Tous les jours, Jean-Michel décortique la noisette de Bernard l’écureuil et sauve René le lapin casse-cou. Mais Marcel le maire fait livrer des cacahouètes à Bernard bien plus faciles à ouvrir. Puis il charge René de faire respecter tous les panneaux d’interdiction du village. C’est réglé ! D’abord heureux pour ses amis, Jean-Michel se sent vite inutile. Albert l’ours polaire décide alors de s’inventer des problèmes…
Discrètement, Marcel le maire vole tous les doudous de ses administrés : il trouve toutes ces peluches trop sales. Il a surtout prévu de les remplacer par des beaux doudous… à son effigie ! Constatant l’odieux forfait, les habitants demandent à Jean-Michel de démasquer le voleur. Hélas, sans doudou, le super caribou se sent tout perdu. Il va devoir reprendre confiance en lui pour faire éclater la vérité.
Bernard, l’écureuil maladroit, décide de devenir un super-héros comme Jean-Michel. Équipé d’un masque, d’une cape et de bottes à ressorts, l’écureuil multiplie les catastrophes. Jean-Michel n’ose pas lui dire qu’il n’est vraiment pas fait pour être super-héros ! Albert l’ours polaire décide alors de faire mine de se mettre en danger pour faire comprendre la vérité à l’écureuil.
Bernard, l’écureuil maladroit, rêve d’apprendre à faire du vélo pour partir en balade avec Christiane la chatte. Hélas ! l’écureuil sait bien qu’il n’y arrivera jamais : il est bien trop maladroit pour un jour tenir sur un vélo... Jean-Michel propose de lui apprendre à en faire. Il ne se doute pas qu’il s’apprête à relever le plus grand défi de sa carrière de super-héros !
Jean-Michel le super caribou et Christiane la chatte qui crie tout le temps convainquent les habitants du village de participer à une journée « Miam-Miam les légumes ». D’abord réticents, tous découvrent les bienfaits des légumes. Mais Brigitte la journaliste surprend Christiane en train de manger un bonbon à la menthe. Un bonbon ? En pleine journée « Miam-Miam les légumes » ! Quel scandale !
C’est le festival du vent de Vlalbonvent ! Mais cette année, il n’y a pas de vent et c’est tout nul ! La fête va être annulée. Heureusement, Jean-Michel le super caribou arrive et brasse un peu d’air. Seulement, les habitants tirent sur la corde et, à trop vouloir bien faire, Jean-Michel commence à manquer de souffle...
C’est la Saint-Valentin à Vlalbonvent et tous les habitants reçoivent des jolies déclarations d’amour signées « bisou bisou ». Bisou Bisou ? Mais on ne le connaît pas celui-là ! Qui ça peut bien être ? Jean-Michel le super caribou et Henriette la souris mènent l’enquête et organisent une dictée pour démasquer l’auteur de ces mystérieux courriers du cœur…
Jean-Michel le super caribou se lave les dents tout en chantant affreusement mal. Dans la forêt, Mauricette la brebis entend ces horribles gargouillis et annonce à tout le village qu’il y a un monstre à Vlalbonvent… Même Jean-Michel s’en inquiète avant de découvrir le pot aux roses : le monstre, c’était lui ! Seulement, les habitants refusent de croire à ses explications. Le monstre existe, ils en sont sûrs !
Pour impressionner Brigitte la Renarde dont il est secrètement amoureux, René le lapin multiplie les exploits sur son skate-board… Jean-Michel le met en demeure : soit René porte des protections, soit le super caribou arrête de lui sauver la mise. René n’en fait qu’à sa tête et se retrouve entièrement plâtré par le docteur Taupe. Mais même dans le plâtre, René est prêt à tout pour épater Brigitte…
Christiane la chatte organise un marathon et fait promettre à Jean-Michel que la course sera un succès. Pour tenir sa parole, le super caribou va devoir convaincre Bernard l’écureuil maladroit, Henriette la souris tête en l’air et Francis l’inventeur foufou de participer à la course. Mais ils détestent tous les trois courir ! Bernard n’y arrive même pas : il tombe à chaque fois !
