humaine.
La Dame du Lac veut qu'Arthur trouve le moyen de la renvoyer d'où elle vient, rapidement ! Elle n'en peut plus : elle a peur du noir, elle a froid, il y a des insectes... Élias dit qu'il ne peut pas aider, et que si un ange a été banni, c'est qu'il y a eu faute, et il ne peut retourner que si la faute est réparée.
Arthur et Léodagan sont dans le milieu d'une bataille et trouvent refuge dans une cabane de Roparzh. Ou de Guethenoc... Pendant que dehors la bataille avec les Germains (ou les Wisigoths, ou les Saxons... on n'est pas sûr...) fait rage, en dedans Roparzh et Guethenoc se disputent la possession de la cabane.
Perceval explique un nouveau jeu farfelu du Pays de Galles : le jeu du Pélican. Pour commencer il faut 120 ou 130 artichauts, celui qui remporte la donne les classe du plus lisse au plus râpeux... On ne peut pas faire ritournelle (et non pas ritournelle) tant qu'il y a encore des artichauts dans la banque. Quand il explique, Perceval sent qu'on le prend pour un con. Mais Arthur, lui, le comprend.
Loth, roi d'Orcanie, arrive au camp de Lancelot pour une petite mise au point avec lui (surtout qu'il a tout payé...). Il arrive avec Karadoc, qui passait par là... pour récupérer sa femme. Première nouvelle pour Lancelot et Guenièvre (Galessin ne lui a pas dit) ! Ensuite, Loth essaie de faire un discours militaire. (Ça va vraiment bien dans le mouvement de Lancelot...)
La rencontre d'Arthur et Lancelot. Lancelot admet qu'il ne veut pas être roi de Bretagne. Pour Arthur, le Graal est la Lumière pour tout son peuple. Pour Lancelot, le Graal est pour lui, pour l'élite. Une chose est sure, chacun ne veut pas tuer l'autre. Mais entre la vie de l'autre et le Graal, ils choisiront chacun le Graal.
Guethenoc a mis feu à la grange de Roparzh, et l'autre a mis feu au cabanon du premier, ce qui a déclenché un énorme incendie de forêt. Arthur est vraiment fatigué de leur rivalité perpétuelle (« vos conneries », dit-il). On leur menace de les retirer de leurs terres. Ils font leur gros possible pour s'entendre...
Karadoc a peur tout seul dans le noir (il a peur des spectres, mais il ne laisse pas une bougie allumée parce qu'il a aussi peur des incendies...). Arthur doit rester avec lui. Karadoc rassure Arthur : il ne regrette pas l'échange. Il n'aime seulement pas être seul. Il était bien conscient bien que récupérer Guenièvre allait être difficile et il ne savait pas s'ils allaient s'entendre. Il confie à Arthur un pressentiment qui s'avère légitime : Guenièvre n'est pas bien avec Lancelot et il se peut qu'elle soit retenue de force par ce dernier.
Merlin a la mission de créer des plaques de dissimulation. Élias doute de ses habiletés, même en menuiserie. Merlin est vexé. Il lui dit qu'il est bien capable de faire... la menuiserie ! Mais il admet enfin qu'il a besoin de l'aide d'Élias pour la partie magie (et qu'à deux c'est plus sympa...). Ils réussissent, et Merlin les apporte au camp d'Arthur... mais il ne les trouve plus !
Karadoc a un souci. Il ne peut pas récupérer Guenièvre. Il voudrait que ça revienne comme avant. Il demande au Père Blaise s'il y avait un vice de forme qui annulerait l'échange d'épouses. L'absence d'une des deux femmes en serait un, mais il serait trop tard. Mais contre toute attente, Arthur est quand même d'accord d'annuler.
Arthur arrive en salle du trône où Mevanwi règne en séance de doléances. Arthur dit à Mevanwi qu'il l'aime (malgré le fait qu'elle lui tape sur le système), mais que ça ne marchera pas. Il a profité de leur liaison pour essayer de se soutirer de la situation (Lancelot, le Graal, la Bretagne...). Mais les dieux n'aiment pas leur histoire et le prouvent. Il lui annonce qu'il renonce à elle. Les maitresses (surtout Aelis) s'intéressent... Karadoc veut bien la reprendre, mais il précise à Mevanwi que c'est elle qui doit le demander.
Lancelot part pour une mission de quatre jours avec Galessin. Il attache Guenièvre à son lit « pour la protéger de la tentation de partir ». Dans une caverne, au détour d'un souterrain, ils tombent sur Arthur et Merlin ! Ils se donnent rendez-vous au soir pour un duel. Que ni l'un ni l'autre tiendra. Lancelot triomphe et s'absente de nouveau à la caverne pour finir sa mission. Arthur se fout de passer pour pleutre ; il comprend bien que Lancelot sera absent trois jours de son camp...
