Le commissariat du quartier Saint-Martin coule l'un de ses jours ordinaires. Le travail ne manque pas. Vincent Fournier, averti qu'une bande de racketteurs sévit sur le boulevard, tente de convaincre un commerçant de tendre un piège aux truands qui viendront le menacer. Bernard Léonetti et Mourad Beckaoui se demandent comment neutraliser Anatole, l'un des parrains du quartier. Ils imaginent de forcer un joueur de bonneteau sans papiers, Mamadou, à infiltrer la bande du caïd. Les joies et les menus soucis non plus ne manquent pas. Vincent est ébloui par sa nouvelle collègue, la belle Marie Lopez. Bernard s'est soumis, une fois de plus, aux exigences de sa femme et entame son énième régime alimentaire...
Vincent et Marie, la nouvelle recrue de la P.J. de Saint-Martin, enquêtent sur un banal cambriolage qui a viré au drame. En voulant s'enfuir, le malfaiteur a bousculé une vieille dame qui a fait une chute et s'est brisé la colonne vertébrale. Les deux jeunes policiers découvrent au cours de leurs investigations qu'un tendre attachement pourrait bientôt les unir. Pendant ce temps, Bernard apprend que son indicateur, Mamadou, a été sérieusement blessé à coups de couteau. Il soupçonne Anatole d'avoir armé le bras meurtrier, mais celui-ci nie tout en bloc. Reste le plus difficile pour Bernard, affronter la compagne du moribond, sa propre culpabilité et la faillite de son régime alimentaire...
Vincent et Marie doivent réconforter une femme qui vient de se faire violer. Ils retrouvent un témoin des faits. Au fil de l'enquête, Vincent découvre que Marie a jadis été victime d'une agression semblable. Pendant ce temps, Meurteaux envoie Bernard et Mourad procéder à une expulsion demandée par la préfecture. Il s'agit de la famille Leclerc qui, depuis plusieurs mois, n'a pas payé le loyer de son appartement en HLM. Les deux policiers essaient sans succès de la convaincre de régler au moins une partie de sa dette. Les choses tournent mal et le chef de famille prend le représentant de la préfecture en otage. Mourad finit par obtenir sa reddition. Leclerc est emprisonné, mais sa famille reste dans ses murs...
Dans une impasse, on retrouve un Asiatique presque mort des coups qu'il a reçus. Vincent et Bernard ont tôt fait de voir là une victime du travail au noir. Une jeune et jolie Vietnamienne va les aider à démanteler un atelier clandestin. De son côté, Marie se voit confier une fillette de 6 ans que sa maman n'est pas venue chercher. Si cette dernière n'est pas retrouvée avant quelques heures, Marie devra ouvrir une procédure qui risque de lui faire perdre la garde de son enfant. La mère réapparaît enfin, mais Marie constate qu'elle est toxicomane. Après avoir hésité, et contre l'avis de la DDASS, Marie rend l'enfant à sa mère...
Une jeune femme meurt d'une overdose dans son appartement. Malgré les réticences de Meurteaux, qui craint de marcher sur les plates-bandes de la brigade des stupéfiants, Vincent et Marie décident de poursuivre l'enquête. Pendant ce temps, un vieux copain d'école de Bernard demande à ce dernier de suivre sa femme, qu'il soupçonne d'adultère. En contrepartie, il lui promet un appartement plus grand. Le soir même, une nouvelle affaire vient se greffer sur le programme déjà bien chargé de l'équipe de la P.J. Une femme battue par son mari demande à voir un policier, mais refuse de porter plainte. Mourad se propose pour rencontrer le mari violent...
Un dealer, naguère arrêté par Vincent et Marie, meurt en pleine rue. Furieux d'avoir été dessaisi de l'affaire au profit de la Brigade des stups, Vincent décide de reprendre l'enquête immédiatement et planque un micro chez un avocat véreux, à la tête d'un gros trafic. De leur côté, Bernard et Mourad neutralisent un forcené qui a pris la cliente d'un bar en otage. Peu après, Bernard surprend Jeannine en grande conversation avec un inconnu qui lui prend la main. Plus tard encore, dans la nuit, tandis que Vincent et Marie sont sur le point de piéger l'avocat, une femme battue arrive au commissariat, bien décidée à porter plainte. Mourad l'emmène à l'hôpital...
Vincent et Bernard enquêtent sur un vol à l'arraché. La victime, une vieille dame prénommée Ernestine, a été sérieusement blessée. Pendant ce temps, à la suite d'une plainte déposée par un adolescent timide, Marie et Mourad organisent une souricière devant un collège afin de neutraliser de jeunes racketteurs. Les deux affaires sont liées. En effet, ce sont deux racketteurs de 14 et 16 ans qui ont agressé la vieille dame. Kévin, fils d'une famille aisée, est l'un des délinquants recherchés. En raison de son âge, il ne peut pas être inquiété par la police. Mais Ernestine meurt de ses blessures. Le père de Kévin oblige alors son fils à dénoncer son complice, qui se retrouve bientôt devant le juge d'instruction...
Des inconnus agressent les employés d'un centre d'écoute pour toxicomanes dénommé «La Halte». La police hésite à suivre la piste de la petite délinquance. Dans le quartier, l'installation de ce centre n'a pas été appréciée par tout le monde. Heureusement, les responsables de «La Halte» n'ont pas reculé devant les menaces. Pour les enquêteurs, il pourrait bien s'agir d'un avertissement de la part des habitants. Si certains se déclarent hostiles à l'aide sociale, d'autres, au contraire, défendent cette option et apportent leur soutien au personnel de «La Halte». Tandis que Vincent et Marie suivent cette affaire, Bernard et Mourad tentent de retrouver un charlatan qui a vendu un faux médicament...
L'hiver est rude pour les SDF parisiens. L'un d'entre eux, Hocine, est retrouvé comateux sur un quai du canal. Vincent et Mourad se chargent de retrouver son ancienne compagne. Pendant ce temps, le patron de la P.J. annonce à Meurteaux qu'il le suspend, dans l'attente des résultats de l'enquête que mène la police des polices sur son alcoolisme présumé. Deux adolescents qui connaissent vaguement Marie viennent lui faire part de leurs préoccupations : Anne et Anna, deux filles de leur classe, parlent de se suicider. De son côté, Jeannine apprend à Bernard qu'elle le trompe avec son médecin...
Il est parfois risqué de faire confiance à des inconnus. Un représentant, qui s'offrait un moment de détente après une longue journée de travail, en a fait les frais. Saoulé par ceux qui ont partagé sa soirée dans un cabaret, il s'est vu dépossédé de son portefeuille. Revenu à lui, il décide, outré, d'aller se plaindre auprès des services de la police judiciaire. Vol exceptionnel ou pratique habituelle orchestrée par les gérants du lieu de spectacle ? Les enquêteurs hésitent à porter des accusations sans preuve. De leur côté, Vincent et Marie, qui visitaient un appartement, tombent nez à nez avec des pompiers en pleine activité. Anne et Anna viennent de se suicider. Contre l'avis de Vincent, Marie obtient de mener l'enquête...
Vincent et Marie, la nouvelle recrue de la P.J. Saint-Martin, enquêtent sur une affaire de pédophilie. La petite Elodie, 8 ans, aurait été victime d'attouchements sexuels. Les premiers soupçons se portent sur un voisin, Selier, un ancien éducateur. Une spécialiste de ce genre d'affaires, Carole, tout droit venue de la brigade des mineurs, remet ces présomptions en question. Par ailleurs, Marie est chargée de la garde à vue d'un trafiquant bien séduisant, tandis que Bernard et Mourad interrogent une certaine madame Dupuy, qui prétend avoir assassiné son mari...
Vincent et Marie interviennent sur les lieux d'une agression. Sur place, ils assistent à une tentative de meurtre. Une jeune fille, armée d'un cutter, menace la vie d'un homme. Lorsqu'ils l'ont enfin neutralisée, les enquêteurs découvrent que la jeune femme est la fille de la victime. Sous l'emprise de la drogue, celle-ci a perdu la tête. De leur côté, Bernard et Mourad mènent des investigations sur le vol d'un camion. Mais les indices sont maigres et les deux policiers ne disposent pas, dans l'immédiat, de pistes susceptibles de les conduire aux voleurs...
Vincent et Marie enquêtent sur le cas d'un bébé qui lutte contre la mort. Ils interrogent les parents et la baby-sitter, car il semblerait qu'un coup soit responsable de son état. Très rapidement, il apparaît que l'inconscience et la négligence de la baby-sitter sont en cause. Lorsque le bébé meurt, celle-ci avoue d'ailleurs ses torts. Une autre affaire mobilise les deux enquêteurs : Eddy et Kader, deux jeunes délinquants qui se sont illustrés dans la déprédation d'Abribus et d'horodateurs, ont agressé un commerçant, ce qui ne trouble guère leur insouciance. Vincent et Marie essaient de les ramener à la raison...
Au cours d'un contrôle de routine, les policiers découvrent cinquante grammes de cocaïne dans la voiture d'une mère de famille. Celle-ci ne peut pas expliquer la provenance de la marchandise et, lorsque Vincent et Marie veulent l'emmener au commissariat pour l'interroger, elle répond qu'elle doit aller chercher son fils à l'école. Marie et Vincent doivent par ailleurs faire face à la plainte d'une femme dont la fille, âgée de 15 ans, entretiendrait une liaison avec son professeur de théâtre...
Lorsqu'ils se présentent à un casting, les comédiens savent qu'ils doivent se plier aux exigences du réalisateur s'ils veulent avoir une chance de décrocher le contrat. Alors qu'elle se soumet à cet exercice, une actrice débutante est filmée dans une pose indécente. Se sentant trahie, la jeune femme court au commissariat narrer son affaire à Maud et Marie et demande que les cassettes soient saisies. Les deux policières lui expliquent que, dans le meilleur des cas, elles ne pourront confisquer que quelques exemplaires du film incriminé. Pendant ce temps, un homme est renversé par une voiture volée...
Par une journée ensoleillée à Paris, une jeune femme décide de prendre un verre et s'installe à la terrasse d'un café. Après avoir été servie, elle est brutalement atteinte par un objet contondant. Il s'agit, selon les premiers témoignages recueillis par la police judiciaire, d'une cannette de bière qui aurait été jetée depuis l'immeuble voisin. Rapidement, les policiers entreprennent d'investir le bâtiment. Ils pénètrent alors dans le quotidien de ses habitants. De nombreuses personnes vivant ici auraient pu commettre un tel geste. Mais l'enquête doit s'appuyer sur des preuves et non sur des préjugés...
La brigade est sur les dents : Vincent et ses collègues ont décidé de réagir à la violence insidieuse qui sévit dans la cité des Jonquilles, où trafic de drogue et petit racket ont force de loi. Eddy et Kader semblent être les animateurs et les inspirateurs de ces activités louches. En planque, les policiers découvrent non seulement le volume insoupçonné du trafic de drogue, mais également un fructueux commerce de pièces détachées de voitures. Les policiers ont d'autres préoccupations. Ainsi, Ziggy, un jeune homosexuel, vient porter plainte contre le père de sa meilleure amie, qui l'a frappé. L'amie en question refuse de s'associer à sa démarche...