C’est la Saint-Marcel à Vlalbonvent ! Et Marcel le maire veut la fêter en offrant à tous les habitants des petits robots à son effigie. Il demande à Jean-Michel de déposer discrètement les cadeaux dans les maisons de chacun… Seulement, Jean-Michel doit aussi tester ses nouvelles raquettes à réaction : Francis l’inventeur y a ajouté plein de nouvelles options toutes plus bruyantes les unes que les autres...
Jean-Michel a reçu le prix du super héros de la semaine : Brigitte la renarde en fait les choux gras de son journal et provoque une véritable « Jean-Michel Mania ». Jean-Michel - qui ignore avoir gagné le prix - se demande bien pourquoi ses amis se comportent tous bizarrement avec lui. Hélas, son ignorance est prise pour un caprice de star et la presse commence à se déchaîner contre lui…
Thierry le Bram, le chanteur bien connu, est soigné par Gisèle la chamelle. Thierry décide alors d’écrire une chanson à la chamelle pour la remercier. Jaloux, Jean-Michel décide d’en écrire une aussi ! Et elle va être bien meilleure que celle de ce chanteur professionnel qui en compose depuis des années ! Non mais !
Jean-Michel a promis d’aller à la pêche avec Albert l’ours polaire. Mais il a aussi promis d’apprendre à faire du cerf-volant à Monsieur Marcel. Et Jean-Michel n’ose pas leur dire en face de peur de vexer l’un ou l’autre ! Francis le fourmilier a la solution, Jean-Michel n’a qu’à utiliser sa nouvelle invention : le yaourtophone. Avec ça, Jean-Michel pourra avouer la vérité de loin. De très loin, même…
René le lapin a encore cassé la statue de Marcel l’éléphant, le maire de Vlalbonvent. Francis le fourmilier en fabrique plein de nouvelles… en caoutchouc indestructible ! Le maire est heureux mais les statues deviennent vite incontrôlables : elles rebondissent partout dans le village comme des balles magiques. Jean-Michel va devoir affronter tous ces sautillants éléphants en latex.
Le conseil municipal de Vlalbonvent doit choisir une chanson officielle. Pour Marcel le maire, il faut choisir « Vive le vent ». Mais Christiane la chatte trouve que « Vive le vent d’hiver » c’est tout nul quand on le chante l’été. Pour elle, c’est sûr, c’est « V’la l’bon vent, joli vent, ma mie m’attend » qui doit s’imposer. Le conseil se divise et le vote repose vite sur les épaules de Jean-Michel le caribou…
Gisèle la chamelle fait une belle déclaration d’amour à son Jean-Michel. Elle l’aime, son super caribou ! Jean-Michel est ému et heureux… Mais Gisèle précise qu’elle aime aussi le « Jean-Michel tout normal qui se cache derrière son masque de super héros ». Et bref, elle voudrait bien qu’il retire son masque. Retirer son masque ? Holala ! Jean-Michel n’osera jamais ! Il est bien trop timide !
C’est l’anniversaire de Bernard l’écureuil et tous ses amis ont décidé de lui offrir une gigantesque noisette en béton. Quel beau cadeau ! Bernard en est tout foufou… Mais il se persuade qu’il s’agit d’une vraie noisette géante ! Et personne n’ose lui avouer la vérité au risque de lui briser le cœur.
Jean-Michel le super caribou vole dans le ciel quand il aperçoit Gisèle, la jolie chamelle. Elle est si jolie ! Ça le perturbe un peu… Au point qu’il en percute un oiseau. Holala ! Jean-Michel emmène l’oiseau blessé à l’hôpital. Ce n’est pas bien grave mais le caribou s’en veut tellement qu’il percute un second oiseau. Holala ! Jean-Michel est tout tourneboulé : plus jamais il n’osera voler à nouveau…
Jean-Michel le Caribou des bois veille sur son village de Vlabonvent et sur ses habitants. Une série animée pour toute la famille, adaptée des livres de Magali le Huche.