Les plaques de dissimulation fonctionnent parfaitement : Arthur et ses hommes attaquent le camp de Lancelot ! Victoire ! Arthur retrouve Guenièvre ficelée à son lit. Finalement, elle a bien honte. Elle lui demande ce qu'il va faire d'elle. Il lui répond « Reine de Bretagne, si ça vous tente... » Se rappelant comment elle est, et qu'Angharad reviendra aussi, il feint de regretter un peu. (Mais juste pour la forme... parce que finalement, il est bien content de la revoir...).
Loth, Galessin et Dagonet essaient de tirer au clair les conséquences de la victoire d'Arthur au camp de Lancelot, de la reprise de Guenièvre, et de la déroute de leur tentative de coup d'état. Loth abandonne Lancelot. Il ordonne un nettoyage total du camp. Loth et son groupe vont demander humblement pardon. Ça vaut mieux de passer pour des cons que de se faire écarteler... L'espion dit à Arthur que Lancelot n'est pas encore rentré. De plus, il confirme qu'on pense qu'il est en train de devenir fou : il voit un homme en noir dans la forêt qui le suit. À Kaamelott, au lac, en ce jour de solstice d'été, devant Arthur et Guenièvre, Karadoc et Mevanwi, réunis comme avant, c'est la cérémonie de baptême de Perceval. Lancelot arrive au camp et le trouve désert, Guenièvre comprise. Il est en crise. L'homme en noir le rejoint !
Le roi Loth d'Orcanie, son fils Gauvain, ainsi que les seigneurs Galessin et Dagonet font route vers Kaamelott pour demander pardon au roi Arthur. Les traitres orcaniens et Dagonet arrivent à Kaamelott. Léodagan et Calogrenant essaient de convaincre Arthur de les condamner à mort pour trahison à la couronne. La réunion diplomatique continue, le roi Loth continue à essayer de se justifier auprès d'Arthur. Le Roi Arthur n'arrive pas à se décider à mettre à mort les traitres. Karadoc et Perceval continuent sur leur idée de former leur propre clan et veulent s'établir à la taverne... A en croire sa tante et sa mère, Arthur n'est plus populaire du tout du fait qu'il ne se soit pas vengé de Lancelot.
Lancelot en a assez de se tapir "comme une araignée" dans sa grotte, et souhaite agir. Gauvain et Yvain doivent aller rejoindre le Roi à son campement pour qu'il ratifie leur appartenance à un clan autonome, et ils tremblent à l'idée de se faire attaquer par les loups ou les bandits. Merlin, poussé à bout, démissionne. Sur son chemin, il croise Yvain et Gauvain qui se croient poursuivis par un loup. A la taverne, le recrutement des membres du nouveau clan Perceval-Karadoc s'organise. Les loups hurlent autour de Kaamelott. Arthur prend ça comme un avertissement. Arthur replante l'épée dans le rocher. Léodagan et Séli s'inquiètent, beaucoup doutent que Arthur soit toujours l'élu des Dieux, et ont peur qu'un autre la retire.
Excalibur est plantée dans son rocher. A part Léodagan et Bohort, il ne reste plus de chevaliers à Kaamelott. Tous les souverains du monde connu affluent à Kaamelott pour retirer Excalibur du rocher. Arthur, Léodagan, Séli, le duc d'Aquitaine et son épouse déjeunent. Le clan de Perceval et Karadoc s'agrandit, et Perceval, Karadoc, sa fille, sa femme et Merlin sont obligés de dormir dans la même chambre d'auberge... Karadoc veut tenter de récupérer Excalibur, et Perceval, outré dans son respect au roi, s'enferme dans un tonneau et refuse d'en sortir...
Le duc d'Aquitaine est copieusement insulté par sa femme parce que celui-ci a ramené un inconnu (qui s'avère être un clodo venu quémander de la nourriture au château et que le duc a confondu avec un souverain perse) dans leur lit. Guenièvre souhaiterait crever l'abcès entre Mevanwi et elle. Loth, Galessin et Dagonet font route vers la roche où est plantée Excalibur. Le roi Loth échoue à a tentative de retirer Excalibur du rocher. Arthur se rend compte que ni le duc d'Aquitaine ni Bohort n'ont tenté de retirer l'épée du rocher. La folie de Lancelot, attisée par Méléagant, augmente. Arthur annonce la nouvelle : il n'a pas réussi à retirer Excalibur de son rocher.