A la cité des Jonquilles, près de Paris, un petit groupe de jeunes se trouve dans le collimateur de la police judiciaire. Eddy, Kader et toute leur bande vont bientôt être arrêtés. La tension monte d'un cran au commissariat, car les policiers se préparent à intervenir dans ce quartier difficile. Par ailleurs, une femme dans le besoin a commis un petit larcin dans un supermarché parisien. Comme elle a été prise en flagrant délit, la police se rend sur place. En effet, le directeur de la grande surface est décidé à porter plainte...
Un jeune homosexuel agressé et blessé par des inconnus refuse de porter plainte. Néanmoins, l'équipe de la police judiciaire est contrainte d'enquêter, le jeune homme étant mineur. C'est ainsi que sa mère, appelée au commissariat, apprend la vérité sur son orientation sexuelle. Par ailleurs, un incendie menace de ravager le quartier. Il est parti d'une cave où un radiateur électrique s'est enflammé. La propriétaire de l'immeuble sous-louait ces quelques pièces à une immigrée et à sa fille. La petite a disparu. Les enquêteurs ont également leurs soucis personnels : le père de Vincent est dans le coma...
Deux garçons et une fille, tous trois étudiants, sont accablés par la perte de leur ami, mort noyé dans le canal Saint-Martin, alors qu'il avait - selon eux - trop bu. Mais à force de les questionner, la brigade découvre que la vérité est ailleurs. Quant à Maud, elle trouve un cadavre dans un appartement, celui d'une vieille dame morte dans la solitude. La malheureuse a une fille sourde-muette, prénommée Barbara. De son côté, Chloé insiste auprès de Meurteaux pour que Bernard soit inculpé de harcèlement sexuel. Très gêné, Meurteaux s'apprête à jouer le juge et le diplomate...
Une fillette a été renversée par un chauffard qui a pris la fuite. Un passant a cependant réussi à relever une partie du numéro de sa plaque d'immatriculation. Maud et Chloé se rendent sur les lieux et rassemblent les premiers indices. De son côté, Marie n'a toujours pas revu Vincent, parti depuis trois semaines pour être au côté de son père malade. Un gérant de supermarché l'appelle pour un vol à l'étalage. Elle s'y rend en compagnie d'Alain, pour découvrir Palevin, le directeur, tout heureux d'avoir coincé Mégot, un petit voleur qui s'est fait prendre avec 1500 francs de marchandises volées...
Un certain Viachet, qui vient de faire les frais d'une saisie, porte plainte pour le vol d'un ordinateur portable, commis durant l'intervention. Si dans les six prochaines heures, l'objet n'est pas retrouvé, le substitut n'aura pas d'autre choix que de prévenir l'IGS. A peine a-t-il raccompagné le substitut, qu'il informait de cette pénible affaire, que Meurteaux se retrouve face à deux individus passablement énervés. L'un est un disquaire, qui s'est fait une spécialité du tango, le second un mélomane averti, qui s'est installé presque à demeure dans le magasin du premier. Chacun veut porter plainte pour coups et blessures. Les officiers de police judiciaire finissent par comprendre que l'origine de leur différend est un enregistrement pirate d'un concert de tango, donné par l'une des plus grandes spécialistes du genre...
La concierge d'une cité H.L.M. parisienne a trouvé un nouveau-né dans une poubelle. Alain et Marie s'occupent de l'affaire. Bernard, de son côté, vole au secours de Cora, qui, désireuse de se mettre au vert une semaine, voudrait voir son souteneur arrêté. Quant à Vincent et Maud, ils doivent s'occuper du cas Mantier. Celui-ci vient de porter plainte pour coups et blessures. Agressé chez lui par un employé de la société de crédit à qui il doit de l'argent, il ne sait plus que faire. L'homme lui a même promis qu'il s'en prendrait à sa femme et à ses enfants s'il ne remboursait pas rapidement sa dette...
Même le dimanche, le commissariat est une ruche bourdonnante d'activité. Des électriciens profitent de l'absence de la plupart des policiers pour installer un nouveau compteur électrique. Mais il leur manque une pièce. Ils s'en vont donc la chercher, ce qui permet à Nadine de filer à son cours de chant. A son retour, elle découvre Paul, qui l'attend dans la cour. Nadine accepte d'aller prendre un café avec lui, mais s'en retourne assez rapidement au commissariat. Paul la suit. En état de manque, il perd la tête et décide de séquestrer Nadine. Lorsque Bernard arrive, il comprend tout de suite la gravité de la situation et s'empresse de prévenir ses collègues...
Victime d'une agression, un commerçant s'est jeté sur son fusil pour tirer sur le coupable. La PJ, qui l'a envoyé derrière les barreaux, gère comme elle peut la colère des autres marchands du quartier, qui font pression sur le commissaire pour que le prévenu soit libéré. Pendant ce temps, Bernard et Chloé doivent faire face à la détresse d'une femme dont le fils s'est donné la mort et qui, pense-t-elle, ne s'est pas suicidé tout seul. Les policiers parviennent à mettre la main sur un ami du défunt. L'enquête suit son cours mais, bien vite, Chloé en est détournée par une requête de son oncle, qui lui demande de noter ses collègues en fonction de leurs opinions politiques...
Maud est blessée alors qu'elle tentait d'intervenir lors du cambriolage d'une épicerie. Après avoir fait feu, les deux hommes masqués emportent de la viande avariée. Bernard et Alain retrouvent l'un des bandits, qui accuse son complice d'avoir tiré sur Maud. Il faut absolument retrouver celui-ci avant qu'il n'ait empoisonné toute sa famille avec son redoutable butin. Pendant ce temps, Vincent et Marie arrêtent le client d'un bar, coupable d'une agression sur le propriétaire de l'établissement. Pour se défendre, l'individu prétend que le patron de la gargote, raciste, n'arrêtait pas de l'injurier...
Dans un foyer turc, Maud et Vincent trouvent une jeune femme ébouillantée. Tout porte à croire qu'elle a été victime d'une agression, même si sa belle-mère soutient la thèse de l'accident. Après avoir appris par un voisin que son mari a quitté le domicile conjugal, les policiers décident de suivre la piste de l'époux disparu. De leur côté, Bernard et Alain enregistrent la plainte d'un chef d'entreprise, qui soupçonne sa comptable de faire des faux pour «piquer dans la caisse» à loisir. L'accusée nie en bloc, arguant que son patron lui devait des heures supplémentaires...
Un certain Pélissier a agressé une employée des télécommunications. Vincent et Alain sont chargés de l'interpeller et de lui demander quelques explications à ce sujet. Lorsqu'il voit les deux policiers approcher, Pélissier menace de se jeter par la fenêtre. Vincent tente de le raisonner, tandis qu'Alain cherche des secours. Pélissier fait promettre aux deux hommes de ne pas l'arrêter, car si un juge le condamnait, il perdrait aussitôt la garde de son fils. De leur côté, Bernard et Agathe interrogent un jeune voyou, auteur d'un vol d'arme. Pour faire croire qu'il a été victime de violences policières, celui-ci se cogne le nez contre la table. Meurteaux décide finalement de le relâcher...
Vincent et Bernard arrivent sur les lieux d'un accident : Zéphira, une Malienne, est tombée d'une fenêtre. Mais à l'hôpital, ils apprennent que la jeune femme a vraisemblablement été frappée à la tête avant de tomber. De plus, elle est en état de surmenage et présente d'évidents symptômes de malnutrition. Vincent et Bernard enquêtent chez la tante de Zéphira, qui l'héberge et finit par avouer sa responsabilité dans le drame. Horrifiés, les officiers de police découvrent que Zéphira vivait dans une buanderie. Mais la jeune fille refuse de porter plainte, pour ne pas faire honte à sa famille. Pendant ce temps, au commissariat, Chloé, Alain et Agathe recueillent la plainte d'un élève en architecture victime d'un violent bizutage...
Peut-on voler une tombe ? A première vue, cela semble impossible à Agathe et Alain. Appelés au cimetière par une femme qui ne retrouve pas la sépulture de son frère, ils sont confrontés au scepticisme du gardien. Pendant ce temps, au commissariat, Vincent et Bernard se penchent sur les photos d'un pédophile, dont ils ne connaissent que le nom : Choiseul. Après de minutieuses recherches, ils découvrent le présumé coupable, un inspecteur d'académie. Celui-ci rejette toutes les accusations. Pourtant, dans le passé, il a déjà été mis en examen pour viol sur mineur...
Un dealer arrêté par Agathe et Alain révèle que l'agence bancaire du quartier va être cambriolée avant peu. Vincent et Alain se rendent sur place, trop tard. Deux gangsters menacent la caissière et prennent en otages le personnel et les clients. Provoquée par l'intervention irresponsable du directeur, qui a actionné l'alarme, la fureur des bandits a des conséquences terribles : une jeune fille est grièvement blessée et Alain est touché à une jambe. La brigade de la porte Saint-Martin arrive sur les lieux, bientôt suivie de la BRI et de la directrice de cabinet du préfet. Le commissaire Meurteaux tente, en vain, de garder le contrôle de la situation...
A l'intérieur de la banque, le personnel et les clients, parmi lesquels figurent Vincent et Alain, sont toujours tenus en joue par les braqueurs, qui semblent avoir perdu le contrôle de la situation. Bernard et Chloé ne chôment pas pour autant. Ils ont découvert l'identité du chauffeur de la camionnette utilisée par les voleurs. Il s'agit d'une femme, mère d'un petit garçon, compagne de l'un des bandits et soeur de l'autre. Reste à exploiter utilement cette trouvaille. Dans la banque, en accord avec la BRI, Vincent, dont les malfrats ignorent toujours les fonctions, tente le tout pour le tout et déclenche un carnage...
Les locaux d'une secte ont été cambriolés. Lors de l'opération, une femme a été blessée. Le directeur soupçonne le mari de la victime, un ancien adepte qu'il décrit comme vindicatif. Vincent, Bernard et Chloé enquêtent de conserve et finissent par comprendre que les cambrioleurs ne s'intéressaient qu'au matériel informatique. Tandis que les trois policiers poursuivent leurs investigations, Agathe et Alain reçoivent une femme venue porter plainte pour viol. Ils identifient rapidement l'agresseur présumé, mais ne parviennent pas à le faire avouer, et pour cause : l'homme a un alibi inattaquable...
La femme d'un gangster emprisonné à Fleury-Mérogis est agressée dans la rue, mais refuse de porter plainte. Vincent et Bernard, flairant autre chose derrière ce refus, mènent des recherches et découvrent que le mari a été incarcéré pour un braquage qui lui a rapporté une petite fortune. Le procureur est pressé de retrouver l'argent disparu, mais l'enquête débouche sur une banale affaire de vengeance, la femme ayant un amant. Agathe et Alain enregistrent la plainte d'une jeune femme, agent de change, qui accuse deux de ses collègues de l'avoir violée sous les yeux d'un troisième, impassible. Une fois arrêtés, les suspects nient tout en bloc...
Agathe et Meurteaux enquêtent sur l'accident dont a été victime un garçon de 12 ans, renversé par un chauffard selon deux jeunes témoins. Leur version des faits, bien qu'étrange, met en cause le directeur d'un fast-food. Au même moment, une fillette noire est admise d'urgence à l'hôpital. Tout porte à croire qu'elle vient de subir une excision. Dans un premier temps, sa mère nie en bloc ces accusations, mais finit par admettre les faits, sans toutefois divulguer l'identité de l'exciseuse. Lorsque la petite meurt des suites de ses blessures, sa soeur aînée, écoeurée par ce drame, livre aux autorités le nom du coupable...