C’est la catastrophe ! La moustache de Monsieur le maire s’est envolée pour aller se coller sur le front de Bernard l’écureuil. Et l’écureuil ne veut pas la rendre : il veut devenir Monsieur le maire à la place de Monsieur le maire ! La moustache du pouvoir est désormais à lui et à personne d’autre !
Jean-Michel se met à imiter les super héros qu’il voit à la télévision et dans les bandes dessinées. Grand mal lui en prend : Gérard le hérisson grognon se moque de lui et Jean-Michel ne sait plus vraiment comment faire pour être un bon super héros. Ses amis décident alors de se déguiser en super méchants pour lui remonter le moral…
C’est l’anniversaire du premier bisou entre Jean-Michel le caribou des bois et Gisèle la chamelle du désert. Mais Jean-Michel ne trouve aucune idée de cadeau à la mesure de son amour pour Gisèle. La chamelle, elle, perd son présent en plâtrant René le lapin. C’est terrible ! Ils n’ont ni l’un ni l’autre de cadeau à s’offrir !
Jean-Michel a déchiré sa cape de super héros. Francis le fourmilier lui propose plein d’autres modèles de son invention mais Jean-Michel n’en veut pas : il veut garder sa vieille cape, même rapiécée. Hélas, sa cape se détériore de plus en plus au fil de ses aventures. Mais Jean-Michel n’en démord pas : il aime trop sa cape pour s’en séparer…
Vexé par une broutille, Marcel le maire se met à bouder et s’enferme dans la mairie. Immédiatement, le « Plan Grande Bouderie » est activé. Jean-Michel et les habitants tentent de convaincre le maire de renouer le dialogue et l’exhorte à sortir. Mais rien n’y fait : Marcel boude et le plan d’urgence s’avère vite défaillant…
Jean-Michel le caribou, Marcel l’éléphant et Albert l’ours polaire décident de faire une partie de pêche au cerf-volant. Problème : ils n’arrivent pas à se mettre d’accord sur l’heure du rendez-vous. Francis le fourmilier leur vend alors sa dernière invention : la montre synchronisée. Synchronisée ? Il suffit de bouger l’aiguille pour qu’il soit plus tôt ou plus tard et ce sur toutes les montres en même temps…
« Thierry le Bram et les bichettes », le groupe de musique bien connu, c‘est fini ! Thierry le Bram a décidé d’arrêter sa carrière et veut démarrer une nouvelle vie, à la campagne, avec l’aide de Jean-Michel le caribou des bois. Mais de leur côté, les trois bichettes préparent un nouvel album. Elles kidnappent Bernard l’écureuil pour qu’il rejoigne leur nouveau groupe : « Les bichettes sauvages » !
Bernard l’écureuil maladroit décide de libérer l’animal qui vit en lui et de devenir un écureuil sauvage. Jean-Michel s’inquiète : Bernard est bien trop maladroit pour tenir deux heures dans la campagne sans avoir de souci. Mais l’écureuil est déterminé à vivre pleinement son retour à la nature. Il court déjà tout nu dans l’herbe en poussant des cris de bête sauvage. Graou Graou !
Marcel le maire veut rouvrir la fabrique d’avions en papier qui a fait la gloire du village. Il en est certain, il va vendre des avions en papier par millions. Il demande alors à Jean-Michel de couper tous les arbres de la vallée pour préparer de la pâte à papier. Couper les arbres ? Jean-Michel est contre ! Le maire lui répond que « les arbres, ça repousse » et décide de les faire couper par Christiane la chatte…
Pour inaugurer la nouvelle place du village, Marcel le maire décide mettre la main à la pâte : il finit les travaux n’importe comment et voilà qu’il y a un petit dos d’âne au milieu de la place. Tous les habitants s’y prennent les pieds et chutent. Mais Marcel ne veut rien entendre : elle est très bien comme ça, cette place ! Les villageois chargent leur super héros du quotidien, Jean-Michel, de régler le problème.
