Frontenac est à la recherche d’une phrase qui va en boucher un coin à l’émissaire anglais. Le père Brébeuf prend les grands moyens pour l’aider.
Radisson et Desgroseilliers sont chargés d’une dangereuse mission : faire signer un traité de paix à la tribu des Pétuns. Leur guide meurt soudainement : comment se débrouilleront-ils?
Inquiet de ce que l’Histoire va retenir de la colonie, Brébeuf décide de laisser aux générations futures des traces du passage des Français en Nouvelle-France.
Le barbier de la colonie a décidé de partir pour la Louisiane. Brébeuf met tout en oeuvre pour le retenir.
À cause d’une sécheresse, les colons sont menacés de famine. Madeleine de Verchères exhorte l’intendant Bigot de leur venir en aide, mais celui-ci est trop occupé à préparer un bal.
Frontenac est malade. Il hésite entre les traitements de choc de Jeanne Mance ou la médecine douce de Garakonthié.
Un détenu d’origine écossaise demande le droit de continuer à porter son kilt en prison. Craignant une émeute, le père Brébeuf demande à Frontenac de trancher.
Inspiré par le père Brébeuf, le père Lallemant essaie très fort de se faire martyriser. Mais Madeleine de Verchères vient se placer en travers de son chemin...
Pour contenter Élisabeth Bégon, Frontenac accepte d’organiser une représentation du Tartuffe de Molière. La pièce étant interdite par la censure, Monseigneur de Laval pique une sainte colère.
Pour calmer le fantôme de Champlain, Frontenac essaie désespérément de convaincre Desgroseilliers et Radisson de partir à la découverte de la mythique route des Indes.
Frontenac est à la recherche d’un nouveau bourreau pour administrer les hautes oeuvres. Le bouillant Dollard des Ormeaux propose ses services.
Pour répondre à une demande de Champlain, Frontenac débaptise le Chemin du Roy et lui donne le nom du fondateur de Québec. L’opposition se manifeste sans tarder.