Bernard et Alain enquêtent sur un vol doublé d'une agression. La victime, un homme marié, est de toute évidence très embarrassée. Et pour cause : c'est au cours d'une entrevue - aussi secrète qu'inavouable - avec une jeune femme que le coureur de jupons a été attaqué. Lors de leurs investigations, les deux policiers sont appelés d'urgence pour interpeller en flagrant délit des voleurs qui viennent de faire irruption dans un restaurant. Dans le feu de l'action, Agathe tire sur le prétendu agresseur, qui n'est autre qu'un membre de la brigade anti-criminalité, également présent sur les lieux...
Une femme vient accuser son ex-mari d'attouchement sur leur fils, qui confirme. Franck et Agathe auditionnent la nouvelle famille de l'ex-mari. Une bagarre dans un café tenu par une femme débouche sur une suspicion de racket. Vincent organise une planque pour coincer le racketteur. Agathe et Franck découvrent que la mère a inventé cette histoire d'inceste pour éviter à son fils d'aller voir son père, avec qui il ne s'entend pas. Dans le café, Bernard et Chloé comprennent qu'il ne s'agit pas de racket mais de jeux clandestins. Au commissariat, une vieille dame vient se plaindre qu'on lui a volé son canari. Vincent revient et cherche un appartement. Conflit de bureau avec Franck.
Un jeune rappeur est passé à tabac par un copain de sa bande qu'il refuse de dénoncer... L'agresseur, jaloux du succès de son copain, est retrouvé mais relâché faute de preuves. Une dame vient récupérer au commissariat des affaires que les policiers n'ont jamais eues. Vincent pense à un trafic à la fausse qualité : des faux employés volent, suivis de faux policiers qui viennent soi-disant les arrêter et tout le monde part avec les objets volés sans que personne ne porte plainte... Mais comment les voleurs sont-ils prévenus du rendez-vous des vrais employés ? Vincent découvre l'origine de l'escroquerie et monte un flag.
Un beau jour, une femme disparaît mystérieusement. Le mari accuse d'emblée son voisin, auteur d'un assassinat il y a une trentaine d'années. Interrogé par Bernard et Agathe, celui-ci ment... et la meilleure amie de la disparue ne sait pas où est passée sa copine... La rumeur se répand et tout le monde finit par croire à la culpabilité du voisin qui, pourtant, clame haut et fort son innocence... Un jeune garçon blesse un curé qu'il accuse de la mort de son frère. Franck et Chloé démontreront que, sous prétexte de former des hommes forts et courageux, le curé maltraite les enfants qui lui sont confiés
Une jeune femme est retrouvée en état de choc dans un parking. Elle vient d'être violée. Près d'elle, la carte d'un Club rose... Elle dit faire des ménages mais Agathe et Bernard découvrent qu'elle arrondit ses fins de mois en travaillant comme strip-teaseuse sans le dire à son mari. De leur côté, Alain et Chloé enquêtent sur une plainte portée contre un garagiste qui dégraderait des voitures. Ils se rendent rapidement compte que ce n'est pas le garagiste qui est en cause... Au commissariat, il se passe aussi des choses étranges : Chloé est persuadée que Nadine a été envoûtée à sa place. Elle fait donc appel à un marabout.
Un enfant, à la recherche de sa mère, est retrouvé perdu gare du Nord. Franck et Agathe découvrent qu'il ne sait pas qu'elle a refait sa vie après sa naissance. Il fugue à nouveau. On le retrouve grâce à sa grand-mère qui l'élève. Sa mère est obligée de dire à son concubin qu'elle a eu un fils avant de le connaître. Un homme est retrouvé tabassé par un livreur pour une place de parking. Vincent et Chloé tentent de retrouver le livreur. Celui-ci veut se venger d'avoir été renvoyé et les deux policiers arrivent juste pour empêcher un nouveau drame. Un mystérieux paquet arrive au commissariat, c'est du sperme qui vient des Etats-Unis. La future maman vient récupérer son bien, mais les pipettes ne sont plus dans l'azote liquide, il faut faire vite. Meurteaux la fait raccompagner chez elle en voiture de police.
Une femme est électrocutée. Son mari a toutes les raisons du monde d'être coupable. Vincent réussira à démontrer que c'est un accident. Une plainte pour harcèlement sexuel dans une auto-école oblige Agathe à faire la chèvre pour coincer le moniteur.
Agathe et Franck arrivent dans une maternité où on a volé un bébé. Chloé trouve un bouquet pas défait dans une poubelle et se précipite chez le fleuriste, en face. Une mère, très amochée mais très bien habillée, et sa fille de 14 ans arrivent au commissariat : la gamine vient de tuer son père. Audition de la fille par Bernard et Alain. Elle raconte comment elle a tiré sur son père qui tabassait sa mère, comment sa mère et elle ont attendu toute la nuit avant d'avoir le courage de venir se rendre. Bernard et Alain se demandent si elles ne sont pas folles et envoient chez elles quelqu'un vérifier qu'il y a bien un père mort
La maîtresse d'un homme marié, professeur de piano, vient se plaindre : la femme de son amant a placardé la veille des "photos d'art" d'elle, nue, faites par le mari, dans l'entrée du conservatoire où elle travaille. Bernard, découragé de perdre son temps dans un vaudeville, est secoué par un coup de fil du maire, dont les enfants, élèves au conservatoire, ont été témoins du grabuge généré par les photos "porno". Bernard et Chloé entendent la femme... Un plombier est retrouvé K.O. dans sa camionnette, devant son magasin. Agathe et Franck se rendent à l'adresse de sa dernière réparation. Ils tombent sur une lycéenne et sur... la sacoche du plombier. La jeune fille se trouble et avoue que ce dernier a tenté de la violer. Mais son témoignage ne concorde pas avec celui du plombier.
Alyson, une fillette de 10 ans, vient accompagner son petit frère au commissariat : l'enfant a été battu en se rendant à l'école. Franck et Alain les accompagnent tous les deux à l'hôpital où l'on apprend que le gamin, qui risque une hémorragie interne, doit être opéré d'urgence. Le corps médical découvre alors que l'enfant est régulièrement battu depuis qu'il est tout petit. Par son père ? Sa mère ? Sa nounou ? Alyson, pressée de question, avoue finalement que Freddy ne va pas en classe.
Cela fait trois fois que les pompiers interviennent chez une dame, parce que son amant, jamais le même, a une crise cardiaque. Les empoisonne-t-elle ? L'amant du jour est un jeune sportif, les deux autres étaient videur de boite et moniteur dans la salle où Meurteaux fait sa musculation. Tous trois vont à ce club. Les policiers découvrent que le moniteur et le pharmacien sont en cheville pour faire circuler de la dope dans le club... Une femme cambriolée porte plainte. En remontant jusqu'à la femme de ménage l'équipe réalise que son fils déjà connu des services de police... Un bus de «visite conférence» débarque dans le commissariat, pieds nus ! Un homme les a braqué et leur a volé toutes leurs chaussures. Les policiers cherchent en vain au près des fétichistes, magasins de seconde main...
Un Albanais est trouvé gravement blessé sur un chantier où travaille une entreprise de peinture. Cette entreprise était sous-traitante d'un gros groupe de travaux publics. Le patron dit aux policiers que le blessé venait le voler... Interrogée à l'hôpital par Agathe et Franck, la femme du blessé affirme qu'il travaillait sur le chantier. Les deux policiers finissent par faire avouer au patron qu'il est pris à la gorge par les charges sociales et les délais de paiement des grosses entreprises, et qu'il est obligé d'employer des ouvriers au noir... Bernard, Alain et Chloé se rendent chez un mage qui manipule une femme désespérée par la mort de son fils.
Une mère divorcée avec un enfant vient de se faire cambrioler avec violence. Elle donne le signalement de son agresseur, il a un tatouage particulier. Vincent et Bernard arrêtent un homme, mais la victime ne le reconnaît pas. Pendant ce temps, Agathe et Franck auditionnent une vieille dame qui volait du foie gras. Elle porte des traces de coups et accuse sa voisine de chambre. Dans la maison de retraite, Agathe et Franck découvrent la situation des vieux. Agathe pense à sa grand-mère dont elle ne s'occupe pas assez...
La routine pour Agathe et Franck : appelés sur les lieux d'un accident de la route, ils sont chargés de relever les indices. Un jeune livreur a été renversé par une voiture : quoi de plus banal ? Un détail, pourtant, retient leur attention : la victime a les deux petits doigts cassés. Immédiatement, la thèse du règlement de comptes s'impose à l'esprit des deux policiers. Interrogé, le livreur réfute farouchement cette hypothèse. Mais Agathe et Franck ne mettent pas longtemps à réaliser qu'il est sous l'emprise de la drogue. Lorsqu'ils se rendent à l'adresse de sa dernière livraison, ils ne trouvent personne...
Dans un quartier sensible, une assistante sociale vit seule avec sa fille, à qui elle voue un amour sans bornes. Retrouvée lardée de coups de couteau, elle échappe de peu à la mort. En reprenant conscience, la victime dénonce des jeunes de son quartier, mais s'avère incapable d'identifier ses agresseurs. Vincent interroge la fille de l'assistante sociale. Elle raconte que sa mère s'est disputée avec une de ses protégées, ancienne toxicomane. Appréhendée par la police, la suspecte n'est pas en mesure de fournir un alibi. Au même moment, un homme arrive au commissariat, la bouche en sang. Il tient à la main un pot de confiture plein de morceaux de verre pilé...
Une jeune femme se présente au commissariat pour porter plainte contre un néonazi, pour agression. Il se trouve que le jeune homme fêtait, la veille même de l'attaque, l'anniversaire de Hitler dans un restaurant avec une bande d'amis. Les enquêteurs de la PJ en arrivent à s'intéresser à une famille entière, qui partage volontiers et défend ouvertement les thèses nazies. Au cours de l'enquête, la victime accepte de participer à un faux rendez-vous, organisé pour piéger le jeune voyou. Mais les choses ne se passent pas comme prévu : le mari de la jeune femme n'approuve pas cette idée, et le néonazi se révèle très difficile à cerner. Contre l'avis de son époux, elle décide de prêter son concours à la police...
Quelqu'un, au commissariat, semble être en cheville avec un gang de cambrioleurs qui dévalise les maisons gardées par les membres de l'association «Tranquillité Vacances». Nadine, inquiète, tente d'en savoir plus. Au même moment, un bébé couvert de bleus arrive aux urgences. Sa grand-mère soupçonne sa belle-fille de maltraiter l'enfant. Interrogée, celle-ci nie farouchement et accuse au contraire sa belle-mère : d'après elle, depuis qu'il a été confié aux bons soins de sa mamie, l'enfant ne cesse de pleurer. L'affaire se révèle plus compliquée qu'elle n'en avait l'air...
Un gardien de square a été blessé par un tir d'arme de gros calibre, visiblement entre les mains d'un groupe de jeunes. Affolé à l'idée que les gamins pourraient faire un véritable carnage, Vincent décide de passer outre les recommandations du maire et de tenter de les arrêter en flagrant délit. Au terme d'une planque fructueuse en compagnie de sa collègue, Nadine, il parvient à arrêter l'une des adolescentes. Celle-ci demeure muette tout au long de son audition. Elle finit cependant par accepter de divulguer le nom et l'adresse de la propriétaire d'un téléphone portable trouvé dans ses poches. Il s'agit d'une de ses amies...