Marcel l’éléphant se goinfre et attrape le hoquet. Un hoquet contagieux qui atteint vite tous les habitants du village… Sauf Jean-Michel, le super caribou. Lui seul va pouvoir aider ses amis à faire passer ce mystérieux hoquet. Mais comment faire ? En nous faisant peur, suggère Albert l’ours polaire. Faire peur ? Mais Jean-Michel est bien trop gentil pour pouvoir faire peur à quelqu’un !
René le lapin tombe dans la mare et découvre qu'il a pied. C'est que la mare est remplie de déchets en plastique ! Cela fait des années que Marcel le maire dit à tout le monde d'y jeter les bouteilles en plastique et tout le reste… En colère, Jean-Michel le super caribou décide de nettoyer la mare. Mais il se retrouve vite face à une montagne de plastique dont il ne sait pas quoi faire…
Gisèle la chamelle travaille à l’hôpital et réalise qu’elle gagne beaucoup moins de sous que le docteur Taupe. Elle croit d’abord à une erreur. Mais elle découvre qu’il s’agit en réalité d’un choix de Marcel le maire. Depuis qu’il a hérité de la moustache du pouvoir, on lui a toujours dit de moins payer les femmes. C’est comme ça… Mais c’est vraiment trop injuste ! Jean-Michel et ses amis décident d’en finir avec cette règle inique.
Bernard l’écureuil a une nouvelle passion : il veut devenir acteur. Seulement, il apprend qu’il zozote : le petit écureuil ne s’en était jamais rendu compte ! Pour Jean- Michel, il n’y a pas de raison que cela mette un frein à ses ambitions. Mais c’est sans compter sur Pierre-François le baudet et Gérard le hérisson qui ne cessent de se moquer de l’écureuil…
C’est la canicule dans la vallée. Tous les habitants vont à deux à l’heure, ralentis par la chaleur… Du coup, personne n’a l’énergie suffisante pour arrêter Marcel l’éléphant qui s’en va boire toute l’eau de mare. Toute ? C’est qu’il avait soif ! Résultat : Il n’y a plus d’eau dans le village. Déshydraté, Jean-Michel le super caribou ne sait plus quoi faire… Heureusement, Gisèle la chamelle est là !
C'est l'anniversaire de Bernard l'écureuil. Et il est persuadé que des noisettes géantes vont tomber du ciel pour s'offrir à lui ! Quel gourmand petit écureuil un peu rêveur que voilà ! Jean-Michel le caribou et Marcel l'éléphant tente de le raisonner. Mais Bernard n'en démord pas, d'autant qu'il a une petite formule magique pour faire apparaître les noisettes géantes : un deux trois, noisette !
À l’épicerie, Rolande la caniche se lance dans la livraison à domicile. Elle embauche Bernard l’écureuil maladroit et René le lapin foufou comme livreurs. Évidemment, les accidents se multiplient sur les routes de la vallée… Mais heureusement Jean-Michel est là pour aider René et Bernard ! Rolande l’épicière s’en frotte les mains : elle comptait sur le caribou depuis le début pour effectuer les livraisons gratuitement…
Thierry le Bram et les bichettes sont en concert sur la place du village pour l’anniversaire de Christiane la chatte. Le concert est un tel succès que tous les spectateurs perdent la voix à force de crier : les voilà tous aphones… Thierry le Bram se vexe alors de ne plus les entendre et de ne recevoir aucun compliment !
Albert l’ours polaire est bien embêté : l’arbre dans lequel il dort s’est effondré. Avec l’aide de Jean-Michel, l’ours cherche où poser son nid… Et pourquoi pas sur la statue du maire, au centre de la place du village ? C’est l’endroit parfait ! Mais Marcel le maire ne l’entend pas de cette oreille, surtout qu’Albert ronfle un peu. Un peu beaucoup même !
