Au “Pays du Soleil Levant”, il n'est pas d'usage d'accueillir ses amis chez soi, et encore moins les étrangers. La partie va donc être difficile pour Antoine de Maximy. “Voyageur à l'improviste”, confronté à la barrière de la langue et aux idéogrammes japonais, il bouscule toutes les convenances. De Tokyo à la plage des surfeurs de Shimoda, sa détermination optimiste va provoquer bien des situations cocasses et nous faire découvrir un peuple étonnant, toujours prêt à rendre service.
Le Maroc est connu pour ses traditions d'accueil. Il était donc tentant pour Antoine de Maximy de les mettre à l'épreuve sur le terrain. Equipé de ses petites caméras qui saisissent ses rencontres en temps réel, il part donc à la rencontre des Marocains. Comme dans chaque volet de la série, Antoine visite trois endroits différents et complémentaires : la ville de Fès, le Moyen Atlas et le Sahara. Hormis l'arrivée de l'électricité, la médina de Fès n'a pas changé depuis plusieurs centaines d'années. Antoine parcourt la ville moyenâgeuse et constate rapidement que bien que certains n'aiment pas être filmés, la plupart des gens lui ouvrent leur porte. Dans le Moyen Atlas, son choix se porte sur Aouli. Cette bourgade comptait plusieurs milliers d'habitants avant la fermeture de la mine de plomb, il y a une vingtaine d'années. Aujourd'hui, il ne reste qu'une dizaine de familles au milieu des ruines. Lorsque Antoine arrive en scooter, le gardien de la mine ravi d'avoir de la visite, lui offre spontanément l'hospitalité. Antoine a décidé de rencontrer des nomades dans le Sahara. Mais aujourd'hui, les Berbères qui vivent sous la tente en bordure du désert, subsistent essentiellement du tourisme. Pour trouver des gens plus authentiques Antoine loue donc un 4x4. Après bien des errances, il tombe sur une famille de bergers. Ils habitent dans de petits abris de pierres perdus dans le désert. Il lui sera difficile de leur faire comprendre qu'il veut passer la nuit chez eux, mais une fois de plus, la légendaire hospitalité marocaine sera au rendez-vous.
Antoine débarque à Djenné, une des plus belles villes d'Afrique de l'Ouest. Ici, il n'est pas dans les moeurs d'accueillir les voyageurs chez soi. Après une amusante joute verbale, un instituteur accepte de l'accueillir. Puis il part en moto au pays Dogon, vers des villages hors des circuits touristiques. Sa démarche déroute. Mais il se fait rapidement accepter et repart, salué comme un ami. Dans les faubourgs de Mopti, il remarque un ancien tailleur en haillons qui recycle des pneus pour survivre. Dormir chez Sumaré, c'est dormir dans la rue. Antoine s'installe alors sur le trottoir et passe une belle soirée avec un individu qui se révèle merveilleux.
Durant son voyage au Québec, Antoine multiplie les rencontres insolites : près de la frontière américaine, il est accosté par Robert, ancien vagabond philosophe et fabricant de hamacs. Puis, direction Inukjuak, communauté Inuit au bord de la baie d’Hudson : -15°C et vent en rafales. Dans ce paysage de toundra glacée, les rues du curieux village sont désertes et les premiers contacts plus difficiles. Il est finalement accueilli par Sarah et Marco, puis par Jacob. Mais les choses tournent mal. Un peu « stone », ce dernier casse la caméra. Antoine se dirige ensuite vers la Gaspésie, où les rencontres seront des plus drôles. Ce voyage brosse un tableau inhabituel et plein d’humour du Québec.
Antoine de Maximy se rend au Vanuatu, un archipel situé près de la Nouvelle-Calédonie, dans l'Océan Pacifique. A Port Vila, la capitale, il peut dores et déjà se rendre compte de la chaleur et l'hospitalité de ses habitants. Des Français, installés ici depuis trente ans, l'invitent à déjeuner chez eux. Mais les choses se corsent lorsqu'il quitte la civilisation pour les îles les plus reculées de l'archipel. Sur l'île de Vao, les hommes d'un village armés de machette tentent de lui extorquer de l'argent parce que ce n'est pas au chef qu'il a demandé la permission de filmer. Il refuse et se fait chasser de l'île. Ce voyage au Vanuatu est un épisode plein de surprises qui souligne l'étonnant contraste entre la ville et les villages traditionnels de l'archipel.
Après avoir échappé avec humour aux rabatteurs à touristes, Antoine rencontre au bord du Gange un employé de train à la retraite qui vit dans un temple. A Bombay, Antoine se fixe pour but d'être invité chez un homme d'affaire, il fait alors la connaissance d'un personnage bien étrange. S'ensuit alors une soirée d'errance
Lorsque l'on évoque nos voisins suisses, leur sens de l'hospitalité est rarement mis en avant. Pourtant, il s'agit d'un pays étonnant : trois populations et trois cultures différentes, réunies sur un même territoire, que notre globesquatteur a décidé de mettre à l'épreuve de ses caméras. Au bout du compte, de la Suisse alémanique à la Suisse romande, et jusqu'en Suisse italienne, il sera toujours bien accueilli. Mais la malchance l'empêchera de dormir chez l'habitant dans une des trois régions. Laquelle ? Il faut toujours se méfier des idées reçues...
Cette fois ci, Antoine est au Chili. Bien que le pays soit une bande de terre de plus de 4000 km de long pour environ 200 km de large, il a choisi de rester à la même latitude. A Valparaiso, il tente de s'inviter chez des récupérateurs de vieux papiers. Bien qu'ils aient accepté de l'accueillir chez eux, ils essaient de le semer dans la ville. Antoine n'insiste pas et c'est finalement chez un vieux marchand de nourriture pour chien qu'il atterrit. Puis il se dirige vers Catemu un village situé à une cinquantaine de kilomètres de Santiago. D'habitude, Antoine pose ses affaires dans un hôtel avant d'arpenter les rues à la rencontre des gens. Mais cette fois-ci, l'hôtel est complet. Il est 18h. Antoine doit absolument trouver un lit avant la nuit. C'est finalement le boulanger qui l'hébergera, dans une chambre bien inattendue. Dernière étape: l'île de Pâques. Perdue dans le Pacifique, elle abrite moins de trois mille habitants, dont la plupart vivent du tourisme. En tant que touriste, Antoine évite ceux pour qui il n'est qu'un client. Il rencontre un Pascuan qui l'emmène en mer relever ses casiers à langoustes. Progressivement, une complicité s'installe entre le pêcheur ronchon et l'homme-caméra.
Antoine commence son périple à Sydney. Le contact y est facile, mais il n'est pas évident de pénétrer dans l'intimité des gens. Il se rend vite compte que son matériel intrigue beaucoup plus que sa démarche. Puis il arrive à Coober Pedy, ville minière en plein désert. La vie y est dure. Contre toute attente, c’est un jeune Chinois qui accueille Antoine. Il termine son périple vers Iga Warta, en territoire aborigène, où la contact est très difficile. En effet, les Aborigènes sont mal à l'aise avec l’Homme Blanc. L'Australie est l'un des pays où les gens ont été le plus déroutés par la démarche inhabituelle d'Antoine de Maximy.
