Tony Rossi, jardinier en Corse, a acheté un 4x4 d'occasion sur un site d'annonces, mais a découvert que la voiture était en bien pire état que ce qui était annoncé. Il accuse le vendeur, Jean-Pierre Quibert, d'escroquerie et réclame réparation.
Maryse Doise est tombée devant la Clinique de la Tour à cause d'un trou sur le trottoir, et réclame le remboursement de ses frais médicaux à l'établissement, responsable de son accident selon elle. Le directeur de la clinique, M. Pecnard, révèle que le trou n'était en fait pas la cause de sa chute.
Alain Leclercq accuse son demi-frère Pierre Moreau d'avoir vidé le compte en banque de leur mère avant son décès et d'avoir pris possession de la maison familiale, lui volant son héritage. Pierre affirme avoir utilisé cet argent pour créer son entreprise, avec l'accord de leur mère.
Marco et Charlotte Champenois, originaires de Belgique, ont acheté une maison en France avec des problèmes d'humidité graves cachés. Les Champenois réclament aux vendeurs, les Leroux, 220 000 euros de dommages et intérêts pour les réparations, tandis que les Leroux soutiennent avoir été de bonne foi. Quelle sera la décision de l'arbitre pour résoudre ce litige ?
Céline Leroy accuse le vétérinaire Sébastien Martin d'avoir causé la mort de son chien, Rumba, lors d'une opération pour traiter une otite. Elle affirme qu'il a commis une erreur médicale en ne pratiquant pas l'intubation et le monitoring pendant l'anesthésie. Sébastien Martin nie toute faute, expliquant que de telles procédures ne sont pas obligatoires pour ce type d'intervention.
Céline Jouvet accuse Alexandre Dupond, responsable de l'EHPAD, de ne pas respecter les termes du contrat qu'elle a signé pour prendre soin de sa mère malade et atteinte de démence. Alexandre Dupond soutient que les problèmes évoqués par Céline sont exagérés et défend avec acharnement la réputation de son EHPAD.
Cédric Deville se plaint des nuisances sonores causées par la pompe à chaleur de ses voisins, les Lemoine. Bien que Cédric ait gagné un procès contre l'ancienne propriétaire, Madame Gravalle, les Lemoine refusent de payer les frais de déplacement de la pompe à chaleur.
Patrick Morvan réclame 7 000 euros d'heures supplémentaires impayées à la société La Crêperie du Bout du Monde de Christelle Dupuis. En réponse, Christelle l'accuse d'avoir saboté l'entreprise. Entre abandon de poste et relations conflictuelles, qui faut-il croire ?
Christian et Michèle Renault, un couple de retraités, poursuivent la société Stop punaises pour un traitement inefficace contre les punaises de lit et des dommages causés dans leur appartement pendant l'intervention. Réussiront-ils à se faire dédommager ?
Mélissa et Sébastien Pécheu, un couple de Parisiens, se présentent devant le tribunal d'arbitrage pour réclamer la tranquillité à laquelle ils ont droit dans leur nouvelle maison de campagne. Ils reprochent à leur voisin M. Meynard d'avoir des poules et des coqs beaucoup trop bruyants.
Solène et Gabriel Bouloy accusent M. Chanvin, d'avoir abusé de la faiblesse de leur père malade pour lui vendre 24 panneaux photovoltaïque à 64 000 euros. Solène et Gabriel demandent l'annulation de cette dette, dont ils ont hérité à la mort de leur père, alors que M. Chanvin soutient que la vente a été faite dans les règles.
Laurent Vali a été licencié de la société Petula Fleurs pour avoir dirigé des clients vers un concurrent et touché des commissions. Il demande des dommages et intérêt à son ancienne directrice générale, Mme Soler, qui elle, soutient que le licenciement de Laurent est justifié.
Nathalie et Didier Corbet, jeunes retraités, pensaient réaliser leur rêve en achetant le camping-car de M. Martin, un véhicule truffé de problèmes techniques. Pour obtenir réparation, les Corbet se lancent dans un arbitrage contre M. Martin, qui soutient que le camping-car était en très bon état au moment de la vente.
Les Martin, jeunes retraités, ont vu leur rêve de vie paisible au bord de la mer virer au cauchemar à cause des trois enfants bruyants de leurs voisins, les Lefèvre. Ces derniers expliquent que le plus jeune de leurs enfants a un trouble de l'attention, et ajoutent que les Martins ne sont pas si innocents qu'ils le disent dans ce conflit.