Épuisé par son travail à l’hôpital, le docteur Taupe décide de prendre un jour de congé. Il va pouvoir s’adonner à sa passion : le lancer d’avion en papier. Mais, myope comme une taupe, il ne voit pas que ses avions en papier provoquent accident sur accident. Jean-Michel doit faire l’ambulancier en criant « pinponpin » tandis qu’à l’hôpital, Gisèle la chamelle se retrouve vite débordée par l’afflux de patients…
Christiane la chatte décide de changer de métier : elle était professeure de sport, elle va devenir maraichère et avoir le plus beau des potagers. Mais elle motive ses légumes à coup de sifflets et de reproches, comme si elle les préparait pour les jeux olympiques ! Dérangé par tant de bruit, Albert l’ours polaire convainc Jean-Michel de l’aider : il faut absolument que Christiane entre en harmonie avec la nature…
C’est le jour du gros gros vent ! Il souffle sur la vallée chaque année le même jour à la même heure, à la seconde près. Rolande la caniche en consulte les horaires dans le livre de Papy Marcelin et y découvre une énigme pouvant la conduire au trésor de Vlalbonvent. Ni une ni deux, la caniche part à la chasse au trésor alors que le gros gros vent se lève. Jean-Michel décide de l’accompagner dans la tempête…
Jean-Michel est en plein cauchemar : il voit René le lapin partout ! C’est que les sept cousins de René se sont donnés rendez-vous pour leur journée « youhou » annuelle. Jean-Michel tente de les gérer mais les lapins casse-cous sont déchaînés. Pire : la journée ne s’arrête que si l’un d’entre eux fait une cascade « maxi-youhou » ! Une cascade « maxi youhou » ? Jean-Michel va devoir relever le défi !
Brigitte la journaliste veut quitter le village : il ne se passe jamais rien ici ! René le lapin, qui aime beaucoup la renarde, est terrorisé à l’idée qu’elle parte… Il la convainc de rester grâce à un sujet de reportage en or : Jean-Michel le super caribou ! La journaliste le suit dans son quotidien : Jean-Michel fait sa lessive, Jean-Michel se lave les dents… Ho ! Brigitte va vraiment partir s’il ne se passe quelque chose et vite !
Pierre-François le baudet se plaint d’avoir mal au front. Ça le démange, ça le lance et il s’interroge : et si une corne était en train de lui pousser ? Et s’il était… Un âne-licorne ? Le voilà tout transporté par cette idée, heureux de bientôt devenir la licorne qu’il a toujours rêvé d’être.
René le lapin perd le contrôle de son deltaplane et se crashe dans la vallée. Jean-Michel le cherche partout et ne le trouve nulle part. Marcel le maire s’inquiète… Jusqu’à ce que notre super caribou retrouve enfin le lapin dans le potager. Ouf ! Mais Marcel a eu tellement peur qu’il décide d’équiper tous les habitants de cloches. Comme ça, il saura toujours où ils sont. Jean-Michel doute que ce soit une bonne idée…
Henriette la souris de la poste égare un colis de graines destiné à Christiane. La chatte se persuade alors qu’on lui a chapardé ! Furieuse, elle décide d’interroger tout le village pour démasquer le voleur. Jean-Michel essaye comme il peut de la modérer, mais la gentillesse du caribou fait mauvais ménage avec les méthodes musclées de la chatte sauvage…
Jean-Michel le super caribou n’arrête pas d’éternuer ! Sûrement une allergie ! Et avec son super souffle, ça fait des dégâts : à chaque éternuement, il fait s’envoler les objets ou les gens, y compris son amoureuse, Gisèle la chamelle. C’est un peu dangereux ! Mais la situation devient vraiment dramatique quand Jean-Michel réalise qu’il est allergique… à Gisèle ! Leur grand amour va-t-il survivre à une telle épreuve ?
Marcel l’éléphant est insupportable : il n’écoute personne, il coupe la parole à tout le monde et il est toujours sûr et certain d’avoir raison. Mauricette la brebis propose à Henriette la souris de lui jeter un sort pour faire disparaître le mammouth primitif qui vit en lui. Henriette refuse de prime abord et quand elle accepte enfin, elle se trompe en disant le sort… Elle réveille le mammouth chez l’éléphant ! Et c’est pire qu’avant !