Peut-on être un "étranger de passage" dans son propre pays ? Le Français est-il accueillant ? Comment réagit-il lorsqu'on fait irruption dans sa vie ? Antoine de Maximy a décidé de tester l'hospitalité de ses concitoyens dans trois endroits représentatifs de la France. Tout d’abord, un haut lieu touristique en pleine effervescence estivale : le Mont-Saint-Michel. Puis une grande ville où l’accueil se révèle particulièrement chaleureux : Strasbourg. Enfin, la campagne du Limousin, où l’hospitalité et la bonhomie des habitants compensent la rigueur du sol. Après réflexion, le Français n'est pas aussi fermé qu'on aurait pu le craindre. Il est même plutôt rigolo…
On s'en doute, Antoine ne parle pas le chinois. Il a péniblement appris une phrase en mandarin : “Ce soir je dors chez toi, d'accord ?”. Il part ainsi découvrir la Chine. De Pékin à la Grande Muraille, en passant par les campagnes perdues et l'ultra moderne Shanghai, il sera souvent invité, parfois chassé, rencontrera des retraités en goguette, apprendra des recettes de cuisine, sera convié à des fêtes et même à une bagarre de crème chantilly. Tous comptes faits, les Chinois sont plutôt drôles et accueillants.
Au programme : découverte de la pittoresque Lalibela, également connue sous le nom de « Jérusalem noire », escale désopilante à Addis Abeba et périple aventureux en moto vers des territoires reculés plus au Sud. Antoine de Maximy nous plonge dans l'étonnante diversité ethnique et culturelle de l'Ethiopie. Pris au piège dans un traquenard pour touriste néophyte, on s'inquièterait presque, mais il s’en sort toujours avec humour.
Antoine se rend au Cambodge où la paix est revenue après des années de terrible guerre civile. S'éloignant des temples d'Angkor, trop touristiques, Antoine rencontre Vana, une femme qui l'invite à l'enterrement de sa tante. Puis dans la ville de Battambang, il se fait héberger dans un temple par de jeunes moines bouddhistes. Mais c'est tout près de la frontière avec le Laos qu’il fera une des plus belles rencontres de la série : celle de Tong…
Malgré une récente ouverture au monde, les Emirats Arabes Unis ont conservé de très fortes traditions. Il n’est pas courant d'inviter un étranger chez soi, encore moins de lui présenter sa famille et d'être filmé. Antoine a donc du mal à créer le contact dans la station balnéaire de Khor Fakkan, et à Dubaï, ville délirante où il est même possible de skier dans un centre commercial. Enfin, à la frontière du Sultanat d'Oman, il rencontre Ahmad, désolé de voir que son pays est parfois mal perçu dans le monde. Et bien que les Emirats soient un des pays les plus surprenants de la planète, Antoine réussit enfin à dormir chez l'habitant !
Il ne faut que deux heures d'avion pour rejoindre la Roumanie. Pourtant, ce pays est mal connu des Français. Première étape, Bran, où se trouve un château qui aurait appartenu à Dracula. Dans cette région rurale des Carpates, Antoine aperçoit une famille de paysans qui monte une meule à la fourche. Ici, pratiquement rien n'a changé depuis bien longtemps. Ensuite, Antoine se dirige vers Bucarest. Seize ans après la chute du communisme, il ne règne pas une folle gaieté dans les rues. Heureusement, Antoine rencontre des étudiantes qui l'invitent à leur leçon de tennis. Elles évoquent leurs espoirs pour l'avenir du pays. Antoine s'éloigne dans la campagne, en stop. Dans un village, on fête un anniversaire. Quelques instants plus tard, il est dans la maison, un verre à la main. La soirée sera chaleureuse et bien arrosée.
Antoine débute son voyage à Binche en Wallonie, petite ville calme, ou il rencontre des habitants plus surprenants les uns que les autres. Ici, deux choses semblent avoir une importance: la bière et le carnaval de Binche. Après plusieurs rencontres originales, c'est finalement dans une fête gothique qu'Antoine finira sa première soirée en Belgique. Le voyage continuera dans la campagne chez Francis et Marina, ou il sera accueilli dans une ambiance chaleureuse...
Les gens sont-ils aussi accueillants qu'on le dit dans le Sud de la France ? Antoine met à l'épreuve leur hospitalité dans trois endroits représentatifs. Il commence par Cannes et la célèbre Croisette, en plein Festival du Film, où il est hébergé par trois Beurs enthousiastes. Puis, il se rend à Lourdes, ville déroutante, où sa rencontre la plus chaleureuse sera avec un SDF. Enfin, il parcourt la Corse en moto. De rencontre en rencontre, Antoine va entrevoir l'identité corse et découvrir qu'elle n'est pas aussi explosive qu'on l'entend souvent dire...
L'infatigable Antoine de Maximy poursuit ses aventures de voyageur solitaire en quête de rencontres à Madagascar. Avant de s'équiper avec ses deux caméras, il confie le blues qui l'envahit au moment de se lancer dans l'inconnu. Mais, une fois dehors, Antoine retrouve vite son aplomb et son sourire. Sur le marché d'une petite ville, il fait la connaissance d'une vendeuse de nems, veuve et mère de famille, qui accepte de le recevoir. Puis, après avoir fait le taxi pour aller vers le nord du pays, il prend conscience de l'étendue du tourisme sexuel dans cette région très prisée par les étrangers, en compagnie d'une jeune femme qui l'a reconnu, et l'invitera finalement à déjeuner. Enfin, dans un village isolé de la forêt, le globe-trotteur découvre une population très pauvre, tellement peu habituée à voir des Blancs que les enfants en ont peur ! Heureusement, l'épicier du coin, un homme cultivé, va lui permettre d'en apprendre davantage sur leur mode de vie. Loin de la société de consommation !
Voyager seul au nord de l'Amérique du Sud est risqué. En effet la pauvreté engendre fréquemment la délinquance. A La Paz, Antoine est victime d'une prétendue policière qui tente de le dévaliser. Heureusement, la police, la vraie cette fois, arrive. Au commissariat, Antoine sort de l'anonymat et passe en direct dans les journaux télévisés du soir. Puis il arrive dans la forêt amazonienne : l'atmosphère y est très détendue. De retour à La Paz, Antoine apprend que les complices de son agresseur – entre temps libérée – le recherchent. Comme prévu, il part sur le lac Titicaca, mais du côté péruvien, plus sûr que la Bolivie.
Comment les sujets de Sa Majesté vont-ils accueillir le globe-squatteur ? Au centre de Londres, Antoine a bien du mal à rencontrer de vrais Anglais. Il est finalement invité par le vigile d'une grande banque. Il se dirige ensuite au Pays de Galles où la météo ne lui facilite pas la tâche. A Liverpool, ville natale des Beatles, il passe une nuit délirante : Liverpool vient de battre Manchester United. Enfin, dans la campagne écossaise, après avoir conduit un rouleau-compresseur, il est accueilli par un étonnant couple de hippies.
Attentats suicides, conflits armés, incertitudes politiques… le climat israélien n'est pas des plus calmes. En marge des représentations médiatiques, Antoine de Maximy préfère prendre lui-même la température. La spontanéité du bourlingueur déroute les habitants à maintes reprises, mais sa technique d'approche est infaillible : "Le temps que je passerai ici dépendra de vous. Si vous m'invitez, je resterai." Mais qui, de Sarah, Moshé, Benyamin, Gil, Shirley ou Amos, lui offrira l’hospitalité ? Fidèle à son habitude, le globe-trotteur amorce son périple par la visite d'un lieu touristique. Au coeur de la ville sainte de Jérusalem, il part à la rencontre de juifs orthodoxes. Un défi d'autant plus périlleux qu'il les aborde un vendredi, jour de shabbat. La bonne humeur nonchalante d'Antoine n'y change rien : la communauté religieuse reste hostile à l'égard de ce curieux voyageur. Cette austérité contraste avec l'insouciance des Telaviviens. La capitale affiche la plus grande concentration de jeunes du pays. Dans cette métropole en effervescence, les rencontres se multiplient et les langues se délient. Au village musulman de Tamra, près de la vallée du Jourdain, le promeneur est confronté à la barrière du langage. Face à l'impossible communication, il quitte cet endroit reculé pour se rendre dans un kibboutz, communauté agricole israélienne fondée sur le principe de la propriété collective. Après un court passage dans un site trop touristique à son goût, Antoine s'aventure dans une ferme isolée, à la limite des territoires autonomes palestiniens. Mais la vie en communauté traditionnelle a disparu. Le globe-squatteur se console chez Amos, qui se trouve être… juif orthodoxe. De l'hostilité à l'hospitalité, la frontière est parfois mince.