Vincent et Alain se rendent sur les lieux d'un accident et trouvent sur place une adolescente blessée et son chien mortellement touché par un autre canidé. Les deux policiers se lancent immédiatement à la recherche de l'animal et de son maître, d'autant plus que la jeune fille a peut-être été violée. Impossible à maîtriser, le chien, dressé «au mordant», finit par s'attaquer à son jeune propriétaire. Franck et Vincent arrivent juste à temps pour lui éviter le pire. Ils arrêtent alors le père du gamin et l'interrogent sur les conditions du dressage. Il s'avère que l'animal était détenu sans la moindre autorisation officielle...
Agathe rentre chez elle après une journée de travail. Alors qu'elle vient juste de quitter le commissariat, elle est agressée. La P.J. enquête, explorant toutes les pistes. Les représailles d'un voyou qu'elle aurait mis sous les verrous ? Une vengeance liée à sa vie privée ? Un témoin présent sur les lieux a filmé la scène et vient apporter la vidéo au commissariat. Celle-ci permet d'identifier le coupable, un adolescent qu'Agathe ne semble pas connaître. Il fait visiblement partie d'une bande. Ses acolytes ont d'ailleurs assisté à l'agression...
Agathe a beaucoup de mal à se remettre psychologiquement de la violente agression dont elle a été victime. Afin d'apaiser ses angoisses et de chasser les démons qui ne la laissent pas en paix, elle se lance à corps perdu dans le travail. Justement, celui-ci ne manque pas. Elle décide de seconder Vincent Fournier dans une enquête aussi ardue qu'urgente. En effet, un gros revendeur écoule un stock de drogue frelatée, un véritable poison qui provoque une hécatombe qu'il s'agit de stopper au plus vite. Elle aide donc son collègue, désobéissant de ce fait aux ordres pourtant formels de Meurteaux. Les policiers mettent la main sur une jeune dealeuse...
Depuis quelque temps, un groupe d'enfants roumains s'attaque systématiquement aux horodateurs du quartier pour les piller. Insaisissables, ils parviennent à échapper aux diverses opérations de police visant à les arrêter. Les agents de la PJ sont d'autant plus inquiets que certains de ces enfants ont, semble-t-il, été brutalisés. Tout porte à croire qu'ils sont en réalité manipulés par un ou plusieurs adultes. En parallèle, un adolescent de 17 ans est retrouvé pendu dans sa chambre. Il faisait partie d'une famille aisée et vivait dans un grand appartement. Ses parents ne croient pas au suicide. Les policiers pensent à un jeu qui aurait mal tourné...
En travaillant sur la construction d'un nouvel immeuble, des ouvriers découvrent le squelette d'une jeune femme, enterré dans une cave. Grâce à une médaille trouvée sur place, la police parvient à l'identifier. Sa soeur Virginie est convoquée à la PJ. Les officiers apprennent que la jeune femme avait disparu treize ans plus tôt sans laisser de trace, dans l'indifférence générale. Plusieurs indices donnent à penser que la malheureuse a été assassinée par son employeur de l'époque, un dentiste. L'enquête permet aussi de déterminer que la soeur de Virginie attendait un enfant au moment de sa mort. Cette grossesse aurait-elle un lien avec sa disparition ?...
Dans une pharmacie, le braqueur est armé d'une seringue remplie de sang contaminé par le virus du sida. Chloé, cliente de la pharmacie, intervient pour le désarmer. Mais une complice du braqueur l'aide à prendre la fuite. Dans l'action, Chloé se fait piquer par la seringue.
Stéphane, un autiste de 25 ans a été abandonné, seul, dans l'appartement de ses parents. Son père est en déplacement, et sa mère a disparu. Impossible de communiquer avec l'autiste, saisi d'effroi et de panique. Qu'est-il arrivé à sa mère ? Les policiers craignent un enlèvement, ou les suites d'un cambriolage qui aurait mal tourné. Le mystère s'épaissit quand on retrouve le fusil du père dans la benne à ordure.
Le père d'une adolescente, gymnaste de talent, est entraîneur bénévole dans une association sportive. Très fier de sa fille, il la pousse à se dépasser pour atteindre le plus haut niveau. Mais la jeune fille, enceinte, est bientôt victime d'une terrible agression. Elle reçoit des coups à l'abdomen. Les hommes de la police judiciaire, chargés de l'enquête, soupçonnent fortement une des rivales de la gymnaste, et tentent de rassembler des preuves. Par ailleurs, un fils de diplomate profite de son immunité pour racketter certains commerçants de son quartier. Pourtant, une de ses victimes finit par se venger...
Une bijouterie est attaquée. Le système de sécurité du magasin s'enclenche et la PJ est immédiatement prévenue de cette tentative de hold-up. Une unité est dépêchée sur place de toute urgence et parvient à faire échouer le braquage. Lorsque les policiers procèdent à l'arrestation du malfaiteur, ils découvrent qu'il s'agit d'une femme. Une enquête est ouverte pour déterminer les raisons de son geste et retrouver d'éventuels complices. Au fil de leurs investigations, les membres de la PJ en arrivent à soupçonner le mari de la prévenue, puis l'une de ses amies. Parallèlement, une autre équipe de la PJ enquête sur un appartement qui semble abriter une maison close...
Les flics de la PJ arrivent dans un immeuble d'où retentissent les cris d'une femme. On pense qu'un homme est en train de battre sa femme. Mais on découvre que c'est le mari qui est sérieusement blessé au visage. Et c'est son épouse qui le soigne. Qui bat qui ? Dans le même temps, une boutique de piercing a été sauvagement vandalisée.
Le fils d'Alain est victime de racket avec violence. Les flics de la PJ arrêtent le jeune racketteur. C'est l'occasion d'un face-à-face intense entre Alain et le père du racketteur. Alain est déchiré entre sa fonction de flic, qui doit rester objectif, et son rôle de père prêt à tout pour éviter que son enfant soit à nouveau menacé... Parallèlement, Bernard et Chloé essaient de prendre en flagrant délit un voleur de voiture.
Un pompier sauve un retraité des flammes, mais il est bientôt soupçonné d'en avoir profité pour lui dérober un objet précieux. Fournier et Bernard doivent enquêter avec tact pour éviter de pourrir les rapports entre policiers et pompiers. Alain, Nadine et Chloé enquêtent, eux, sur un maniaque sexuel qui traque une actrice qui fait du porno sur internet.
Une fillette, garçon manqué, crève les pneus d'une voiture de flics. Les policiers comprennent qu'elle a fait cela parce que la voiture était garée sur une place réservée aux handicapés. Malheureusement, sa description ressemble à celle d'un enfant qui aurait récemment agressé une dame.
Dans un quartier sensible, un tireur embusqué s'en prend à des jeunes. La police ouvre une enquête. Les interrogations ne manquent pas : outre l'identité du tireur, ils cherchent à connaître ce qui motive sa sinistre entreprise. Les jeunes faisaient-ils trop de bruit ? Etaient-ils en train de commettre un délit ? Ils découvrent bientôt que leur homme se prend pour un justicier solitaire, désireux de réparer ce qu'il considère comme un manque d'efficacité de la part de la police. Nadine et Bernard, quant à eux, tentent de venir en aide à une jeune femme arrêtée en état d'ivresse, qui leur révèle qu'elle a «égaré» son bébé au cours de la nuit...
Deux chanteurs de rue agressent une malheureuse mendiante qui leur aurait volé le produit de leur quête. Bernard et Chloé enquêtent et finissent par appréhender la mendiante, une femme au profil atypique : mère de famille bourgeoise, elle a récemment tout plaqué, et son compagnon, tout aussi mystérieux, est victime d'un sombre règlement de comptes avec des Roms. La PJ doit parallèlement enquêter sur une prise d'otages à la pharmacie de l'hôpital, où les agresseurs voulaient se fournir en drogue. Vincent ne tarde pas à focaliser ses recherches sur un infirmier, père d'une toxicomane...
Dans une cité, un affrontement entre bandes rivales sème la terreur dans le quartier. De coups de feu en échauffourées, la tension monte. Bientôt, la police interpelle le meneur de l'une des bandes. Mais les caïds du gang adverse décident de faire justice eux-mêmes : ils prennent la PJ d'assaut, déterminés à tirer leur ennemi de sa cellule pour lui faire passer un mauvais quart d'heure. Au même moment, Agathe s'interroge : elle a en effet trouvé une cassette vidéo montrant les ébats de deux adolescents. Qui a filmé les jeunes gens ? En interrogeant l'adolescente de la cassette, elle découvre qu'un chantage est peut-être à l'origine de la vidéo amateur...
Une employée de la Caisse d'allocations familiales a été agressée par un inconnu. Vincent et Agathe s'occupent de l'affaire. Par ailleurs, Franck enquête sur un cambriolage commis chez une juge. Contre toute attente, il confond rapidement le coupable...
Après avoir erré durant trois jours dans les catacombes, sans lumière ni nourriture, un étudiant arrive enfin à trouver une sortie. Il explique à Bernard et Alain qu'il a participé à une fête et pense avoir été victime d'un règlement de comptes entre étudiants. Alain va explorer les catacombes à son tour pour retrouver l'organisateur des soirées souterraines. Par ailleurs, les inspecteurs de la P.J. Saint-Martin sont appelés sur le chantier d'un appartement où un cadavre a été découvert. Franck et Nadine pensent d'abord à une querelle de voisinage qui aurait mal tourné, avant de réorienter leur enquête...
La présidente d'une association féministe a été agressée alors qu'elle faisait signer une pétition contre un employeur sexiste. Au cours de l'enquête, Vincent et Alain apprennent que la jeune femme n'a que peu d'amis et que nombreuses sont les personnes qui auraient de bonnes raisons de lui en vouloir. De leur côté, Agathe et Bernard enquêtent sur un accident de la circulation. Ils recherchent le conducteur de la voiture incriminée, qui a pris la fuite. Ils croient enfin mettre la main sur le chauffard, un homme déjà condamné pour infraction routière. Mais les choses se compliquent quand ils découvrent que l'épouse du suspect, et utilisatrice régulière de sa voiture, mène une double vie...
Nadine est sur le terrain pour effectuer une mission de routine qui, contre toute attente, tourne au drame. Elle se retrouve seule face à un délinquant armé d'un couteau. Quand le malfrat tente de l'égorger, Nadine panique et sort son arme à feu. Elle tire et blesse mortellement le jeune homme. Immédiatement prévenue, Agathe se rend sur les lieux et trouve sa collègue effondrée. Après un rapide examen de la situation, la jeune femme comprend qu'il sera bien difficile de plaider la légitime défense...
Un sourd-muet vend des colifichets dans les cafés et en profite pour faire les poches des consommateurs. Agathe et Alain interpellent cet habile pickpocket et cherchent à identifier son commanditaire. L'interpellé travaille-t-il pour un réseau clandestin d'exploitation des handicapés ? L'individu refuse de répondre à leurs questions. Un homme d'origine marocaine déboule à la PJ et hurle à la cantonade que ses enfants ont disparu. Bernard et Franck identifient la kidnappeuse : il s'agit de la mère des enfants, «répudiée» et renvoyée au pays par son mari en vertu d'une coutume marocaine, illégale en France...