Jean-Michel a oublié l’anniversaire de Gisèle et il veut se racheter en lui faisant un cadeau dans l’urgence. Mais il ne sait pas quoi lui offrir. Il hésite tellement qu’il se met à discuter, dans sa tête, avec plein de Jean-Michel. Ils ont chacun une idée bien précise : des bonbons ! Non, des fleurs ! Non, des raquettes de ping-pong ! Jean-Michel se met à négocier avec tous ses doubles… qui se mettent à douter à leur tour.
Thierry le Bram, le chanteur bien connu, est en vacances. Hélas, il n’a pas l’habitude de ne rien faire et ça l’angoisse. Heureusement, ne rien faire, c’est la spécialité d’Albert l’ours polaire. Promis juré, Albert va tout lui apprendre ! Mais tout ça déplait un peu à Jean-Michel : notre super caribou préférerait profiter tout seul de sa belle amitié avec l’ours polaire. Il est un peu jaloux et ce n’est pas très gentil de sa part.
Jean-Michel part en week-end avec Gisèle la chamelle. Il est un peu inquiet de laisser les habitants sans super héros pour veiller sur eux... Et il a bien raison ! À peine est-il parti que les catastrophes s’enchaînent. Tous veulent appeler le super caribou à la rescousse… Mais Rolande la caniche les convainc de n’en rien faire. Elle est sûre que, moyennant finance, elle peut dépanner tout le monde aussi bien qu’un super héros…
Marcel le maire traverse la place et manque d’être percuté par le skate de René le lapin. Agacé, l’éléphant se met à distribuer des bons et des mauvais points à tous les habitants pour faire respecter les règles de bonne conduite. Il donne même des appréciations : Jean-Michel ? Peut mieux faire ! Gérard le hérisson ? Médiocre ! Gérard s’en roule en boule sous la table du café : il n’a jamais supporté d’être noté…
Tous les mois, Francis le fourmilier et Jean-Michel le super caribou repeignent l’herbe de la vallée en bleu. En bleu ? Mais pourquoi ? Pour retrouver René en cas d’accident, pardi ! Avec sa salopette verte, le lapin est vite introuvable dans l’herbe... Mais Gérard le hérisson râle : il préférait quand l’herbe était verte. Vexé, Francis veut quitter la vallée avec ces inventions – y compris le costume de super héros de Jean-Michel…
C’est bientôt l’hiver, les jours raccourcissent. Tout le monde déprime un peu… Francis le fourmilier présente alors sa dernière invention : un soleil gonflable ! Il l’allume et c’est le jour en pleine nuit ! Ça ne réjouit pas Albert l’ours polaire : la nature est bien faite et les oiseaux, les grenouilles et les ours ont besoin de dormir la nuit…
Rolande l’épicière découvre des briques abandonnées dans la forêt. La caniche décide de les vendre aux habitants en leur faisant croire que c’est à la mode et que c’est indispensable. Et ça fonctionne : très vite, tout le monde veut sa brique… Quitte à devoir casser sa tirelire…
Francis le fourmilier a bricolé un nouveau moteur atomique pour les raquettes à réaction de Jean-Michel. Ça tourne super malgré un petit effet secondaire : si les deux raquettes se touchent, bzit, ça fait un petit picotement et on se retrouve à flotter hors de son corps comme un fantôme. Francis dit au caribou de faire attention : ce serait un peu ballot qu’il perde son corps, c’est quand même bien pratique d’en avoir un !
Henriette la souris est amoureuse de Marcel le maire depuis toujours. Mais son cœur se brise quand elle réalise que l’éléphant ne connait même pas son prénom… Jean-Michel le caribou et Gisèle la chamelle essayent de la réconforter, tandis que Marcel a le plus grand mal à reconnaitre ses torts. La colère l’emporte vite sur le chagrin dans l’esprit de la petite souris, bien décidée à tout changer dans sa vie.
Marcel le maire décide d’interdire les histoires d’amour : ça n’engendre que des problèmes et ça rend tout le monde malheureux ! Interdire les histoires d’amour ? Jean-Michel n’est pas trop pour et sa petite amie Gisèle encore moins… Hélas, la répression commence. Nos héros décident d’entrer en résistance pour que l’amour soit à nouveau autorisé dans le village.