Antoine commence son périple à Bora Bora, l'île la plus touristique la région. Entre les plages somptueuses et les hôtels de luxes, Antoine fait la rencontre d'une famille qui vit dans des baraques. La belle vue qu'ils avaient sur le lagon a disparu. Un hôtel sur pilotis a été construit juste devant chez eux. A la nuit tombante, Antoine part à la pêche sur le bateau du gendre de la famille
Antoine débute son périple par Lisbonne, et plus précisément la vieille ville desservie par le fameux tramway. Il y fait la connaissance de Maria qu'il accompagne à son cours d'ébénisterie. Celle-ci l'invite à manger chez elle et sa famille. Dans la campagne portugaise dans les régions montagneuses qui bordent l'Espagne, la petite ville d'Idanha-a-Nova semble calme et Antoine a un peu de mal à tomber sur les gens. Dans un café, il rencontre Diogo, un personnage haut en couleurs, qui selon ses dires, déroge au Vendredi Saint. Tous deux accompagnés de la table, ils partagent un repas bien arrosé avec vin et liqueurs locales. Diogo l'héberge pour la nuit, et le lendemain, la journée commence au réveil avec une eau de vie. Antoine s'intègre finalement au groupe d'amis de Diogo qui participe à un barbecue. Aux Açores, sur l'île de Pico, en pleine morte saison touristique, Antoine se retrouve dans un hameau où il rencontre une famille qu'il a croisée dans l'avion. Sebastao et sa femme, propriétaires d'un café, acceptent de l'héberger pour la nuit. Enfin, pour terminer cette escale insulaire, le soleil tant attendu pointe le bout de son nez.
Première étape : Rovaniemi, ville se situant au coeur de la Laponie sous le Cercle Arctique. Dans l'imaginaire collectif, la ville est le symbole de la Laponie, région mystérieuse du nord de l'Europe, théâtre des aurores boréales et du soleil de minuit. C'est surtout ici que se trouve le village du Père Noël. Mais ce dernier ne semble pas enchanté à l'idée d'accueillir ce voyageur bardé de caméras. Le soir de Noël, Antoine erre dans les rues désertes de Rovaniemi, quelques cadeaux sous le bras. Il croise une jeune fille, Henna et lui demande s'il peut rencontrer ses parents. La situation est délicate, mais l'accueil sera surprenant. Deuxième étape : Veskoniem, un hameau situé tout au Nord de la Finlande. Il n'y a qu'un lampadaire et à trois heures de l'après-midi, il fait déjà nuit noire. Sa petite lampe à la main, Antoine déambule dans l'obscurité à la recherche d'une maison accueillante. Finalement il repère une petite maison de bois et quelques personnes qui continuent à fêter Noël. Un homme sort pour l'accueillir. Quelques instants plus tard, il est à l'intérieur, un verre à la main. La soirée promet d'être chaleureuse et bien arrosée. Dernière étape : Helsinki, la capitale de la Finlande. C'est le réveillon de la Saint Sylvestre. La soirée est mal partie pour Antoine. Il fait froid, il pleut et le voyageur n'a même pas une bouteille de champagne. Il fait la connaissance de Tato, qui lui propose d'aller boire un verre. Finalement, Antoine l'accompagnera réveillonner. Mais à minuit, le 31 décembre en Finlande, tout explose...
La troisième saison des aventures du globe-trotteur Antoine de Maximy débute par un périple à Cuba. Cet épisode, tourné en haute définition, voit Antoine rencontrer des Cubains de tous horizons. L'hospitalité des gens qui vivent à l'intérieur des terres - «On n'est pas riches, mais tu peux rester», lui dit la femme de Normando, chez qui Antoine est venu s'abriter de la pluie - contraste très fortement avec l'accueil qui lui est réservé dans la capitale de l'île. En effet, à La Havane, les habitants sont priés de ne pas fréquenter les étrangers - «La police pense qu'on en veut à ton argent», lui explique un Cubain. D'ailleurs, Antoine se fait contrôler par la police de l'immigration au détour d'une rue.
C'est sur la terre des Maoris, peuple polynésien autochtone de Nouvelle-Zélande, qu'Antoine entame son périple. Son but ? Rencontrer ceux qui représentent une part importante de la culture et de l'histoire du pays. Première étape : Auckland. Antoine n'hésite pas à interpeller les gens dans la rue et à entamer des discussions en anglais. Rapidement, il constate que la prise de contact est compliquée dans les endroits d'affluence. « Souvent, c'est mieux d'aller là où ils habitent », remarque-t-il. Les passants s'étonnent de l'équipement de l'olibrius : « Que filmez-vous et pourquoi êtes-vous ici ? » Ce dernier répond, amusé : « Vous. » Au détour des balades, il croise des ouvriers assis sur un banc, un personnage étrange au look improbable, puis un couple intrigué qui accepte de l'inviter dans son petit appartement. Ces deux fans de tatouages et d'animaux apprennent à Antoine qu'en Nouvelle-Zélande beaucoup d'hommes et de femmes ont des tatouages, appelés « moko », dans la pure tradition maorie. Le lendemain, notre globe-trotteur se rend en voiture sur l'île du Sud. Le temps se détériore et il arrive en fin d'après-midi dans une petite ville où il ne trouve du monde que dans les bars ! Naïvement, il engage une conversation en affirmant que la Nouvelle-Zélande est un des rares lieux sûrs de la planète. On lui rappelle gentiment qu'il y a eu le Rainbow Warrior, seul attentat perpétré par l'Etat français en Nouvelle-Zélande ! Conscient de sa bourde et de son omission, Antoine plaisante : « Je n'étais pas impliqué dans cet événement ! » Autres escales : Gisborne sur la côte Pacifique, où il croise beaucoup d'Occidentaux, puis Tatapouri, quasi désert. L'inlassable voyageur finit son périple à Tolaga Bay, où il fait la connaissance de l'animateur de la radio locale Uawa FM. Grâce à lui, Antoine va enfin partager son temps avec des Maoris et découvrir certains de leurs loisirs et de leurs folklores.
Antoine débarque à Bali en Indonésie. Il délaisse vite la ville grouillante de scooters pour le centre de l'île ! Avec son curieux attirail, le globe-squatteur fait une entrée remarquée dans le marché de Baturiti. L'ambiance est excellente, au point qu'un groupe de marchandes l'invite spontanément à prendre un café chez elles ! Puis, il se fait surprendre par la pluie. Antoine demande l'hospitalité pour la nuit. Il découvre un adorable ensemble de foyers, un mini temple, des jardins verdoyants... et une grande famille dévorée de curiosité. Leur référence culturelle occidentale : Mr. Bean ! Antoine se dirige ensuite sur Surabaya, la deuxième ville du pays après Jakarta. Il rencontre Stefan, un jeune businessman aux dents longues qui l'entraîne dans ses multiples rendez-vous avant de l'accueillir chez lui. Ensuite Antoine se rend en Papouasie- Occidentale, à Wamena, dans le but de rencontrer des Papous. Certains se promènent en ville presque nus avec leur étui pénien. Il constate que les commerces sont tenus par les Indonésiens alors que les Papous vivent dans des conditions bien plus précaires. Au bord de la route, il aperçoit des femmes lavant des légumes dans la rivière. Elles se moquent gaiement de lui. Il les suit dans leur hameau. Formidable rencontre. Antoine découvre leur vie, leur chants et la coutume des doigts coupés. Il ressent aussi leurs contradictions. Celles d'hommes tiraillés entre leurs traditions et la modernité.