Le Royaume de Logres n'a plus de roi. Arthur n'ayant pas d'héritier, il est très difficile de trouver un régent au trône de Bretagne. Arthur roupille toute la journée. Guenièvre essaie de lui trouver des loisirs puisqu'il n'a rien à faire. Le jurisconsulte a trouvé LA solution : sous un pied d'une armoire ! Le fameux texte de loi stipule que c'est la reine qui doit désigner un régent avant le quatorzième anniversaire de l'héritier. Léodagan est "officiellement" roi de Bretagne et rend les réunions de la Table Ronde obligatoire pour le peu de chevaliers qui restent à Kaamelott. Le seigneur Bohort ainsi que son frère sont assignés à une tour pour y surveiller le passage avoisinant. Séli veut que le Jurisconsulte foute le camp.
Arthur et Guenièvre font halte au quartier général de Perceval et Karadoc. La régence de Léodagan font craindre à Loth d'Orcanie et à sa cruelle femme, Anna, la levée du sursis que leur avait accordé Arthur. Arthur et Guenièvre font route avec le tavernier. Arthur et Guenièvre, accompagnés du tavernier, font halte chez Guethenoc. Arthur et Guenièvre font route avec Guethenoc vers les pâturages où Madenn garde les moutons de son père. La jeune bergère qui garde les moutons de Guethenoc révèle à Arthur que Madenn a eu des enfants, dont la plupart sont morts alors qu'ils n'étaient que nourrissons.
Bienvenue au "camp d'entraînement" du clan des Semi-Croustillants, animé par Perceval et Karadoc qui initient leurs hommes à leurs techniques de combat. Arthur et Guenièvre quittent le camp des Semi-Croustillants accompagnés d'Yvain, Gauvain et Merlin. Démétra et Arthur profitent de l'absence d'Yvain, Gauvain, Guenièvre et Merlin partis en cueillette en forêt, pour redevenir amants. Mevanwi feint de ne pas croire que l'annulation de l'échange d'épouse est officiel. Arthur retrouve dans un phare de la côte le père des Jumelles du pêcheur et, comme il ne sait pas où elles sont, lui demande si une de ses filles a été enceinte.
Arthur passe la nuit au phare en attendant le guide qui le ramènera à Kaamelott. Ygerne se plaint que Perceval, Karadoc et Léodagan se sont servis du coup de l'épée pour mettre Arthur de côté. Mevanwi exige que Karadoc, en tant que roi de Bretagne, prenne un bain, et qu'il en prenne régulièrement, comme Arthur. Karadoc prend au sérieux son travail de roi. Surtout la gestion des cuisines. Arthur est toujours perdu et doit suivre les détours pénibles de son guide Méléagant. Arthur ressent une inquiétude glaciale. Mevanwi surprend Karadoc encore encore au bain avec une maîtresse... Il lui annonce qu'Arthur est en route et qu'il l'a invité à la Table Ronde.
À Rome, au Ve siècle après Jésus-Christ, l'Empire, qui perd peu à peu de son éclat passé, décide de soumettre l'Ile de Bretagne éternellement rebelle. Le puissant Lucius Sillius Sallustius, contesté par les sénateurs, pense pouvoir redorer son blason en élaborant un stratagème pour conserver la Bretagne occupée. Il essaie, pour ce faire, de tourner l'ancien folklore indigène à son avantage en s'appuyant sur la légende d'Excalibur. Pendant ce temps, dans la milice urbaine, Arturus et Manilius, deux jeunes soldats ordinaires, pensent surtout à trouver à manger et à s'échapper de la vie monotone de leur caserne…
Le tyrannique Lancelot-du-Lac et ses mercenaires saxons font régner la terreur sur le royaume de Logres. Les Dieux, insultés par cette cruelle dictature, provoquent le retour d'Arthur Pendragon et l'avènement de la résistance. Arthur parviendra-t-il à fédérer les clans rebelles, renverser son rival, reprendre Kaamelott et restaurer la paix sur l'île de Bretagne?
Le roi Arthur rentre de campagne chez les Saxons. Pour le divertir et fêter son retour au château de Kaamelott, les chevaliers Gauvain et Calogrenant vont faire un duel. Cependant il avance très lentement, et Arthur décide d'aller manger, avec la reine Guenièvre en haut des remparts, mais il doit continuer à surveiller le duel.
Perceval conte fleurette à Angharad, et lui avoue qu'il n'est pas très intelligent. La suivante lui confie qu'elle non plus n'est pas très maligne. Ils s'apprêtent à s'embrasser quand l'écuyer de Perceval envoie une pierre sur la tête de celui-ci : il veut le prévenir de l'arrivée prochaine de la reine et de sa mère, qui recherchent Angharad. Une fois arrivées devant eux, elles interrogent Perceval sur ce qu'ils faisaient là. Perceval tente de raconter une prétendue rencontre avec la Dame du Lac pour forcer la reine à lui accorder la main d'Angharad. Mais sa façon de considérer l'alliance qui lui serait "imposée" vexe Angharad, qui refuse tout net les fiançailles.