Melina Benatia et Céline Crisan ont grandi ensemble, et tout partagé. Mais il y a un an, quand Céline a été licenciée et a eu besoin d'argent, Melina lui a prêté 20 000 euros, somme qu'elle lui demande aujourd'hui.
Sofia Del Castillo et son voisin Edouard Gibbod sont en conflit au sujet d'un talus entre leurs propriétés. Sofia affirme que le talus, mal entretenu par son voisin, met sa sécurité en danger. De son côté, Edouard Gibbod prétend que Sofia ne cherche qu'à obtenir de l'argent.
Laurent Maurepas poursuit en justice son ancien beau-père Claude Fichon après qu'un accident de cheval ait défiguré son fils Léo. Marjorie Fichon, la mère de Léo, fait des révélations sur Laurent et les véritables raisons de l'accident qui pourraient changer le cours de l'arbitrage.
Julien Voisel a acheté une serre de jardin chez Garden Villa, mais a reçu un modèle différent avec une seule porte au lieu de deux. Garden Villa prétend qu'ils n'ont jamais vendu un modèle à deux portes et refusent de rembourser Julien. Mais le témoignage d'un ancien employé concernant des pratiques de vente douteuses pourrait bien changer la donne dans cet arbitrage.
Sofia Esria, ancienne mannequin cheveux, accuse Sarah Perrière, directrice d'une école de coiffure, d'avoir gravement endommagé ses cheveux lors d'une coloration avant un défilé. Elle demande des dommages et intérêts. Sarah, elle, affirme ne pas avoir été informée que Sofia avait auparavant fait un lissage japonais. Qui dit vrai ?
Les Leduc réclament au propriétaire du Camping Del Sol, Luis Morain, le remboursement de leur séjour et un dédommagement après qu'un incendie ait brûlé le mobil-home qu'ils avaient loué pour leurs vacances. Luis Morain refuse de payer et accuse le fils des Leduc d'être responsable de l'incendie.
Amandine Lebon, une mère célibataire, a été licenciée pour vol de produits périmés dans le supermarché où elle travaillait. Elle admet avoir pris des produits mais uniquement pour nourrir ses enfants. Thierry Ponchard, le gérant du supermarché, dévoile alors des vidéos de surveillance montrant qu'elle a commis plusieurs vols, remettant en question la version des faits de la mère de famille.
Maxime Castets accuse Julie Euvrard, son ex-compagne, d'avoir utilisé l'argent de leur entreprise, une boucherie, pour des dépenses personnelles. Julie soutient que cette organisation était nécessaire en raison de leurs faibles salaires, et que Maxime en aurait aussi profité. C'est à l'arbitre de trancher.
M. Ponsard, un cuisiniste chevronné, réclame le paiement d'une cuisine installée chez M. Carmano, qui refuse de payer en invoquant des défauts de finition et un retard de livraison. Entre accusations de mauvaise gestion de la part de M. Ponsard et un chèque sans provision émis par M. Carmano, l'arbitre devra trancher.
Stéphane Morin accuse le Dr. Christine Romano d'avoir commis une erreur médicale après lui avoir perforé un nerf dentaire, provoquant une douleur constante et une paralysie de la mâchoire. Christine Romano nie les accusations et soutient que la complication n'est due qu'au mouvement de tête de Stéphane pendant l'opération. Qui dit vrai ?
Manon Rupard a acheté une piscine à Michel Barrou qui fuit et lui réclame le paiement des réparations. Selon elle, les fuites sont dues à des malfaçons d'installation, alors que Michel Barrou soutient que le problème vient de la mauvaise dalle de béton sous la piscine que les Rupard ont installé eux-mêmes. Qui paiera les dégâts ?
Martin Porteu a été licencié pour harcèlement sexuel. En plus du témoignage d'une des employées, Stéphane Rossetto, le PDG de la société, affirme que son licenciement était nécessaire pour retrouver un environnement de travail respectueux. Martin nie les accusations et prétend que son renvoi était motivé par d'autres raisons. Convaincra-t-il l'arbitre ?
Thomas Favard a acheté un appartement sur plan en 2020, mais le projet a pris plus d'un an de retard, l'obligeant, lui et sa famille à vivre dans un mobil-home. Philippe Robert se défend en expliquant les retards de construction et les contraintes auxquels il a dû faire face. Comment l'arbitre résoudra-t-il ce litige ?