En débarquant à Téhéran, Antoine découvre qu'il est en plein ramadan. Il commence à filmer au hasard des rues et quelques minutes plus tard, il se fait longuement contrôler par des policiers en civil. Malgré tout, le globe-squatteur continue a déambuler dans Téhéran : il fait un tour dans une voiture conduite par un gamin d'une dizaine d'années, assiste à une altercation et croise des jeunes gens assez excités, peut-être à cause du manque de contacts avec la gente féminine. Antoine file ensuite à Qom, une des villes saintes du chiisme. Les mollahs sont aimables, mais se méfient de cet étranger qui filme tout. Finalement, il rencontre un libraire, Saïd, qui l'accueille chez ses parents. Enfin l'occasion de connaître les moeurs iraniennes. Malheureusement, il ne pourra pas rester dormir. Le lendemain, il dîne avec des professeurs d'anglais, un homme et trois femmes. Contrairement à ce qu'Antoine croyait, il n'est pas interdit de sortir avec des femmes en Iran. Antoine termine son voyage a Yazd, une petite ville du désert. Après une balade en moto qui se termine dans une décharge, il rencontre une famille afghane qui l'invite chez elle. Mais là non plus, il ne sera pas hébergé... Alors qu'il rentre à Téhéran en car, il croise un jeune iranien qui l'invite chez lui. Après une sympathique soirée sur les toits, il réussit son pari et passe la nuit chez un Iranien.
Cette semaine, Antoine de Maximy se lance un nouveau défi : lorsqu'il arrive à l'aéroport, il ne sait pas encore quelle sera sa destination. Il souhaite partir rapidement, pour quatre heures de vol maximum, vers, si possible, un pays chaud… Son choix s'arrête sur la Grèce. Arrivée à Athènes et visite éclair de l'Acropole : les vieilles pierres, ce n'est pas son truc à Antoine de Maximy, surtout lorsqu'elles sont défigurées par de vilains échafaudages ! Antoine est venu pour rencontrer des gens, échanger, partager… Le contact n'est cependant pas toujours aisé. Au centre d'Athènes, il s'étonne de trouver les rues désertes et les rideaux de fer baissés. Eh oui, « les lundis et mercredis, les magasins sont fermés ! » lui explique-t-on. Un peu perdu, il se retrouve dans un bar d'où il repart fissa, ne souhaitant pas régaler à ses frais cette jeune fille bien entreprenante ! Puis il s'entête à rejoindre un quartier un peu chaud. Là encore, il lui faut déguerpir vite… Direction la campagne cette fois. Justement, il a repéré un village au nord-est du pays, près d'Alexandroúpolis. Après avoir traversé quelques rues calmes, il se retrouve au milieu d'une petite place flanquée, d'un côté, d'un bar pour les hommes et, de l'autre, d'un bar pour les femmes ! Côté hommes, la difficulté de communication le mène à une impasse. Direction le bar des femmes où un adolescent d'origine géorgienne, Michaël, parle français. Très vite, notre ami est invité à partager un moment de convivialité avec sa famille. Rire et bonne humeur, entretenus par l'alcool local, sont enfin au rendez-vous ! Antoine termine son voyage sur l'île d'Astipalea, au sud de la mer Egée. Après une balade dans les rues bordées de maisons blanches du village principal, il s'aventure sur un scooter de fortune dans un paysage de carte postale. Il fait la connaissance d'un couple et, l'espace d'une journée et d'une nuit dans sa ferme isolée, écoute ses con
Caramba ! Antoine de Maximy débarque au Mexique pour y rencontrer ses habitants. Avec son arsenal intriguant de caméras, le baroudeur s'invite à dormir chez eux de manière impromptue. Objectif ? Apprendre à mieux connaître leur culture. Un nouveau voyage haut en couleur l'attend… Avec toujours le même enthousiasme, Antoine débute son périple à Cuernavaca, au sud de Mexico. Culotté comme à l'accoutumée, il accoste des pompiers amusés et leur demande de les accompagner à la caserne. Sans autorisation, il se voit opposer un refus catégorique. Cette infortune ne l'empêche pas de poursuivre ses pérégrinations. Sur une place, il aperçoit un rassemblement de musiciens en costume qui offrent un self-service original et surprenant. En effet, le client passe et sélectionne ceux dont il a besoin pour animer un événement festif ! A quelques encablures, Antoine entre dans un centre culturel et y fait la connaissance d'une troupe de jeunes danseurs. Ces derniers le convient à assister le lendemain à leur spectacle. Antoine accepte l'invitation et les suit, après leur performance, à la soirée d'anniversaire d'une jeune fille de 15 ans qui célèbre, avec faste, ce passage important de sa vie. Pour sa prochaine étape, Antoine se rend à Piste, petite ville située dans la province du Yucatán. L'infatigable globe-trotteur tombe en pleine nuit sur la célébration très animée et assourdissante de la vierge de Guadalupe. Au programme : retraite aux flambeaux, chants et feux d'artifices… En traversant une bourgade hors du temps et paisible, Antoine croise un groupe de forgerons fabriquant des outils en métaux de récupération et trinque avec eux. Le sympathique squatteur finit par passer la nuit dans la salle municipale. Antoine termine son périple à Oaxaca, ville touristique en plein centre du pays et où Noël bat son plein. Le routard pas comme les autres réussit ce qu'il a raté en Finlande, à savoir : dormir chez le très chaleureux Sant
Antoine de Maximy, infatigable globe-trotteur, poursuit ses visites originales des pays du monde entier. Le principe de son émission reste inchangé : chaque jour, il relève le défi de trouver de sympathiques habitants qui acceptent de l'héberger pour une nuit ou de lui offrir le couvert. En Corée du Sud, un pays dont il ressent les forts contrastes entre tradition et nouvelles technologies, Antoine de Maximy éprouve beaucoup de difficultés à communiquer. Un comble pour cet adepte des rencontres, qui se nourrit des richesses culturelles des lieux qu'il visite. Mais loin de se laisser décourager, l'aventurier redouble d'imagination pour entrer en contact avec les Coréens et découvrir leur quotidien.
Immersion africaine pour Antoine de Maximy, qui a choisi de se rendre au Ghana. Son périple débute à Cape Coast, ville de bord de mer et son port de pêche où règne une joyeuse agitation. Au hasard de ses déambulations, il rencontre des apprentis acteurs et des étudiants en cinéma dans une petite école, avant de finir la nuit chez Fynn, un ancien professeur d'informatique ayant tout abandonné pour devenir réalisateur. Accueil moins sympathique à Accra, où il comprend que ses caméras ne sont pas les bienvenues. Puis, Antoine rejoint Tamale en bus, avant d'enfourcher une moto pour découvrir des coins plus reculés. Il est accueilli par le chef d'un village chez qui il partage la prière, le dîner et un match de football anglais entre Arsenal et West Ham.
A Oulan-Bator, Antoine de Maximy quitte les quartiers centraux de la capitale et rencontre Norov et Oyuna, un couple qui vit avec ses trois enfants dans un petit deux-pièces de banlieue. Faisant partie des rares Mongols à parler anglais, Norov confie à Antoine son souhait de voir la Mongolie connaître un boom économique. Pour remercier ses hôtes de leur accueil, le voyageur prépare, avec les moyens du bord, un repas typiquement français. Le lendemain, départ vers Dalanzadgad, au sud de la capitale, une ville d'Asie centrale très peu fréquentée par les touristes. De là, Antoine tente de faire du stop pour se rendre à Khankhongor, un no man's land plus au nord.