Le bûcher sur lequel on va brûler le récemment décédé sire Ulfin est dressé, mais le feu a du mal à prendre. Le temps que le serviteur aille chercher du bois sec au château, Arthur prend la parole. Mais il se rend compte que le mort n'est pas du tout mort, et qu'il a l'air assez contrarié en le voyant. La veillée funèbre se transforme en banquet un peu plus joyeux, où Ulfin raconte à quel point il avait des relations privilégiées avec Ygerne. Si celle-ci supporte assez bien la teneur du discours, Arthur le goûte moyennement, à tel point qu'il décide de tuer le pique-assiette.
Petronius, le représentant du Pape est invité à la Table ronde, et usurpe quelque peu le rôle du père Blaise. Mais voilà que s'assoit Edern, chevalier... mais surtout femme ! Petronius rappelle que le monopole de la recherche du Graal, laissé par la Papauté à la Table ronde, s'accompagne de certaines règles, et que la participation d'une femme est hors de question. Plutôt gênés par la présence d'Edern au départ, les autres chevaliers font bloc dès que Petronius veut les faire plier devant l'autorité du Saint-Père. Edern emploie d'ailleurs un langage et des manières assez viriles, et s'en prend vertement au légat. Devant cette levée de boucliers, Petronius bat en retraite, et Arthur se déclare heureux d'accueillir Edern à la Table. Jusqu'à ce que celle-ci propose des tartes, qu'elle a faites elle-même, aux autres chevaliers.
Le roi Arthur déjeune avec ses beaux-parents et sa femme. Guenièvre mange comme un oiseau afin de préserver sa ligne. Mais Arthur dit qu'il ne s'y intéresse pas, étant donné qu'elle ne sera jamais mince, vu sa morphologie. Guenièvre est vexée. Parti sur le sujet des invasions, Léodagan insiste pour qu'Arthur intervienne. Celui-ci lui rétorque que le roi de Carmélide pourrait également intervenir, puisqu'ils sont alliés et que c'est la raison pour laquelle il a épousé Guenièvre. Celle-ci prend alors conscience qu'Arthur ne l'a pas épousé par amour.
Kaamelott, une vision fantaisiste de la légende arthurienne ? Rien n’est moins sûr… A la manière d’une enquête dont les pistes seraient les extraits, dialogues et personnages de la série, ce documentaire en six parties confronte les faits évoqués par Alexandre Astier dans Kaamelott à d’autres « sources » : historiens du Moyen -Âge et professeur de littérature médiévale viennent éclairer les mystères et les merveilles de la table ronde et de ses protagonistes. Des interventions complétées par des commentaires des acteurs et des fans de la série, ou par ceux de simples anonymes interviewés dans la rue. Premier acte de ce parcours ludique et pédagogique : les mœurs médiévales (de la polygamie à l’homosexualité), et les femmes du royaume (Ygerme, Seli et bien sûr, Guenièvre). Ou comment un mythe traverse les âges pour se ressourcer aujourd’hui à la vision d’un auteur à la fois libre et respectueux…
Le 16 février dernier, sur la grande scène de l'Auditorium, l'Orchestre national de Lyon interprétait et enregistrait "Kaamelott Opening", sous la direction d'Alexandre Astier. Formé dans sa jeunesse au Conservatoire à Lyon, l’auteur, réalisateur et acteur de la série télévisée Kaamelott (M6) est avant tout musicien. A l'occasion de la préparation du premier coffret intégral de Kaamelott, Alexandre Astier a souhaité enregistrer un générique avec un grand orchestre, qu’il dirigerait lui-même. Il s’est alors tourné vers l’Orchestre national de Lyon. Conseillé par le chef d’orchestre et corniste Eric Villevière, il a ainsi dirigé pour la première fois un orchestre national et cette nouvelle orchestration du thème de Kaamelott qu’il a lui-même composé.
1. Le duel 2.L'invasion viking 3.La bataille rangée 4.La romance de Perceval 5.Les funérailles d’Ulfin 6.Le chevalier femme 7.La carte 8.Le repas de famille 9.Le répurgateur 10.Le labyrinthe.
En Orcanie, Loth, Galessin et Dagonet essaient de tirer au clair les conséquences de la victoire d'Arthur au camp de Lancelot, de la reprise de Guenièvre, et de la déroute de leur tentative de coup d'État.
Le court métrage à l’origine de la série, réalisé et produit par Alexandre Astier en 2003. Une journée de plus à la Table ronde… Prières latines, quête du Graal… Mais aujourd’hui, rien ne va plus : le seigneur Lancelot développe un tic des sourcils. Pour ne rien arranger, le roi se rend compte qu'il est le seul à comprendre le latin. Entre Graal factice et débilité ambiante, Arthur découvre vite que ses Chevaliers de la Table ronde ne sont pas aussi vaillants et sérieux que la légende le prétend.