Deux voyous agressent un retraité en pleine rue avant de se rendre chez lui pour cambrioler son appartement. Etrangement, le vieil homme ne semble pas pressé d'aider les enquêteurs. Tenterait-il de dissimuler quelque chose ? Le commissaire Meurteaux découvre qu'on lui a dérobé une arme à feu et des cartouches piégées. Il est inquiet : le fusil risque d'exploser à la figure de son utilisateur. Pendant ce temps, une ravissante étudiante se plaint d'être suivie depuis plusieurs jours...
Une femme accuse un homme, qu'elle avait pris en stop, de l'avoir menacée et agressée avec un couteau. En voulant lui échapper, elle a brusquement ouvert sa portière. Un jeune homme à roller, qui arrivait à cet instant, a été percuté de plein fouet. Grièvement blessé, il a sombré dans un profond coma. Entretemps, l'agresseur a pris la fuite. Bernard et Agathe réussissent néanmoins à le retrouver. L'homme n'a pourtant rien d'un criminel ni d'un violeur. Nico, le fils d'Alain, a refait des siennes. Cette fois, il est en garde à vue pour fabrication et trafic de fausses cartes à puce. Il oeuvre pour le compte d'un réseau organisé : des gangsters dangereux que la PJ traque depuis longtemps...
Un SDF a été blessé en tentant d'empêcher un inconnu de saccager les jeux pour enfants dans un jardin public. Il a peut-être été victime d'un toxicomane en manque. Agathe et Franck organisent une planque dans le parc en se faisant passer pour un banal couple d'amoureux. Franck en profite pour faire sa demande en mariage et annoncer qu'il quitte la P.J. Agathe n'a guère le temps de réagir, car ils assistent à une altercation entre le jardinier du square et plusieurs adolescents. Samba, un petit garçon d'origine africaine, souffre, entre autres, de terribles maux de ventre. Ses symptômes sont caractéristiques d'un empoisonnement à l'arsenic. Transporté d'urgence à l'hôpital, il dit avoir mal depuis la veille, depuis qu'il a mangé le goûter que lui avait préparé sa mère...
Monsieur Séraphin, un propriétaire à première vue respectable, porte plainte contre une de ses locataires qui l'aurait agressé alors qu'il lui réclamait le paiement du loyer. Mais cette même locataire, une jeune étudiante, débarque à la PJ pour porter plainte contre son propriétaire qui aurait tenté d'abuser d'elle... Un passant est brutalement attaqué, en pleine rue. Nadine et Franck identifient un des témoins de l'agression : elle s'appelle Laurence Delandre ; cette jeune femme vit dans le quartier depuis toujours et y tient une boutique de fleurs. Mais elle refuse de témoigner : la sauvagerie de l'agression l'a terrorisée et bouleversée...
Bernard, Alain et Nadine interpellent en flagrant délit deux jeunes voleurs. Mais ils ne retrouvent ni le butin du délit ni leur complice... De leur côté, Agathe et Franck sont sur une autre affaire. Une lycéenne a reçu de l'acide sulfurique en plein visage. Elle risque de rester défigurée. Les deux policiers interrogent l'ex-petit ami de la victime...
Vincent, qui a quitté la PJ, travaille depuis quelques mois pour le BRI. Il tente d'infiltrer une dangereuse équipe de braqueurs de fourgons blindés. Endossant l'identité d'un ancien casque bleu brisé par la guerre et reconverti comme convoyeur de fonds, Vincent fait la connaissance de Vatel le recruteur du gang. L'illusion est parfaite et Vatel lui propose de participer au casse. Mais l'arrivée dans l'équipe de braqueurs, d'un jeune homme que Vincent a arrêté deux ans auparavant, risque de compromettre son infiltration...
Une relation de confiance, s'apparentant presque à de l'amitié, s'est instaurée entre Vatel et Vincent. Ce dernier le convainc même de partir avec lui après l'attaque espérant ainsi l'arrêter sans risquer une effusion de sang. Mais il ignore que Brocca, le patron de la BRI, ne veut plus prendre de risques. Il a décidé de maintenir ses troupes d'élite pour une arrestation en flagrant délit. L'opération est un fiasco...
Une relation de confiance, s'apparentant presque à de l'amitié, s'est instaurée entre Vatel et Vincent. Ce dernier le convainc même de partir avec lui après l'attaque espérant ainsi l'arrêter sans risquer une effusion de sang. Mais il ignore que Brocca, le patron de la BRI, ne veut plus prendre de risques. Il a décidé de maintenir ses troupes d'élite pour une arrestation en flagrant délit. L'opération est un fiasco...
Arrivée à la PJ, Agathe entend un coup de feu : elle découvre Porret dans les vestiaires, seul, vivant, mais une balle dans la tête. Sitôt ce dernier emmené à l'hôpital, l'IGS dépêche l'un de ses agents, Hofman, pour déterminer s'il y a eu accident ou tentative de suicide. L'ambiance est lourde à la PJ, tout le monde est sous le choc de la nouvelle et la présence d'Hofman, qui a eu des rapports tendus avec Porret par le passé, n'arrange pas les choses...
En sortant de chez lui, Michel Weil, un dentiste de 43 ans, se fait agresser par un type à moto qui le menace à propos de sa compagne. Il s'agit de Claire Royer, une jeune fille bien sous tout rapport, mais le fichier de son frère, professionnel du crime, est impressionnant ! Les premières pistes laissent penser que ce dernier serait à l'origine du délit. Rayann et Chloé tentent de démêler le faux du vrai. Ensemble sur l'affaire, ils ont du mal à s'entendre...
L'atelier St Martin est occupé depuis 27 jours par ses ouvriers qui refusent la fermeture de l'entreprise et menacent de déverser des produits toxiques dans le canal St Martin si leurs revendications ne sont pas prises en compte. Lorsque l'un des jeunes travailleurs est agressé, c'est l'occasion rêvée pour un responsable de la Préfecture de Police de faire entrer dans l'usine Agathe et Vincent afin de mener l'enquête mais aussi, et surtout, pour voir de quels types de produits chimiques disposent les ouvriers. Mais quand Vincent est découvert, fouinant dans l'atelier, le ton monte et les ouvriers décident de séquestrer les deux policiers...
Suite à un appel anonyme, Nadine et Rayann interpellent Jean-Marc Lagarde, propriétaire d'un dépôt/garde meuble. Ce dernier serait un trafiquant et entreposerait dans ses locaux 25 palettes de cigarettes. Lagarde est arrêté en compagnie de Lana, une jeune femme de 17 ans et 11 mois qui se trouve être sa petite amie depuis quelques années. Les cigarettes sont introuvables, les enquêteurs décident alors de fouiller dans le passé commun des deux interpellés...
Vincent et Agathe sont appelés par le centre de traitements des appels du 119, "Allô enfance maltraitée". L'une des membres de l'équipe a en effet reçu le coup de fil d'un gamin battu qu'elle pense être du quartier. Les deux policiers ne tardent pas à identifier l'enfant et convoquent ses parents. Mais le petit a disparu.
Chloé et Agathe enquêtent sur un certain Buhran, accusé d'agression par Thomas, un petit garçon. Buhran est l'amant de la mère de Thomas. Si les deux officiers pensent tout d'abord à une affaire de pédophilie, la suite de l'enquête les mènera sur une tout autre piste.
Frédéric Kant, jeune cadre de la GIF, gestion de patrimoine, est retrouvé mort d'une overdose sur son lieu de travail. Sur place, Agathe et Bernard interrogent une secrétaire qui accuse leur patron d'harcèlement moral sur ses employés. Ils avancent dans l'enquête grâce à Lucas Talbot, un ex-collègue de Frédéric Kant, qui confirme les dires de la secrétaire. Cependant Talbot semble lui aussi lié à ces histoires de drogue. Après une perquisition chez lui, Agathe et Bernard découvrent des doses correspondant à celles trouvées sur la victime.
Une petite fille a probablement contracté le virus de la rage... Chloé et Bernard se rendent chez sa voisine, propriétaire d'une chienne cocker . L'animal présente les symptômes extérieurs de la maladie, or le certificat de vaccination est en règle. Reste à rencontrer la personne qui l'a vacciné... Il s'agit d'une jolie véto, très chic, Estelle Gaudefroy, dont les déclarations ne font que renforcer les doutes quant à la bonne conduite de son métier.
Un cocktail molotov a été lancé dans une synagogue. L'incendie qui a suivi a provoqué des dégâts matériels, mais n'a fait aucune victime. Cet incident provoque l'effervescence dans le quartier. La police doit rapidement retrouver les responsables de cet acte pour calmer les esprits. C'est Agathe qui se charge du dossier, ce qui lui permet de renouer avec sa religion. Alain, lui, cherche à mettre la main sur une bande de voyous, qui ont séquestré et torturé un jeune homme au domicile de ses parents pendant plusieurs jours. Mais Alain doit aussi gérer les frasques de son fils, pris en flagrant délit de chapardage...
Le client d'un garage accuse le mécanicien Johachim d'avoir mis en danger sa vie et celle des membres de sa famille en n'ayant pas réparé sa voiture comme il le fallait. Il finit par porter plainte... Rayann et Nadine mettent le doigt sur une affaire de trafic de pièces mécaniques. Roger Antoine, un vieux monsieur à la retraite, vient signaler la disparition de sa femme, Jocelyne, qui n'est pas rentrée chez elle après s'être rendue chez leur fille... Devant la mairie, on fête le mariage de Cora et Bernard, que ce dernier voulait pourtant cacher à tout le monde. Vincent est vexé de n'avoir pas été choisi comme témoin.
Une patrouille trouve un corps découpé en petits morceaux dans un caddie tiré par un vieil homme de type africain. Nadine et Bernard s'en chargent mais le vieil homme les intrigue, il n'accepte pas de révéler son identité et jure n'avoir tué personne. Il fi nit par révéler l'identité de la victime : Maurizio Mélita. Mais les choses se compliquent lorsqu'ils découvrent que ce vieil homme, Gilbert Moyaké, a en réalité deux femmes et que l'une d'entre elles entretenait une relation intime avec la victime.
Rayann intercepte le mystérieux appel d'un homme qui parle d'un viol commis sur une jeune fille. Cet homme veut parler au commissaire Bardon, prédécesseur de Meurteaux à la PJ Saint-Martin. Ils découvrent que l'homme parle en fait d'un viol qu'il pourrait bientôt commettre. Bernard reçoit la plainte pour vol d'une femme d'une quarantaine d'années, Prune Gagnac. Elle avait loué les services d'un strip-teaseur avec Juliette Letellier, une amie.
L'hôtel du Passage accueille décidément de drôles de personnes... M. et Mme Tarot, un couple d'hôteliers sans scrupules, accepte "d'héberger" des malades mentaux, placés dans l'hôtel par leur propre famille. Si Mme Tarot nie les faits, elle est très vite prise au piège par son passé d'infirmière en psychiatrie... Près du canal Saint-Martin, un petit garçon disparaît. Un SDF, Cosmo, est soupçonné d'être impliqué dans l'affaire, surtout lorsque la mère dit reconnaître le jouet de l'enfant dans le caddie du clochard. Mais Agathe et Rayann ont décidément bien du mal à trouver la moindre trace du petit garçon.