Antoine de Maximy visite Hawaii. Dans la petite ville de Hilo, il rencontre une famille surprenante. A cause de la crise, plusieurs générations vivent sous le même toit. Manquant cruellement de place dans leur petite habitation, ils ne peuvent pas loger le voyageur. L'étape suivante est Honolulu et l'île d'Ohau, qu'Antoine parcourt en Harley-Davidson jusqu'au fameux spot de Pipeline. Ensuite, il prend le bateau pour l'île de Molokoi. A vélo, il croise Zelda et Todd, qui acceptent de l'accueillir dans leur cabane en bord de mer. C'est l'endroit idéal pour goûter l'atmosphère si particulière des plages hawaïennes.
L'Albanie est à peine à deux heures d'avion de Paris. Pourtant, ce pays, resté isolé du monde jusqu'en 1991, est bien méconnu des Français. Antoine de Maximy, toujours muni de ses petites caméras, va le parcourir, guidé par son obsession de réussir à dormir chez des habitants. Sa première étape le mène à Tirana, la capitale. Passant près d'un restaurant, Antoine rencontre un chef d'entreprise et son cousin, un mélomane, fan de Joe Dassin. Puis il se dirige vers Vlora, une station balnéaire désertée, parcourant les rues à la recherche d'un peu d'animation. Sa dernière étape le conduit à Shkodra, dans le nord du pays, tout près du Monténégro.
A Windhoek, Antoine rencontre deux hommes énigmatiques qui l’hébergent pour la nuit. Dans le village de Vitvlei, il dort ensuite chez Laura, une jeune femme pleine de vie ! Puis direction Swakopmund, une ville balnéaire où il fait la connaissance de Dimitri, qui vient de terminer ses études en France. Le globe-squatteur termine son voyage à Opuwo, dans le nord du pays. Son but : aller chez les Himbas, une tribu dont les femmes s’enduisent le corps de terre ocre. Hindere, un jeune qui parle un peu anglais, accepte de l’emmener dans son village…
Antoine de Maximy fait tout d’abord étape à Berlin, une ville festive qui l’accueille d’une manière assez particulière. Heureusement, le globe-trotteur n’est jamais à court de ressources! Il part ensuite pour Bochum, une ancienne cité minière. Alors que le beau temps n’est pas au rendez-vous, Antoine fait connaissance avec Daniel, un grimpeur un peu particulier… Notre voyageur termine son périple à Loburg, en ex-Allemagne de l’Est. L’anglais y est peu parlé et le contact, difficile à établir. Helmut et sa femme raconteront pourtant à Antoine la période communiste, avant de le garder pour la nuit.
Antoine débute son périple à Malin, petite ville située au nord de l'Irlande, dans le comté sauvage de Donegal. Il y rencontre Maura et Orla, deux soeurs espiègles et pleines de gouaille. A Galway, plus au sud, il fait la connaissance de Joe, un octogénaire attachant qui vit en ermite dans un petit pavillon délabré. Richard l'accueille pour la nuit, dans la maison des ancêtres de Barack Obama. Le voyage s'achève à Dublin. Dans la capitale, plusieurs jeunes entraînent Antoine dans un bar, pour la soirée. L'occasion pour lui de s'essayer à la pratique du pole dance.
Pour ce nouveau voyage, Antoine file en Uruguay, un petit pays coincé entre les deux géants que sont l’Argentine et le Brésil. Il arrive en pleine campagne présidentielle. La politique sera la tendance de ce nouveau numéro. Antoine tâchera d’aller dormir chez Pépé Mujica, un ancien paysan guérillero, l’actuel président de la République qui arrive en fin de mandat… C’est à Montevideo qu’il rencontre Luis qui vient d’hériter d’une belle maison près des plages. A Tacuarembo, il se retrouve au milieu de la campagne présidentielle, et croise sans le savoir le futur président. Le voyage d’Antoine se termine à Ansina parmi les gauchos. Ici encore on parle de politique et de délinquance. L’Uruguay est pourtant un des pays les plus sûrs d’Amérique du Sud.
Antoine promène ses caméras dans les îles anglophones des Petites Antilles. Comme toujours, il s'écarte des lieux touristiques pour susciter des rencontres authentiques et insolites. Mais le village de Sainte-Lucie voit d'un mauvais oeil l'arrivée d'un étranger bardé d'objectifs. Au port de pêche de Dennery, Antoine rencontre Dyna, qui accepte de le recevoir chez elle. Le voyage se complique à Gros Islet, où le baroudeur échoue dans un quartier où les bars et les boîtes de nuit sont partout. Il met le cap sur la Barbade, une île voisine, où il fait la connaissance de Denzel et de Clyde, un ancien policier.
Antoine commence son voyage à Venise, la ville des amoureux. Difficile de repérer les Vénitiens parmi les touristes. Il finit pourtant par rencontrer Giorgio et Giovanna, deux pigeons voyageurs dans la pure tradition hippie. Les deux septuagénaires vivent dans un grand appartement, meublé de bric et de broc. Antoine file ensuite à Bologne, où se trouve la plus vieille université d’Europe Occidentale. Il y croise un groupe d’une cinquantaine d’étudiants tous en tenue moyenâgeuse. Il tombe ensuite sur deux musiciens qui l’emmènent au premier Festival de musique démentielle… Antoine termine son périple au cœur de la Sardaigne. Il y rencontre Mauro, un joyeux drille, fort en gueule et sympathique. Ce dernier vit chez sa mère et accepte de l’emmener diner. Mais au cours de la soirée, la nièce de Mauro montre un épisode de “J’irai dormir chez vous” sur son téléphone ! C’est plus au nord qu’il rencontre un individu à part : Peppe. Grande barbe jaunie par le tabac, élevant des dizaines de lapins, Peppe joue des bidulas, trois flûtes traditionnelles que l’on met simultanément dans la bouche. La plus grande difficulté consiste à respirer sans s’arrêter de souffler. Il invite spontanément Antoine chez lui, mais sait-il qu’il accueille le désormais célèbre globe-squatteur ?
Après l’Italie, Antoine de Maximy s’envole pour le Kirghizistan. Un voyage qui le confronte au problème de la langue, mais qui lui réserve cette fois encore de belles rencontres. Le « globe-squatteur » débarque à Bichkek, la capitale du Kirghizistan. Il découvre tout de suite que le principal problème sera la langue. En effet, ici, on parle essentiellement le russe et le kirghiz. Heureusement, Antoine rencontre Kanat, un jeune homme expansif et enthousiaste qui parle anglais… Puis Antoine s’envole pour Och, la deuxième ville du pays. Il y rencontre un groupe d’infirmières qui fêtent les 70 ans d’une amie et l’invitent spontanément… Etape suivante, la ville de Karakol, à l’est du pays, non loin du lac Issyk Koul. Antoine cherche à se rendre dans les montagnes qui marquent la frontière entre le Kirghizistan et la Chine…
Antoine s'envole pour le Bhoutan, petit royaume situé dans les contreforts de l'Himalaya, entre l'Inde et la Chine. Parcourir ce pays en indépendant, sac au dos, est interdit. Il faut nécessairement passer par une agence de voyage nationale. Antoine respecte la règle et est accueilli dès sa descente d'avion par un guide et un chauffeur. Au programme de la visite, des forteresses et des musées, et des nuits à l'hôtel, hors de la ville. Dans ces conditions, comment sortir des sentiers battus pour aller à la rencontre des habitants ? Le globe-trotter doit prendre ses distances avec ses accompagnants.
Antoine parcourt la Croatie, pays qui a conquis son indépendance en 1991. Depuis, le tourisme s'est largement développé, mais le conflit a laissé des traces dans toutes les mémoires. A Dubrovnik, ville fortifiée, Antoine loue un scooter et visite les environs. A Zagreb, il croise la route d'une soeur, Dijana. Le globe-squatteur termine son voyage en Slavonie, dans l'est du pays, où de nombreuses maisons sont restées en ruines après la guerre.
