Le bûcher sur lequel on va brûler le récemment décédé sire Ulfin est dressé, mais le feu a du mal à prendre. Le temps que le serviteur aille chercher du bois sec au château, Arthur prend la parole. Mais il se rend compte que le mort n'est pas du tout mort, et qu'il a l'air assez contrarié en le voyant. La veillée funèbre se transforme en banquet un peu plus joyeux, où Ulfin raconte à quel point il avait des relations privilégiées avec Ygerne. Si celle-ci supporte assez bien la teneur du discours, Arthur le goûte moyennement, à tel point qu'il décide de tuer le pique-assiette.