Bernard et Chloé, mandatés par le substitut du procureur à propos d'IVG suspectes, enquêtent sur une fille de 14 ans, Marine Henry, qui a demandé un avortement anonyme. Rayann reçoit la plainte d'une femme de soixante ans menacée au pistolet par Ludovic Abgrall, le fils de 17 ans de la famille pour laquelle elle travaille. Rayann enquête sur les relations du jeune homme.
Un fils, inquiété par une lettre de ses parents annonçant leur intention de se suicider, alerte la police. Bernard et Agathe se retrouvent sur les lieux, ils découvrent la mère morte par strangulation et le père endormi par des somnifères. Ludovic Mintrot, un jeune commercial, négociateur immobilier, vient porter plainte pour vol, coups et blessures lors d'une banale visite immobilière, mais, en réalité, il n'ose avouer ce dont il a réellement été victime : un viol. Rayann et Nadine enquêtent sur les deux agresseurs dénoncés par la victime.
Germain Goron, concierge dans un collège, est retrouvé dans un triste état, violemment tabassé. Léonetti et Bakhir mènent l'enquête. L'homme identifie son agresseur : Julien Aubert, un jeune motard propre sur lui, qui est en instance de mariage. Cora est agressée par Bruno Rosso, un proxénète. Chloé, en planque devant sa caravane, lui évite le pire, mais doit ensuite justifier sa présence sur les lieux devant Meurteaux. Chloé soupçonne Cora d'avoir replongé d'une façon ou d'une autre...
Le commissaire Meurteaux a mobilisé toute la P.J Saint-Martin autour d'une affaire de vols de journaux qui mettent à mal tous les kiosquiers parisiens. En planque devant l'un de ces kiosques, Agathe et Bernard repèrent un véhicule dont le chauffeur dérobe une pile de journaux. Le véhicule appartient à Christian Legrand, ex-taulard qui a fait 10 ans de prison pour enlèvement. Nadine et Vincent enquêtent sur une affaire d'exhibitionnisme devant une école primaire. Magalie, une petite fille de 10 ans, accuse Emmanuel Clément, venu accompagner sa belle-fille qui est dans la même classe que Magalie, de lui avoir montré son sexe.
Louba Serrero, fulminant contre des plaisanciers du port St Martin, est ramené au poste par Agathe et Nadine pour trouble à l'ordre public. L'homme est un PDG déprimé, compagnon d'un soir de clochards vivant sur le port. Il dit avoir été enlevé avec les autres par ces mêmes plaisanciers, puis abandonné le long du canal de l'Ourcq. Un des clochards, Max est retrouvé mort dans le canal... Jacques Pradier, partenaire de Meurteaux à la pétanque, est catastrophé : son appartement a été cambriolé. Meurteaux, Léonetti puis Chloé se chargent de l'affaire.
Une jeune femme est étendue, baignant dans son sang au milieu de la rue. Après examens approfondis, il s'avère que Marie Gardinier a subi un avortement mal fait, au-delà du délai légal sans que son mari ne soit au courant. Eliane Contini, dont le fi ls est incarcéré pour 12 ans, suite à un braquage, appelle Vincent en larmes. Il décide d'aller la retrouver pour lui remonter le moral et tombe dans un traquenard. A la P.J. Saint-Martin, tout le monde s'inquiète de la disparition de Vincent Fournier, surtout Agathe qui vient de découvrir qu'elle est enceinte.
Toujours aucune nouvelle de Vincent Fournier. La Crim se charge désormais de l'affaire. Fait étrange : Bernard retrouve le téléphone cellulaire de Vincent dans le sac d'Eliane Contini. Pour en avoir le coeur net, Rayann décide d'interroger William Contini, son fi ls, à la Santé. Celui-ci balance à nos fl ics que sa mère a enfermé Vincent et que plus jamais ils ne le retrouveront vivant. Jean-Marie Vergnes est agressé au cutter dans l'ascenseur de son HLM par Arnaud Leguen, 18 ans. Agathe et Rayann enquêtent sur un vol à l'hôpital. La voleuse, souffrant d'une appendicite aigüe, est entrée aux urgences sous un faux nom et a subtilisé le sac d'une patiente.
En retard à l'école, Rayann décide d'accompagner Nadine et sa fille Ninon en voiture, mais sur le chemin, ils se font tirer dessus. Une enquête est aussitôt lancée, tout porte à croire qu'il s'agirait d'un tireur sportif. Agathe semble être sur une piste dans l'affaire Contini : Eliane Contini aurait enfermé Vincent avant de mourir. Une ex de William Contini aurait balancé l'adresse d'une salle de répétition.
Le commandant Lukas débarque à la PJ Saint-Martin, précédé par une réputation de héros suite à un braquage où il s'était porté volontaire pour remplacer un otage. A peine arrivé, une affaire de cambriolage lui tombe sur les bras. Avec Nadine, ils reçoivent Marina, une jeune femme du sud dont le mari a disparu... Meurteaux en voiture croit apercevoir Vincent à un carrefour. Il part à la poursuite de l'ombre, mais la perd en un rien de temps. Il rencontre Hugo, un jeune survolté en pleine dispute avec un tapissier. Hugo aimerait porter plainte contre le tapissier, qui n'est autre que le père de Célia dont Hugo est amoureux.
En ce dimanche matin, Rayann et Lukas font leur jogging le long du canal St Martin. Rayann croise un vieil habitué des gardes à vue de la PJ en train de ranger un gros paquet d'ecstasy dans le coffre de sa voiture. L'habitué, de son nom Martinez, a trouvé une parade infaillible pour éviter la garde à vue : il connaît l'homme qui a vu Vincent Fournier en dernier. Un dénommé Lansac. Meurteaux et Rayann se rendent alors chez Lansac pour une perquisition musclée. Ils comptent bien lui faire avouer ce qu'il sait à propos de Vincent...
Une femme, Madame Hu, vient signaler la disparition de Lu, sa fille, qui devait arriver de Pékin la veille. Avec le renfort de Berteuil, de la 2e DPJ, Lukas parvient à lui faire avouer qu'elle a payé les services d'un passeur, ce qui lance les enquêteurs sur la piste d'un trafic de main d'oeuvre clandestine. Karine Brunet, jeune cadre ambitieuse, est depuis quelque temps victime de harcèlement. Pour Rayann, c'est probablement l'oeuvre d'un collègue jaloux de la réussite précoce de la jeune femme. Or, Karine étant sur le point de se marier, les menaces pourraient aussi provenir d'une éventuelle rivale... La PJ se réunit pour les obsèques de Vincent.
Une adolescente est arrêtée alors qu'elle tente d'entrer par effraction dans un appartement. Elle soutient qu'il s'agit de celui de ses parents. Elle n'a pas de papiers mais dit s'appeler Antoinette Doulay... Comme une petite fille disparue quelques années plus tôt. Un jeune homme vient porter plainte pour agression. Un homme l'a frappé avec une matraque avant de lui prendre son argent. Bernard reconnaît le plaignant : c'est Quentin, un dealer d'héroïne bien connu des services de police. Quentin a reconnu son agresseur : c'est le compagnon d'une de ses anciennes clientes, Trina.
Un jeune noir, Patrick Louboutin, est retrouvé brûlé au troisième degré dans les vestiaires d'un stade. Patrick étant un très bon joueur, Rayann et Agathe pensent d'abord qu'il a été victime de la jalousie de ses coéquipiers. Mais s'il s'agissait d'un acte raciste ? Une jeune femme vient reporter la disparition de son ami, Grégoire Hermann. Elle n'a plus de nouvelles depuis la veille lorsqu'au terme d'une soirée bien arrosée, Grégoire a fait appel aux services d'une agence de chauffeurs pour rentrer chez lui. Chloé fait pour l'occasion équipe avec Lukas, et elle en est ravie : Lukas lui a visiblement tapé dans l'oeil...
C'est la veille de Noël. Léonetti arrête une femme complètement saoule qui s'est mise à insulter bruyamment les hommes de la PJ depuis la cour du commissariat. De leur côté, Nadine et Rayann tentent de disperser des manifestants qui ont pris d'assaut une charcuterie, protestant contre les pratiques sauvages des producteurs de foie gras. Chloé et Lukas enquêtent sur la disparition d'un retraité, Emile Mermoz, injoignable depuis quelques temps. Une église est envahie par un groupe d'intégristes catholiques, la Confrérie de la main de Dieu. Meurteaux envoie Léonetti négocier avec eux.
Suite à un coup de téléphone alarmant, Chloé Matthieu apprend d'une inconnue que son fils est victime de maltraitances. Inquiète, elle convient d'un rendez-vous avec son interlocutrice. Là, elle tombe nez à nez avec maître Gladys Dupré. Mais c'est droit dans un piège que les deux femmes ont foncé tête baissée. Quel est le but de cette machination ? Toute la P.J. St Martin monte au créneau pour défendre Chloé. Quant aux membres du cabinet Zelder, ils sortent bec et ongles pour tirer leur consoeur de ce guêpier...
Antoine Rouche est retrouvé inconscient chez lui dans un état déplorable. Il déclare à Agathe et Rayann que sa femme a tenté de l'empoisonner mais les médecins diagnostiquent une simple gastro-entérite. Lors d'un banal contrôle, une patrouille immobilise le véhicule de Marc, un jeune homme de 25 ans, pour défaut de présentation de papiers et appelle le commandant Lukas en renfort. Quelques minutes plus tard, une femme pénètre dans le commissariat paniquée : elle vient de se faire voler sa voiture.
Un employé de la voirie vient de signaler aux policiers qu'une jeune femme est assise dans sa voiture avec une arme de guerre sur le siège passager. Lorsque Bernard et Agathe interviennent, la jeune fille, Pauline, réagit violemment... Maurice Courcel, chef du restaurant Le Bistrot du canal, fête sa retraite avec tous ses collègues. Mais lors du pot de départ, les mille euros qui avaient été réunis par l'équipe disparaissent mystérieusement. En enquêtant, Nadine et Rayann découvrent que le voleur ne peut pas venir de l'extérieur... Lukas est appelé à témoigner à la cour d'assises sur l'affaire qui avait fait de lui un "héros" médiatique et qui avait entraîné son divorce.
A la nouvelle soupe populaire, France Solidarité, deux SDF semblent avoir été victimes d'un empoisonnement. Chloé et Lukas sont chargés de l'affaire. L'association, tenue par Véronique Michelet et quelques bénévoles dont Loïc Bertillon, serait coupable de discrimination raciale. Bien qu'elle s'en défend, Chloé trouve là l'occasion de tenir des propos franchement racistes. Son couple avec Tony bat de l'aile. Stéphanie Chatel, 22 ans, est victime d'une violente agression. Menant l'enquête, Bernard et Rayann découvrent que la jeune femme fréquente une organisation écologique aux pratiques douteuses. De son côté, Bernard ne supporte pas de voir Rayann exercer un tel pouvoir sur Nadine. Selon lui, elle est en train de perdre sa personnalité.