Pendant longtemps, la Colombie était un pays qu'il valait mieux éviter pour passer ses vacances. Les guérilleros et les narcotrafiquants n'incitaient pas au tourisme. Mais depuis quelques années les choses se sont bien arrangées, même s'il reste des régions qu'il vaut mieux éviter. Antoine commence son voyage à Carthagène. Il y rencontre Alfonso. Il est bijoutier, porte un collier d'émeraudes et c'est bien la preuve que le centre de la ville est sûr ! Puis il file à Cocorná, dans le centre du pays. Ici l'atmosphère est un peu plus tendue. Il n'y a que depuis quelques années que la région est calme mais les caméras ne sont pas les bienvenues. Après être passé par Medellin, le globe-squatteur termine son voyage dans un hameau perdu dans la campagne où il fait la connaissance de gens assez déjantés...
Antoine commence son voyage à Malte sur l'île de Gozo. Il rencontre rapidement deux retraités dans un garage aux murs intégralement recouverts de drôles de photos. Le regard ahuri du globe-squatteur les fait hurler de rire. Le ton est donné : à Malte, on rencontre beaucoup de gens drôles et sympathiques. Mais au-delà de ça, les Maltais sont-ils accueillants ? Antoine va rapidement s'apercevoir qu'on n'entre pas facilement chez eux. C'est peut-être dû à l'histoire tumultueuse de l'archipel, ou à la mentalité insulaire. A moins que ce soit le poids des traditions. Toujours est-il que cette fois-ci, la partie est particulièrement difficile. Sur Gozo, Malte ou Comino, les trois principales îles de l'archipel, Antoine réussira-t-il son pari ?
Le Malawi se trouve en Afrique Australe et fait partie des pays les plus pauvres du monde. Antoine commence son périple à Nkhata Bay dans le nord du pays. Des chants dans une maison attirent son attention. Il se retrouve alors en pleine séance d'exorcisme et fait la connaissance d'Amos, un bien curieux jeune homme. Puis le voyageur file dans le sud, à Mwanza. Il loue une moto complètement décrépite, et s'enfonce dans l'intérieur du pays. C'est l'aventure ! Il croise les habitants de petits villages isolés. Les rencontres sont joyeuses, mais les communications sont difficiles. Antoine termine son voyage à Blantyre, la plus importante ville du pays. Il constate rapidement que les caméras ne sont pas les bienvenues et se fait même agresser. Contre toute attente, il va faire la connaissance de Janet une femme lourdement handicapée qui brille par son sourire et son courage. Elle est mère de 5 enfants et n'hésite pas à recevoir le globe-squatteur chez elle…
Antoine de Maximy commence son voyage à Managua, la capitale du Nicaragua, pays qui a été le théâtre d'une guerre civile, désormais apaisé. En cherchant le centre ville, il découvre que celui-ci, détruit par un tremblement de terre, n'existe plus depuis une quarantaine d'années. A Telpaneca, dans le nord du pays, il est accueilli par César et rencontre Ian, qui lui fait visiter le dispensaire. Pour terminer son voyage, le globe-trotteur cherche à rejoindre, par bateau, le petit village de Tasbapauni, sur la côte Caraïbe. L'accueil dans ce coin de paradis est au rendez-vous.
Antoine de Maximy parcourt la Bosnie-Herzégovine, une ancienne région de Yougoslavie qui a pris son indépendance au prix d'une guerre dans les années 90. Aujourd'hui encore, la situation politique est complexe. À Doboj, dans le nord du pays, il rencontre Uros, qui vit chez son père. Puis Antoine se rend à Sarajevo, où il fait la connaissance d'une famille communiste. Il se rend ensuite à Mostar : la ville a été le théâtre de violents combats durant la guerre. Il y règne une atmosphère particulière. Le globe-squatteur termine son voyage dans la campagne.
Equipé de ses petites caméras, Antoine de Maximy arrive sur l'île de Ko Lanta, dans le sud de la Thaïlande. Il s'éloigne rapidement de ce lieu touristique et loue un tuk-tuk, une sorte de triporteur greffé sur une moto. L'engin est difficile à conduire, mais il lui permet de rencontrer des musulmanes jouant au volley. À la fin de la partie, Kruya accepte de l'accueillir chez elle mais Antoine devra passer la nuit à l'école, religion oblige. Le voyageur se rend ensuite à Lampang, une petite ville dans le nord du pays. Il rencontre Tui, qui lui propose de l'emmener au centre commercial. Antoine accepte et rencontre Parn, sa patronne, dans un restaurant. En réalisant qu'elle dîne avec un inconnu, Parn ne peut plus s'arrêter de rire ! À Bangkok, il fait la connaissance de jeunes enthousiastes qui tiennent une gargote sur un marché de nuit.
Ainsi, après le Nicaragua, la Bosnie-Herzégovine et la Thaïlande, l’émission J’irai dormir chez vous nous emmène en Afrique de l’est, en Tanzanie. Antoine de Maximy et sa chemise rouge ont séjourné pendant une quinzaine de jours sur ce territoire grand comme une fois et demi la France et bordé au nord par le lac Victoria et les montagnes du Kilimandjaro. Sur place, Antoine de Maximy a ainsi visité des villes telles que Morogoro ou l’ancienne capitale Dar es Salam mais il a surtout loué pour une poignée de dollars des motos pour gagner les villages alentours. Plutôt bien accueilli par des tanzaniens qui ne parlent pas tous anglais, il a cependant connu quelques petites mésaventures pendant son séjour. Il ainsi pu ressentir plusieurs fois une certaine agressivité de la part des jeunes. Et surtout, il a failli se retrouver seul au milieu de la brousse en pleine nuit. En effet, une des motos qu’il a loué est tombée en panne (crevaison et problème de chaîne). Mais heureusement qu’il avait rencontré en chemin un Masaï qui avait accepté de continuer sa route en sa compagnie. Car grâce à son aide, il a pu aller jusqu’à un village pour faire réparer sa moto et éviter ainsi de passer la nuit dehors. Mais mis à part ces petits désagréments qui se sont bien terminés, Antoine de Maximy est reparti une nouvelle fois ravi de ces situations inattendues qu’il affectionne tant pour son émission J’irai dormir chez vous. Il a ainsi pu passer du temps en compagnie de son sauveur Masaï qui avait la particularité d’être habillé comme en plein hiver avec plusieurs couches de vêtements sous son blouson en cuir. Il a aussi dansé une grande partie de la nuit au milieu de plusieurs centaines de villageois à l’occasion d’une fête annuelle dont il ignorait l’existence avant. Et il a partagé l’Ugali, le plat traditionnel du pays fait à base de farine de maïs, avec un « businessman », croisé dans la rue. Il a même eu la c
Antoine commence son voyage à Goes, dans la province de Zélande. C'est vendredi soir et la petite ville est très animée. Le voyageur file ensuite vers le nord-est du pays et atterrit à Pekela. Il pleut et il n'y a pas grand monde dehors. Antoine erre le long d'un canal avant de découvrir que Pekela est une bourgade bien particulière : 100 mètres de large pour 17 kilomètres de long. Antoine termine son voyage à Amsterdam. L'agitation de la ville tranche avec le reste du pays. Il commence par le quartier rouge où il rencontre plusieurs prostituées qui plaisantent avec lui. Puis il quitte le centre et se dirige vers les quartiers résidentiels. Il aperçoit une famille vivant dans un appartement semi enterré. C'est par la fenêtre qu'il entre pour boire un café. En sortant, pensant aller se coucher, Antoine croise un jeune homme dans la rue qui se rend dans un coffee shop. Bien qu’il ne fume pas, il lui emboîte le pas et passe la soirée au milieu d'un épais nuage de fumée...
