Avant de pouvoir intégrer l'élite des soldats du feu, nos six jeunes vont devoir avant tout apprendre la rigueur militaire et l'effort physique à outrance.
430 pompiers de Paris ont été mobilisés la nuit du 13 novembre 2015, durant laquelle 130 personnes ont perdu la vie dans la capitale. Depuis, les recrues sont formées à secourir lors des attaques terroristes. Comment prioriser les victimes ? Comment leur parler ?
Timothé, Cassandra, Guy-Jordan, Arthur, Flavien et Thomas vont devoir se confronter à la réalité du métier en partant une semaine en immersion dans différentes casernes parisiennes. Lors de leurs premières interventions, ils vont découvrir la pauvreté et la détresse sociale des habitants de la Ville Lumière.
À l'issue des six mois de formation, la fatigue se fait sentir. Les doutes aussi. Les jeunes sapeurs sont-ils prêts à faire face, chaque jour, à la détresse ? À risquer leur vie pour un salaire de 1 750 euros par mois ? Le dernier examen éliminatoire approche. Pendant une journée, Timothé, Cassandra, Guy-Jordan, Arthur, Flavien et Thomas vont devoir montrer qu'ils savent colmater une fuite de gaz, enfoncer une porte blindée, reconnaître un feu et monter à l'échelle en portant une victime. S’ils réussissent, ils deviendront alors les pompiers de Paris de demain avec pour devise « Sauver ou périr ».
Après un parcours scolaire chaotique, Antonnn, Mathis, Ibrahima et Tom ont des rêves de grand large. Ils se forment en apprentissage à l’école des métiers de la mer des Sables-d’Olonne pour devenir matelot, mécanicien ou capitaine d’un bateau de pêche.
Tandis que Mathis, blessé, se morfond chez lui, Antonn se convainc qu'il pourra très vite devenir patron comme son père. Son maître de stage est plus sceptique.
Face à la rudesse du métier, Ibrahima doute de plus en plus. Tom est partagé entre l'envie de devenir marin et celle de vivre une adolescence ordinaire.
La fin de l'année approche, c'est l'heure du bilan pour Ibrahima. Tom, lui, a raté des cours, perdu son contrat à bord d'un équipage et failli tout lâcher.
C’est la rentrée scolaire à la Maison familiale rurale de Challans, en Vendée. Hugo, 16 ans, et Théo, 17 ans, veulent devenir ostréiculteur. Mélanie a terminé son alternance il y a peu et débute dans le métier. Tous les trois vont devoir faire face à de nombreux obstacles pour progresser et atteindre leurs objectifs. Hugo doit vaincre sa timidité. Théo hésite sur son orientation post-bac, déterminante pour son avenir professionnel. Mélanie, 23 ans, doit, elle, s’affirmer en tant que femme dans ce milieu et surtout maîtriser sa dysphasie-aphasie qui la handicape beaucoup dans sa vie quotidienne et professionnelle.
Hugo et Théo sont en voyage scolaire en Bretagne. Ils vont découvrir les problématiques climatiques de leur métier. Mélanie revient en Normandie, sa région natale, le temps de récupérer des affaires. Elle tombe sur les médailles d’or qu’elle avait gagnées comme apprentie tapissière dans une autre vie, avant de succomber à l’appel de la mer. Hugo ne s’attendait pas à cette annonce. Il est sélectionné pour un voyage professionnel de trois semaines en Irlande. C’est la première fois qu’il prend l’avion et quitte son univers. Théo fait part de ses regrets à Joël, son professeur, il aurait aimé partir en Irlande l’année passée, mais la covid l’en a empêché. Son professeur va lui faire une proposition qui va remettre en cause l’avenir qu’il s’était imaginé.
Hugo est en échange Erasmus en Irlande. Son anglais est très approximatif mais il essaye malgré tout de communiquer en anglais. Il est très critique en revanche sur les techniques ostréicoles irlandaises et mesure la chance qu’il a d’apprendre en France. Mélanie se voit proposer par la MFR de devenir jury lors d’une épreuve du bac. La jeune fille est perplexe et doute de sa légitimité, même si elle est en CDI depuis maintenant deux ans sur une exploitation. Voilà que Théo qui hésitait entre un CDI et un BTS se voit proposer un contrat professionnel de six mois en Irlande. L’adolescent ne sait plus quoi choisir et craint par-dessus tout de décevoir Alex, son maître d’apprentissage qui lui a tout appris pendant trois ans.
Fin de l’année scolaire. C’est la dernière ligne droite pour Théo. Il doit décrocher le bac et décider de son avenir. Va-t-il choisir un CDI ou partir en Irlande ? Hugo, malgré ses progrès pour dompter sa timidité, a très peur des épreuves orales qu’il passe dans le cadre du contrôle continu. Mélanie stresse, elle, de passer du côté des professeurs en devenant jury du bac. Elle se prépare consciencieusement, pour être à la hauteur de cette responsabilité. Tous les trois vont devoir se confronter à leurs faiblesses et prouver qu’ils sont faits pour l’ostréiculture.
Suzon, Franck et Dani sont nés après l’an 2000. Ils rêvent de devenir stylistes et font leur entrée à l’Institut français de la mode, la prestigieuse école parisienne. Ils découvrent un métier exigeant et confrontent leurs valeurs avec le monde de l’industrie du luxe.
Suzon, Franck et Dani préparent leur premier examen, le jury de style. Ils ont un mois pour inventer un nouveau corps et l’habiller. Hugo, en cinquième et dernière année d’études, prépare le show de la Fashion Week. Il doit briller pour assurer son avenir professionnel.
Journée épique à l’IFM, les étudiants de première année passent leur premier jury de style dans un mélange d’euphorie et de stress. Suzon, Franck et Dani défendent tour à tour leur création, leur personnalité se révèle. Hugo fait visiter l’école à ses parents.
Suzon, Franck et Dani découvrent leur note au jury de style, entre joie et déception. Passeront-ils tous en deuxième année ? Hugo présente sa collection lors du show de la Fashion Week. Se fera-t-il remarquer et embaucher par la grande maison de ses rêves ?
La 262ème promotion prend ses marques à l’école de police de Montbéliard. Vincent mesure ce qui l’attend lors de la formation et découvre le maniement d’une arme à feu.
Le rythme de la formation s’intensifie à l’approche des examens qui détermineront leur affectation en commissariat. Entre révision et entrainement physique, Laura sait qu’il ne faut lâcher.
La pression monte pour les élèves qui vont être affectés en commissariat pour continuer leur formation sur le terrain. Madison espère intégrer le commissariat de Strasbourg.
Dans leur commissariat, la réalité du terrain vient bousculer les certitudes des élèves. Aux côtés de ses collègues, Madison s’imprègne de son nouveau statut de gardienne de la paix.
Salomé, Paul-Émile et Rémi sont élèves à l'École nationale supérieure des technologies et industries du bois (l'ENSTIB), située à Épinal, dans le massif des Vosges.
La promotion de Paul-Émile travaille depuis plusieurs mois pour préparer un moment important : Les Défis du bois, qui auront lieu dans trois mois.
Influencé par la lignée des bâtisseurs qui ont fait le patrimoine français, Rémi aborde Les Défis du bois avec une certitude : sa hutte cathédrale fera la différence.
Salomé, Paul-Émile et Rémi débutent leur semaine de construction pour Les Défis du bois. Même si la fatigue s'installe, ils sont déterminés à aller jusqu'au bout.