Nouvellement engagée à la PJ, le Capitaine Juliette Antoine suscite immédiatement la méfiance de l'équipe. Trop zélée pour être honnête, la jeune femme, ex-chef adjoint de la Crim', semble cacher quelque chose. Agathe, qui tente de masquer l'inquiétude provoquée par son nouveau rôle de mère, est finalement la seule à vouloir laisser sa chance à Juliette. Mais, sceptique, Meurteaux lui demande d'accompagner la nouvelle recrue dans sa première mission : l'arrestation d'un pickpocket. Lors de l'audition, les méthodes de la jeune femme s'avèrent plus que douteuses... Un jeune de 14 ans, Kevin Charentin, vient voir Lukas au sujet d'une agression, sur laquelle ce dernier enquête : le père de Kevin est en prison depuis trois ans, pour une affaire similaire. Persuadé de son innocence, le garçon demande à Lukas de rouvrir le dossier. Un mégot de cigarette, trouvé chez la première victime, va permettre d'établir le lien entre les deux affaires...
Le Jenny's bar est incendié. Mylène, une ex-prostituée de 60 ans qui était occasionnellement une indic de Léonetti, est très sérieusement brûlée. Rayann, qui se trouve sur les lieux, tente de lui venir en aide. Aidé de Bernard, il va découvrir l'existence d'un réseau organisé par un ancien flic municipal, André Gérard, reconverti dans la gérance de salles de combat. Un handicapé moteur, monsieur Ambert, a été victime d'une tentative de meurtre par hypothermie. La cuve de sa chaudière a en effet été entièrement vidée. Agathe et Nadine sont chargées de l'enquête. L'acidité d'Agathe trahit de plus en plus sa jalousie à l'égard de Nadine et de sa relation avec Rayann.
Théo, 7 ans, a disparu. Ses parents, Isabelle et Kinetete, sont séparés et s'accusent mutuellement de l'enlèvement. Chloé et Maxime font équipe. Ils ne tardent pas à découvrir l'existence d'un deuxième homme, Dartois, qui prétend être le véritable père de Théo... Ce qui est confirmé par Isabelle, à la surprise générale. Tous ont un mobile, mais lequel d'entre eux a commis l'enlèvement ? Valérie Bellini est soupçonnée par sa famille d'être dépendante d'une secte. Ses parents ayant demandé son émancipation, malgré sa minorité, ne sont plus en mesure d'intervenir. Ils demandent l'aide de la PJ. Criblée de dettes et sur le départ pour un séminaire «thérapeutique», la jeune fille serait victime du «gourou» Pascal Prou. Ce dernier se défend, prétendant uniquement faire de l'accompagnement psychologique. Menant l'enquête, Rayann et Agathe vont avoir des doutes sur la culpabilité de Prou. Ils découvriront que les problèmes de Valérie ont peut-être une autre origine
A la suite d'un deal qui vire à la fusillade, un lycéen est tué et un policier blessé. Identifiant le malfrat sous les traits de Kevin Renaud, Léonetti est sous le choc : il reconnaît l'homme qu'il a fait tomber pour vol à main armée la semaine passée. Malgré les remontrances de son collègue Rayann et de son chef Meurteaux qui lui intiment l'ordre de laisser l'affaire au commissaire Motard des stups, Léonetti mène sa propre enquête. Chloé et Nadine sont sur la piste d'un «arnaqueur» qui s'est fait repéré en accumulant les petites combines de recel. Elles identifient et interpellent Michel Rosetti, récemment sorti de prison. L'homme souhaitait s'acquitter d'une dette qu'il avait contractée auprès d'un caïd en prison. Depuis le braquage de Colombes, le commandant Lukas semble avoir perdu de son mordant. Ses hommes lui reprochent son manque «d'initiatives»
Enquêtant sur une affaire de viol, Agathe et Lukas essaient de démêler le vrai du faux. Valérie, une belle jeune femme, accuse Satis d'avoir abusé d'elle en l'obligeant à visionner une vidéo zoophile. Alors qu'ils perquisitionnent l'appartement de Satis, resté en garde-à-vue, pour mettre la main sur la vidéo compromettante, les deux policiers surprennent Valérie revenue chercher de la dope cachée dans la baignoire. Un adolescent de bonne famille, Jules, est interpellé par Rayann et Chloé : pour empêcher qu'on lui vole son scooter, il a frappé son agresseur avec son casque et l'a salement amoché. Un autre garçon, Salem, était sur les lieux de l'altercation : il a pris la fuite quand il a vu les flics. Chloé le soupçonne de ne pas être tout blanc dans cette histoire
Une femme, Louise Capalini, a été agressée par balle dans la rue au petit matin. Blessée à l'épaule mais hors de danger, elle est interrogée par Chloé et Lukas. Elle déclare qu'un individu balafré a tenté de lui voler son sac, et par dépit, lui a tiré dessus avant de prendre la fuite. Lorsqu'ils découvrent que Louise sortait ce matin-là de chez son amant, ils soupçonnent l'agression passionnelle...
Agathe se rend sur les lieux d'une possible séquestration. En effet, sur le témoignage d'un voisin qui assure avoir entendu des gémissements, elle s'avise d'une cave humide où repose un vieux matelas empestant le chloroforme. Mais l'hypothétique victime a disparu. Chloé et Lukas enquêtent sur une affaire de viol subi par une très belle trentenaire Clémentine Berty. Pour ne pas leur faciliter la tâche, le bourreau a pris toutes ses précautions : cagoule, gants et préservatifs. Menant l'enquête, ils découvrent que la victime et son mari fréquentaient un club privé échangiste.
Un vide-grenier a été organisé devant le commissariat, question de communication. Cyrille Merlot, un employé d'une fabrique de vêtements pour l'armée, a été grièvement blessé lors d'une explosion survenue dans l'entreprise. On retrouve des débris de grenade. Le patron, Norbert Céjak, fuit visiblement la police, qui découvre des lettres de menaces anonymes dans un de ses dossiers. De son côté, Bernard Léonetti doit s'occuper d'une certaine Sylvie Dumont qui accuse un brocanteur de recel de la montre de son grand-père, volée il y a quelques mois. Pendant ce temps, Valérie Perrache en cavale se rend chez Maxime Lukas, lequel profite rapidement de ses charmes, avant de la livrer à ses collègues policiers.
On signale à Agathe un étrange cambriolage par effraction dans un grand appartement parisien. L'objet du vol : une tablette de chocolat. Sur place, elle interpelle un homme qui s'est échappé par la fenêtre du troisième étage, témoignant par là des dispositions physiques d'un acrobate aguerri. Une jeune femme, Annabelle Brun, se suicide peu de temps après avoir porté plainte pour viol contre Diego Lourson. Bernard interpelle le suspect mais il manque de preuves pour l'inculper. Il ne tarde pas à recevoir une autre plainte formulée par Agnès Blondel, qui semble avoir subi les mêmes sévices qu'Annabelle, étayant ainsi l'hypothèse d'un violeur en série. Tandis que Bernard apprend le suicide de la greffière liée à l'affaire Langevin, Simone accepte mal qu'Agathe reprenne sur Vincent ses prérogatives de «vraie maman»...
Agathe et Cloé sont appelés auprès de la famille Benasser. Suite à une plainte pour coups et blessures de son fils Bilal, Mr Benasser a été écarté de sa famille. Elles le retrouvent pourtant au domicile familial en pleine dispute avec son fils. Mr Benasser est immédiatement arrêté et risque d'être renvoyé au Maroc. Mais la plainte pour violence était-elle vraiment justifiée ?
Un inspecteur du travail a été agressé mais refuse de parler. Agathe et Nadine vont l'accompagner dans son obsession professionnelle et sa croisade pour des conditions de travail décentes et légales afin de comprendre qui lui en voulait et pourquoi. Une jeune fille vient porter plainte pour son grand-père. celui-ci aurait été victime d'abus de confiance et de vol par la jeune femme avec laquelle il avait une liaison...
Agathe et Bernard vont découvrir une étonnante mise en scène : une femme médecin gynécologue est retrouvée dans une marre de peinture rouge entourée de bocaux de foetus conservés dans du formol et volés au musée d'histoire naturelle. Qui a organisé une telle action et pourquoi ?
André Gérard est sous la surveillance de Nadine et de Chloé de la P.J. Il est suspecté d'avoir mis en place, avec son complice Langevin, un système de blanchiment d'argent en utilisant les commerçants du quartier. L'enquête sur ces hommes serait à l'origine du remplacement de Meurteaux. Bernard et Rayann enquête sur un acte de vandalisme dans un «Phone call», un acte raciste selon les indices trouvés sur les lieux. Meriem, anciennement Marie Leroux, s'est convertie à l'islam en 2004, son ex-mari aurait mal accepté ce changement. Bernard et Rayann partent donc à la rencontre de cet homme et de son fils, âgé de quinze ans. Frank Lamougie de passage à Paris renverse un cycliste. Ce dernier, en stade terminal, s'avère être un donneur d'organes. Frank appelle Agathe pour lui demander de l'aide...
Une femme d'une soixantaine d'années est arrêtée en pleine rue après avoir agressé un homme, Lionel Dumont. L'équipe de la PJ va découvrir qu'il s'agit d'une accusation de viol, mais un viol qui date d'il y a plus de 45 ans, pendant la guerre d'Algérie. Pourtant elle a reconnu son agresseur... Un jeune garçon a tiré sur son voisin. Il voulait juste le menacer mais dans la panique, le coup est parti, heureusement sans mal... Nadine et Bernard vont tenter de comprendre quels sont les enjeux et les répercussions liés à cette agression
Des jeunes dans un squat agressent des policiers et jettent des objets lourds sur leurs véhicules. Une grosse pierre tombe sur l'une des voitures, tuant le gardien Michon. Quentin, le professeur de basket du quartier, venu soi-disant pour calmer les jeunes, est fortement suspecté... En garde à vue, «agressé» par les gardiens qui veulent venger la mort d'un des leurs, il est interrogé par Lukas, Rayann et Bernard. Mais est-ce le vrai coupable ? Au volant de sa voiture Dominique Garrand est rentrée en collision avec une voiture de police. Interrogée par Chloé, la vérification du permis de conduire de la jeune femme laisse paraître qu'elle aurait, en plus de l'accident, omis de restituer une Mercedes louée à Nice. Mais Chloé et Nadine s'aperçoivent très vite qu'elle est victime d'un usurpateur d'identité. Son compte en banque a aussi été vidé.
Une femme, pieds nus, le visage en sang, affolée, Magali Janson, surgit dans la cour de la PJ. Elle a été agressée chez elle par un ou plusieurs hommes et a sauté par la fenêtre pour leur échapper... Lukas et Bernard présents à ce moment là, prennent l'affaire en main
Zlatan, jeune homme de 18 ans, originaire d'Europe de l'Est, est arrêté par Bernard et Chloé, il est accusé de vol, coups et blessures sur la personne de Robert Corty, conseiller bénévole de l'association parisienne d'aide aux jeunes errants. Au fur et à mesure de leur enquête, nos flics vont mettre à jour le sombre trafic mis en place au sein de cette association
Bernard et Nadine enquêtent pour découvrir celui qui a mis feu à l'appartement de Mina et Florian, un couple apparemment bien sous tout rapport. Mais les apparences sont parfois trompeuses et les rapports aussi... Lukas décide d'emmener Lou, sa stagiaire, sur le terrain. Sally B s'est fait voler son matériel le jour même de son concert. Si la chanteuse accuse dans un premier temps le gérant de la salle, les soupçons se portent très vite sur le gang des «perce muraille» qui sévit depuis quelques temps dans le quartier. Lukas et Bernard décident de mettre sur écoute le Dojo, lieu névralgique, lié à l'affaire impliquant Langevin, le secrétaire général de la Mairie, impliqué dans la mise à la retraite forcée de Meurteaux
Nadine et Rayann doivent collaborer sur une affaire de sabotage d'ascenseur dans un immeuble. La porte de sécurité de l'ascenseur a été enlevée et une victime est tombée du 5ème étage. Les soupçons se portent sur Francis Lalande, l'un des habitants de l'immeuble, qui a déjà procédé à quelques dégradations pour dénoncer les conditions vétustes des équipements de l'immeuble. Chloé et Lou sont envoyées sur une agression devant une fac de médecine. La victime, Thomas, semble très évasive quant à cette agression et personne ne semble se soucier de lui, pas même Mathilde, sa petite amie. Bernard décide de convoquer Langevin...