Antoine parcourt l'Arménie, en plein hiver, en commençant par Vanadzor, dans le nord du pays. Il tente d'établir le contact avec trois femmes riantes, croisées lors d'une promenade entre les vieux immeubles staliniens de la ville. A Erevan, la capitale, où peu de gens parlent anglais ou français, le globe-trotteur rencontre Narek et Sirarpi, un jeune couple qui rêve de théâtre et l'emmène en soirée. Le périple prend fin dans les montagnes. Antoine déambule dans les rues d'un village enneigé et rejoint Tsakhkadzor, la principale station de ski. Il rencontre deux choristes pendant la messe dominicale.
Aux Philippines, Antoine de Maximy commence par parcourir Manille, la capitale. C'est dans le quartier chinois qu'il rencontre Warrie et sa soeur Trinidad. Ils vivent à l'abri d'une bâche qui constitue leur petite boutique. Le voyageur s'envole ensuite pour la petite île de Guimaras. Elle n'est pas touristique et la vie suit son cours. Il loue une sorte de side-car couvert pour visiter les environs. Après avoir goûté une spécialité culinaire pour le moins déroutante, il assiste, dans un village, au concours de Miss Saint-Valentin.
Antoine part dans la République des Kiribati, un état indépendant qui s'étend sur plus de 3000 kilomètres de long. Un pays composé d'une trentaine d'atolls perdus dans le Pacifique. Il commence son voyage sur Tarawa, où se trouve la capitale. Puis après quelques aventures, il décide de se rendre à l'autre bout du pays, dans les îles de la Ligne. Forcé d'abdiquer, il va découvrir l'atoll de Maiana, peuplé de quelques villages. Il termine son périple au bord d'un lagon bleu turquoise, dans des huttes au toit de paille incroyablement quiètes. Car ici, il n'y a ni électricité, ni agressivité, ni télévision.
Chypre est une île au statut bien particulier. Depuis la guerre de 1974, elle est divisée en deux territoires. Au sud, la République de Chypre fait partie de l'Union Européenne. Au nord, la République turque de Chypre du Nord n'est reconnue que par la Turquie. Nicosie, la capitale, est coupée en deux. Mais depuis une quinzaine d'années, on peut passer d'un côté à l'autre sans problème. Antoine commence au sud de la ville parmi les Chypriotes d'origine grecque. Il fait plusieurs rencontres sympathiques et gaies, mais on sent que les blessures de la guerre ne sont pas complètement cicatrisées. Après un court passage dans le nord de la ville, le voyageur file au cœur de la partie turque. Il fait la connaissance de Canalp, puis d'Osman. Ce dernier est un joueur passionné. Il emmène Antoine découvrir les immenses casinos du bord de mer. Le globe-squatteur termine son voyage dans la partie grécophone. Dans les montagnes, il rencontre Vasos, un agriculteur qui a bien du mal à joindre les deux bouts. Ce dernier lui ouvre grand sa porte.
Dans cet épisode 100% inédit, destination la Côte d´Ivoire pour notre globe-trotter. Yamoussoukro, Abidjan, Man, Tiaképleu…où il glisse et se fracture le péroné. Il sera rapatrié pour se faire opérer à Paris... Après la diffusion de l´épisode, Antoine vous donne rendez-vous dans sa cuisine où il nous raconte les coulisses de son voyage. De sa blessure à son rapatriement en France, mais aussi les bons et les mauvais moments dans la ville de Grand Bassam et le quartier du Millionnaire à Yamoussoukro, découvrez toutes les confidences de notre globe-trotter.
Antoine part au Kazakhstan. Le voyageur débarque à Nour-Soultan, la capitale résolument très moderne, à son grand étonnement. Il y rencontre Toleubek un jeune prof de théâtre qui l'accueille chez lui. Puis il file en direction des montagnes du sud, où il tombe par hasard sur une partie de bouzkachi, le sport national. Des cavaliers se disputent une carcasse de chèvre. C'est assez physique et même violent. Dans la ville de Shymkent il se fait inviter à un anniversaire traditionnel. Le globe-squatteur reprend la route et finit pas se retrouver dans un petit village dans la steppe. Nostalgique de ses anciens voyages, Antoine de Maximy sera pris par l'émotion en réalisant à quel point le monde a changé. L'émergence des technologies a provoqué des bouleversements dans les rapports humains.
Ce voyage commence par une énorme surprise pour Antoine de Maximy ! Il s'est envolé pour filmer un épisode à Taïwan. Mais à son arrivée, il découvre que trois ans après la pandémie, le port du masque est encore la règle partout. Impossible de tourner dans ces conditions. Il repart donc pour le Vietnam.
En Algérie, le voyage d'Antoine de Maximy commence dans les montagnes de grande Kabylie, au-dessus de Tizi Ouzou. Il choisit au hasard un petit village perché et déambule dans les ruelles. Sur la place centrale. Daoud, un ingénieur retraité, accepte immédiatement de l'accueillir dans sa petite maison avec une vue à couper le souffle. Le lendemain il assiste à la fête du Mouloud, l'anniversaire de la naissance du Prophète, autour d'un tombeau. Toutes les femmes de la région sont là avec leurs tenues multicolores. Puis Antoine s'envole pour Djanet dans le grand sud algérien.
Antoine de Maximy s'envole pour Taïwan. Comme tout le monde, il a entendu parler de problèmes entre Taïwan et la Chine et il se demande quelle est l'atmosphère sur l'île. Le globe-squatteur commence son voyage à Taipei, la capitale. Après une soirée dans les quartiers animés, il découvre une drôle de boutique. Plus tard, il découvre que les habitants n'ouvrent pas facilement leur porte aux étrangers.
Antoine de Maximy sillonne l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie. Il commence son voyage à Kurdikos-Naumiestis, en Lituanie. Dans ce petit village perdu, il fait la rencontre de Austeja, une citadine qui tente l'expérience du retour à la terre dans l'ancienne maison de sa grand-mère. Autour d'une soupe faite maison, elle lui raconte ses rêves et sa volonté de réduire son impact environnemental. Ensuite il rejoint Narva, au Nord-Est de l'Estonie. La ville est séparée de la Russie par une rivière mais la frontière est fermée depuis la guerre en Ukraine. Il apprend que le lendemain c'est la fête
Il s'appelle Antoine de Maximy et a décidé de conquérir les Etats-Unis : ses routes à pertes de vue, ses paysages grandioses, ses mythes en cinémascope, ses villes immenses, ses communautés, ses stars hollywoodiennes, ses anonymes... D'Est en Ouest, notre voyageur filmeur prend la route. A pied, en stop, en taxi, en bus, à vélo et même... en corbillard ! New York, Miami, Nouvelle-Orléans, Las Vegas... En ligne de mire : Hollywood, où il espère se faire inviter chez une star pour la nuit ! Au hasard du chemin, il va croiser des hommes et des femmes, chacun révèlera sans fausse pudeur, une part de lui-même. Tous ces portraits dessinent un visage aussi touchant que surprenant des Etats-Unis.
Antoine de Maximy a déjà sillonné seul plus de trente-cinq pays en s'invitant à dormir chez les gens pour la série culte J'irai dormir chez vous. Il a traversé les États-Unis de long en large pendant trois mois pour le film J'irai dormir à Hollywood. Cette fois, c'est une traversée en Inde d'est en ouest, deuxième pays le plus peuplé au monde, foyer des civilisations les plus anciennes et de vingt-trois langues officielles. De Calcutta à Mumbai, Antoine brosse un portrait unique des habitants. Et comme destination finale, Bollywood, ou Antoine veut se faire héberger par une star bollywoodienne.
Pour une fois, Antoine de Maximy ne part pas sur les routes du monde dormir chez l'habitant mais réalise un incroyable voyage au Burning Man, un gigantesque rassemblement de plusieurs dizaines de milliers de personnes. Dans une ville éphémère en plein cœur du désert du Nevada, des artistes et des naturistes vivent une semaine de folie. L'argent disparaît, les conventions sociales sont abolies et toutes les barrières tombent. Contrairement à son habitude, Antoine prépare son voyage car il faut apporter son ravitaillement. Il embarque de quoi boire et manger dans son mobile home. Cette fois, le globe-squatteur risque bien d'être surpris et de perdre ses repères : on ne sort pas indemne de Burning Man...