Marina Boulanger accuse son ex-petit ami, Anthony Mercier, d'avoir divulgué des images intimes d'elle sur Internet. Anthony nie les accusations et prétend que son téléphone a été volé. L'arbitre doit décider qui dit la vérité.
Isabelle Carrat poursuit son architecte, Monsieur Jean, pour retards de livraison, dépassements de budget et pour avoir empiété sur le terrain des voisins lors de la construction de leur maison. Monsieur Jean rejette la faute sur M. et Mme Carrat, évoquant des pressions de leur part et leur manque de connaissance en construction. Comment l'arbitre résoudra-t-il ce litige ?
Clémence et Marc divorcent. Clémence demande trois millions d'euros, la moitié des revenus de Marc sur 25 ans, en prestation compensatoire, pour toutes ces années où elle s'est occupée uniquement de ses enfants et de son mari. Marc s'y oppose, soutenant qu'elle a déjà reçu une part équitable des biens et une pension alimentaire. Quelle décision l'arbitre prendra-t-il ?
Laurent Carrier, chef de cuisine depuis 24 ans, conteste son licenciement par PALIS GROUPE FRANCE, dirigé par Aurélie Martinez. Cette dernière l'accuse d'avoir commis de graves infractions liées à la sécurité alimentaire, tandis que Laurent fait des révélations qui remettent en cause la validité des accusations d'Aurélie Martinez.
Caroline Fabre accuse Frédérique Buisson, une éleveuse, de lui avoir vendu une chienne, Bella, avec une incontinence cachée, qui l'empêche de se reproduire. De son côté, Frédérique affirme que Bella était en bonne santé lors de la vente et que Caroline voulait en réalité faire de la revente de chiot de manière dissimulée. Quelle sentence l'arbitre rendra-t-il dans cette affaire ?
Soline Blanchard poursuit Roselyn Zhao, la gérante d'un salon d'esthétique, pour rupture de contrat d'apprentissage. Soline affirme avoir été maltraitée et utilisée pour former la nièce de Mme Zhao, tandis que cette dernière prétend que Soline a nui au chiffre d'affaires du salon. L'arbitre doit décider si la rupture du contrat était justifiée.
David Dujardin accuse Rudy Corre d'être responsable d'un accident de voiture qui aurait bouleversé sa vie en entraînant des blessures graves et la perte de son emploi. Rudy Corre affirme que David avait déjà l'intention de quitter son emploi pour lancer son entreprise de vente en ligne. David serait-il un imposteur ?
Léo et Emma divorcent et se disputent la garde de leur chien, Max. Léo prétend être le vrai propriétaire puisqu'il a acheté le chien, tandis qu'Emma cite la facture à son nom et son implication dans les soins de Max. L'arbitre découvre alors des éléments inattendus qui l'aideront à rendre...
Maurice et Liliane Poisson, un couple de personnes âgées, accusent la société Courant France d'abus de confiance et demandent le remboursement des sommes payées pour des travaux électriques. Courant France prétend que les tarifs étaient justifiés et accuse le fils des Poisson, Nicolas, d'avoir joué un rôle dans ce conflit.
Baptiste Collin a signé un contrat avec une agence matrimoniale, qui ne lui a pas trouvé la femme de sa vie. Il accuse Ania Azou, la fondatrice de l'agence, de ne pas avoir respecté le contrat et veut être remboursé. Pour se défendre, Ania affirme que Baptiste avait des critères de recherche beaucoup trop stricts et qu'il ne coopérait pas lors des rencontres organisées.
Isabelle Heurtebize poursuit la société de pompes funèbres MEMORIA 76, dirigée par Guillaume Lavergne, pour des dysfonctionnements graves lors des obsèques de son père. Celui-ci soutient que les problèmes étaient mineurs et surtout qu'Isabelle a changé les dernières volontés de son père au dernier moment.
Katia Bourget, propriétaire d'un gîte, accuse Sandy et Romain Moens, d'anciens clients, d'avoir publié de faux avis sur internet. Les Moens soutiennent avoir subi des problèmes d'hébergement et de service lors de leur séjour chez Katia, et n'avoir fait que prévenir ses futurs clients. Qui dit la vérité ?