Rayann et Chloé sont sur une affaire d'agression. Serge Cayatte a été retrouvé les mains mutilées. Il s'avère que Serge Cayatte est très connu sous le nom d'Ultime Terminator, «nettoyeur» dans les jeux vidéo en ligne, où il règne en véritable terreur. La réalité aurait-elle rejoint la fiction virtuelle ? Saboureau, la remplaçante de Meurteaux, veut faire du zèle et du chiffre et appliquer la tolérance zéro
Léa, une petite fille de 6 ans a été enlevée. L'agresseur a poussé la mère dont le crâne a heurté le trottoir. Cette histoire rappelle à Bernard et Chloé l'Alerte enlèvement de la petite Margot qui ressemble trait pour trait à Léa. A la surprise de tous, la petite Léa fait son apparition en larmes, au commissariat. Rayann et Bernard tente d'élucider cette étrange affaire de vol : 4 hommes sur 2 motos se seraient apparemment attaqués à une petite agence de voyage pour ne dérober que 12 000
Chloé et Lucas sont appelés aux urgences : un professeur de musique, Nicolas Dumont, a fait un malaise sur la voie publique. Son corps montre des traces de coups et de brûlures. Chloé l'interroge, mais Dumont refuse de s'expliquer. Lukas suggère qu'il serait judicieux d'enquêter au collège où enseigne Dumont. Arlette Colombier, la principale du collège, informe Chloé du fait que Dumont était persécuté par ses élèves, et plus particulièrement par deux d'entre eux, Moussa Cissé et Richard Damian. Lukas et Chloé les interrogent, mais ils semblent ignorer ce qui est arrivé à leur professeur. Ils finissent tout de même par lâcher qu'un certain "Tartare" serait à l'origine de cette barbarie...
Chloé découvre que le jeune Luc Maillet, 14 ans, mis en garde à vue pour insultes à agent, présente de nombreuses ecchymoses. Son père est connu des services de police pour coups et blessures sur mineur. Nadine et Bernard enquêtent sur une agression perpétrée contre le docteur Jean-Marc Bellan, poussé du haut des escaliers menant à son cabinet. Peu de jours auparavant, il avait chassé de chez lui Michka Valeski, son amant, un étranger en situation irrégulière. Nadine est toujours soupçonnée d'être impliquée dans la mort de Karine et est harcelée par la DPJ. Des faux avis de recherche d'enfants disparus se multiplient sur les murs du quartier. Rayann et Lou enquêtent. Lou se croit suivie en rentrant le soir chez elle, et en fait part à Saboureau. Le coupable n'est autre que Lukas, qui tente bientôt de séduire la jeune femme...
Nadine et Chloé vont chercher Ingrid et son fils Yann, sans papiers, afin de les renvoyer en Ukraine. Un collectif, dirigé par Antoine Colbert, tente de les en dissuader. L'homme doit épouser Ingrid dans 48 heures. Yann demeure introuvable, Ingrid dit qu'il a fait une fugue le matin même. En menant leur enquête, Nadine et Chloé se rendent compte que Yann a disparu depuis deux mois. Au commissariat, une femme d'origine africaine, Counta Bie, dit être sans papiers et vouloir rejoindre son pays, le Sierra Leone. Les policiers trouvent ça étrange : peut-être a-t-elle tout intérêt à ne pas rester en France...
Valérie Musset, une quarantenaire, est retrouvée en train de convulser sur un trottoir. En interrogeant les voisins de la victime, Bernard et Nadine apprennent qu'elle a accouché trois jours plus tôt. Valérie ne semble pas s'être préoccupée de l'arrivée du bébé : il n'y a ni biberon ni berceau dans son appartement, et ses amis n'étaient même pas au courant de sa grossesse. Valérie prétend que l'enfant est mort né, mais Bernard découvre une photo de l'enfant en parfaite santé. Nadine, Bernard et Rayann tentent donc de savoir s'il s'agit d'un infanticide, d'un kidnapping ou d'un commerce de nouveaux nés. Lukas et Chloé enquêtent sur la mort d'un vigile, Bruno Flanche, dont le corps a été retrouvé à proximité d'une voie ferrée. Sur les lieux, ils trouvent une bombe de peinture et un tag inachevé signé «Klong». Il s'agit de Christophe Beaunois, un jeune garçon de 17 ans. Il les informe du fait que la veille au soir, une bande de sept ou huit jeunes l'ont agressé...
Lukas et Rayann s'entretiennent avec Valérie, qui a recueilli une prostituée cherchant à fuir son mac. Après les quelques menaces du proxénète, et les pressions exercées par la P.J., elle avoue avoir pénétré avec sa soeur dans l'engrenage de la prostitution occasionnelle... Depuis que son mari a quitté la prison, Corinne Martino s'inquiète des absences répétées de sa fille, une brillante collégienne de 14 ans. Bernard et Nadine comprennent que la jeune fille a été manipulée par un ancien voisin de taule du mari de Martino, condamné pour abus sur mineure. Elle serait ainsi séquestrée dans une vieille usine désaffectée. L'affaire de la fiancée de Rayann n'est toujours pas résolue. Selon Bernard, des types de la DPJ viennent de trouver un témoin de l'accident. Nadine revient alors sur les lieux du crime...
Suite à l'agression d'un couple, la PJ découvre le harcèlement que subissait Denis Clavet, un médecin du travail dont le silence a été acheté par un puissant groupe de produits chimiques. Claire, dont l'enfant a été victime des produits toxiques reste impuissante face au loby qui aurait pu l'indemniser... Des nouvelles recrues viennent d'arriver à la PJ. L'un d'eux, Moreto, tente de s'intégrer auprès de Lukas dans une affaire de femmes battues à "Little Jaffna". La jeune veuve Amoli, qui explique avoir été frappée par son beau-père, lance un faux témoignage désespéré pour éviter que son fils ne reparte avec sa belle-famille en Inde...
La commissaire Saboureau reçoit la visite inopinée d'une ex-compagne, Valérie, qu'elle n'a pas revue depuis 8 ans. A l'abri des regards, Valérie se plaint des mauvais traitements de son nouveau compagnon, Jean-Pierre, haut placé dans la police et qu'elle voudrait quitter. Elle demande de l'aide à Saboureau qu'elle sait sensible à ses charmes. Nadine et Rayann subissent l'interrogatoire d'Almasy au sujet de la noyade de Karine, l'ancienne compagne de Rayann à qui Nadine n'a pas porté secours...
Bernard tente de rassurer Eliane et Pastor, qui feint un malaise cardiaque, et obtient ainsi les aveux d'Eliane qui confesse être responsable de l'intoxication alimentaire de son fils. Coincés sous les décombres, Léo, Léa et Lukas cherchent à dégager un pan de mur pour mieux respirer : le gaz qui s'échappe des tuyaux menace de les asphyxier. Leurs coups répétés sur la paroi provoquent des éboulements dans le bureau de Bernard et blessent Eliane. Touchée mortellement, Valérie déclare son amour à Saboureau d'une voix audible par tous...
Mathilde Dubosq, chargée par la mairie du dossier de la sécurité de la ville, est effarée par les résultats catastrophiques de la PJ Saint Martin. Afin de satisfaire l'électorat du maire, Chassagne, le commissaire de cette PJ, est contraint de tout mettre en oeuvre pour retrouver le plus gros fournisseur de drogue de l'arrondissement : Djiby Dieme. Vincent Fournier, une toute nouvelle recrue de la PJ, est déjà sur l'affaire. Il fait chanter Alfonse, un des clients camé du dealer et lui promet de lui refiler une galette si Alfonse l'aide à trouver Djiby... Bernard tente d'élucider une sombre histoire de chats kidnappés. Le coupable est une personne ayant accès à un fichier répertoriant le nom des chats et leur propriétaire...
Lydia confie à Vincent que Djiby a un deal ce soir mais elle ne connaît ni l'heure, ni le lieu. De son côté, Djiby avertit Chassagne qu'il veut son argent dans moins d'une semaine. Le commissaire est désemparé car, à la PJ, il est contraint de donner son accord à Vincent pour échafauder un plan permettant de coincer Djiby dans la soirée. Mathilde, elle, cherche à donner au maire des arguments valorisant son intervention de ce soir aux infos. Bernard, sensible aux charmes d'Anne, une belle infirmière, prend son cas en considération. Des vols de médicaments ont lieu dans l'hôpital qui l'emploie. Bernard enquête et découvre que l'armoire à pharmacie a été forcée par une personne du service... Gallien s'intéresse au cas de Virginie qu'il trouve à son goût. Le véhicule de sa mère a été dégradé. Proposant son aide pour réparer les dégâts, Gallien découvre que la mère de la belle pourrait être liée à une affaire de racket...
Le cadavre de Lydia est retrouvé devant le commissariat. Vincent sait bien que le coupable est Djiby et il est résolu à l'arrêter. Chassagne, pour éviter d'éveiller les soupçons sur sa culpabilité, rejette la faute sur l'incompétence de Vincent. Mais ce dernier a compris que Chassagne ne joue pas franc jeu. Vincent a 24 heures pour retrouver Djiby. Il s'engage devant Lorenzo à le coincer. De plus, il apprend à Bernard que Mathilde est sa femme. Par précaution, Vincent et Mathilde hébergent chez eux Tonio, fils de Lydia et de Lorenzo, pour le protéger. Vincent et Bernard placent Djiby en garde à vue pour l'interroger et cuisinent Charlie Girardet, un revendeur qui semble être un important témoin du meurtre de Lydia par Djiby. Cependant, Chassagne, rongé par sa culpabilité, avoue tout au commissaire Ledannois, de l'IGS.
Mathilde est dans un coma profond. A la PJ, Bernard console Vincent qui remballe ses affaires. Le commissaire Ledannois de l'IGS avoue à Chassagne que Djiby est un indic. Cette révélation doit rester top secret. Vincent ramène Tonio chez son père, Lorenzo, lequel a prévu de s'installer dans les Landes chez un ami de confiance, Max. Il doit passer les chercher dans la soirée. Malheureusement, Max n'arrive pas seul... Vincent sait que c'est Djiby qui a envoyé ses hommes pour tuer Lorenzo et Tonio. Charlie, effrayé par les méthodes expéditives de Vincent, finit par tout avouer. Djiby menace Chassagne d'égorger Nadine s'il ne s'occupe pas de faire taire Fournier. Chassagne ne supporte plus cette situation... Trois flics, accompagnés de trois red skins menottés, Vadilm, Anita et Léonard, arrivent à la PJ.