Juliette et Guillaume Pelletier accusent Zoé Lemarchand, leur organisatrice de mariage, d'avoir gâché leur cérémonie. Ils réclament un remboursement total de 15 600 euros. Zoé, de son côté, soutient avoir fait de son mieux malgré les demandes contradictoires des Pelletier.
Jean Fortin affirme avoir été manipulé et arnaqué financièrement par son ex-petite amie, Veronika Kolorz, qu'il a rencontrée sur internet. Il réclame le remboursement de tous les cadeaux et la somme d'argent qu'il lui a offert. Veronika nie ces accusations, et déclare que leur relation amoureuse a simplement échoué à cause du caractère de Jean.
Nicolas et Salhia Berdure ont engagé NEXTDIEP pour leur déménagement, et accusent la société d'avoir commis des vols et des dégâts d'un montant de 10 000 euros. Marcel Hermany, le directeur de la société, soutient que les Berdure ont choisi la formule la moins chère et que les dégâts sont dus à l'emballage insuffisant qu'ils ont fait de leurs meubles et objets personnels.
Sonya Kasongo, une jeune femme originaire du Congo, a quitté son pays en guerre pour faire des études en France. Logée chez les Rameaux contre quelques heures de ménage, elle les accuse de l'avoir exploitée et maltraitée pendant trois ans. Face à la souffrance et aux humiliations dont témoigne Sonya, Hortense Rameaux nie les faits.
Découvrez l'histoire de particuliers ou professionnels ayant un différend qu'ils souhaitent voir juger publiquement devant les tribunaux. Des arbitres analysent et interrogent les faits avant de prononcer une sentence définitive. Après la décision, plongez dans les confessions des parties, révélant les coulisses de cette résolution légale des différends.
Farah Alaoui affirme être victime de discrimination sur son lieu de travail suite à son importante prise de poids. Elle souhaite garder son emploi dans sa société, mais demande que ce traitement injuste cesse, tandis que Pierre Sanchez, le directeur général, nie ces allégations.
Rosa Martino et son mari accusent Michel Boyas, directeur commercial, d'avoir pratiqué des méthodes douteuses pour leur vendre un poêle à bois à 4000 euros. Victimes d'abus de faiblesse, ils demandent au tribunal d'arbitrage d'annuler le contrat qu'ils ont pourtant signé de leur plein gré. Mais alors, qui est dans son droit ?
Sarah Germain poursuit Lauren Marchand en justice pour obtenir des indemnités suite à la mort de son mari dans un accident de voiture qu'elle a causé. Bien que Lauren Marchand exprime son regret pour l'accident dont elle est responsable, elle conteste la demande d'indemnisation. Une audience tendue attend l'arbitre.
Lina et Mareva, deux amies, ont perdu une grosse somme d'argent en jouant à deux jeux lors d'une fête foraine et n'ont remporté que des prix de faible valeur. Elles accusent Miguel Lopes, forain, de les avoir escroquées en les incitant à jouer avec de fausses promesses, alors que Miguel Lopes affirme que ses jeux sont équitables et que les deux jeunes femmes ont joué de leur plein gré.
Nicolas Baudois souhaite être reconnu comme le fils de son défunt père, Raphaël Devaux, et avoir le droit de rencontrer ses demi-frères. Laura Devaux, la veuve de Raphaël Devaux, s'y oppose et accuse Nicolas de n'être qu'un imposteur, intéressé par l'héritage de son défunt mari.
Adèle et Carlos Mendes accusent Sofia Rejani, directrice de la crèche Au Canari Rouge, d'avoir exclu leur fille de 9 mois, Léana, et demandent sa réintégration immédiate. Sofia affirme que les nombreuses demandes spécifiques des Mendes pour leur fille ne sont pas compatibles avec le fonctionnement de l'établissement. Un litige délicat que l'arbitre va devoir résoudre.
Suzanne, la fille de Marco et Laurent Kettani a été victime de harcèlement scolaire dans son collège. Ils accusent Madame Perronneau, la directrice de l'établissement, de ne pas avoir pris les mesures nécessaires pour protéger leur fille. Madame Perronneau soutient avoir agi en organisant des médiations et fait des révélations surprenantes sur le comportement de Suzanne à l'école.
Hugues Langlois réclame le retrait des caméras de surveillance installées par ses voisins, les Béret, qu'il considère comme une atteinte à sa vie privée. Les Béret, de leur côté, affirment que ces mesures visent seulement à assurer leur sécurité. Mais alors, qui est dans son droit ?