Surprise samedi en cette fin d’après-midi à Arras. Antoine de Maximy tourne en direct son émission « J’irai dormir chez vous » sur le site Internet de France 5.Les Arrageois de la place des Héros n’en reviennent pas. Antoine de Maximy est en ce moment à Arras pour le tournage de son émission sur France 5. Équipé de ses deux petites caméras et suivi par un cadreur, le journaliste dialogue avec les habitants et garde un lien avec les internautes qui le conseillent. Antoine de Maximy a davantage l’habitude de découvrir les pays au hasard de ses rencontres. Ce 4 avril, Antoine de Maximy pimente son émission de voyage… dans la préfecture du Pas-de-Calais.
«On ne s’attendait pas du tout à ça. » La famille Jovanovic n’en revient toujours pas. Elle qui se préparait à recevoir ses hôtes pour célébrer les 21 ans de Kristina (Miss Vosges 2014) a eu un invité surprise de taille : Antoine de Maximy.Et c’est comme un prince qu’Antoine de Maximy a été accueilli par Dragiga et Darko Jovanovic dans leur maison de la rue Saint-Michel. Pas déstabilisés le moins du monde, les propriétaires ont tout de suite offert le gîte et le couvert à l’animateur. « Quand il y en a pour deux il y en a pour trois », a lancé en riant le maître de maison occupé à arroser le porcelet qui cuisait dans le l’imposant barbecue installé sur la terrasse. Les invités chargés de fleurs et de cadeaux pour Kristina arrivaient les uns après les autres sans se douter une seconde de ce qu’il pouvait se passer derrière la porte. La surprise a été de taille. Le repas d’anniversaire des 21 ans de l’ex Miss Vosges restera sans doute longtemps gravé dans les mémoires.
Dans une émission en direct, aucun montage pour camoufler les rebondissements inattendus. L'animateur discute avec des touristes allemands, teste la "namourette" ou s'improvise mécanicien pour dépanner une voiture ! L'avantage de la Belgique par rapport au Kirghizistan, c'est l'absence de barrière de la langue. Plutôt pratique ! C'est dans la chambre d'un petit garçon de neuf ans fan de football qu'Antoine de Maximy passera la nuit. C'est quand même mieux que de tomber dans une bouche d'égout ! Le père du jeune garçon en profite pour donner une leçon d'urbanisme depuis la fenêtre de la chambre. "Normalement tu aurais une belle vue sur la citadelle, mais il y a ce bâtiment qui gâche tout. Dans les années soixante, ils construisaient un peu n'importe comment. C'était un quartier d'habitations, le centre de la ville. Oh, pas des maisons très cosy ! Mais c'était le cœur de Namur" raconte-il. Namur est une de ces villes industrielles du nord, profondément transformées au cours du XXe siècle. Voyager, ce n'est pas seulement découvrir de beaux paysages, de nouveaux lieux et de nouvelles cultures. Parfois, vous remontez aussi le temps.
Aux téléspectateurs qui ont suivi avec bonheur ses pérégrinations, il propose donc aujourd'hui de dévoiler les coulisses de la série J'irai dormir chez vous, ainsi que celles du long-métrage J'irai dormir à Hollywood. De l'idée toute simple qui est devenue le succès que l'on connaît à la télévision et bientôt au cinéma ; des premiers bidouillages pour embarquer une petite caméra à l'épaule aux premiers essais sur un marché de Belleville jusqu'à ses rencontres les plus marquantes ; des couacs techniques au fin fond du Mali aux situations les plus périlleuses au Québec ou aux Etats-Unis, il raconte tout. Et surtout son bonheur d'avoir pu vivre cette aventure. Les producteurs, le monteur, la graphiste complètent le récit, se rappelant leur étonnement face à ce projet décalé et expliquant la manière dont ils l'ont accompagné et construit. Chaque étape et chaque voyage sont illustrés et commentés avec bonne humeur. Jusqu'à ce dernier périple, qui sera porté sur grand écran, en Amérique du Nord. A vélo, en train, en bus, en parachute ou au volant d'un corbillard, de New York à Los Angeles en s'arrêtant chez les amish ou dans les quartiers les plus défavorisés. Une nouvelle aventure grand format… mais toujours à la rencontre des autres.
Montage alternatif de "J'irai dormir chez l'homme qui brûle" agrémenté de scènes inédites.
Antoine de Maximy revient sur le tournage de "J'irai dormir chez vous" afin de faire découvrir les coulisses et les bonus de trois destinations : Espagne, Cap Vert et Uruguay. Depuis quinze ans, il parcourt le monde avec ses trois caméras qui ne le quittent pas, faisant partager aux téléspectateurs les moments les plus intimes, drôles, dangereux ou émouvants de ses pérégrinations, à travers une soixantaine de films. Ses petites caméras ont tout capté, les moments de doutes et de défaillances inclus. Nombreuses sont les rencontres vécues par le voyageur qui sont restées dans la salle de montage. Avec ces émissions spéciales, il présente les coulisses de ses voyages. Antoine de Maximy revient sur son tournage en Espagne. Pour commencer, il fait le récit des conditions dans lesquelles il est parti sur la péninsule ibérique. Puis, dans sa salle de montage, il dévoile des personnages inédits...
On croyait tout savoir des voyages d'Antoine de Maximy ? Et pourtant, nombreuses sont les scènes étonnantes vécues par le voyageur qui n'ont pas toutes pu être révélées... Le globe-trotter avait choisi l'Uruguay "pour retrouver le soleil au mois de novembre tout simplement !". Après la rediffusion de "J'irai dormir chez vous : Uruguay" (2015), Antoine dévoile les coulisses de son voyage et les rencontres inédites. Comme celle de Negro, un copain d'enfance du Président de la République, ou celle de Hugo, un descendant d'immigrés allemands du siècle dernier. Mais surtout le voyageur nous entraîne dans la station balnéaire de Punta del Este où il va voir pour la première fois un éléphant de mer et assister à une course de voitures en pleine ville. Comme à son habitude, il parvient à s'introduire dans les stands, au milieu des pilotes et assiste à une course rocambolesque.
Antoine revient sur le tournage de "J'irai dormir chez vous : Cap Vert" (2014). Après la rediffusion de l'épisode, Antoine partage ses rencontres inédites parfois amusantes comme lorsqu'il croise des femmes au marché. Il plaisante avec l'une d'elles et essaie évidemment de se faire inviter à déjeuner. Apparemment ce n'est pas du goût du mari ! Il parle également du volcan Fogo et s'attache à décrire la petite école et ses élèves, qui se trouvaient au milieu du village, dans le cratère. Pourquoi ? Parce qu'aujourd'hui, tout a disparu. Une éruption a tout détruit, heureusement sans faire de victimes. Enfin, Antoine raconte son escapade sur l'île de Santo Antão, qui n'apparaît pas dans le film. On y découvre Rui qui parle parfaitement français, sans être allé à l'école et sans avoir jamais quitté son île. Et Johanna, femme de ménage la journée et coiffeuse le soir.
J'irai dormir chez vous : Spécial Malawi Après la rediffusion de l'épisode sur le Malawi, tourné en 2016, Antoine de Maximy dévoile pour la première fois des images inédites de cet incroyable voyage. L'aventurier raconte dans quelles conditions il est parti dans ce petit pays d'Afrique. Il y a rencontré des personnages forts, vécu des moments intenses, comme avec Janet, une femme lourdement handicapée qui brille par son sourire et son courage. Mère de cinq enfants, elle n'avait pas hésité à recevoir le globe-squatteur chez elle. Janet a fortement marqué les esprits par sa vie au quotidien, ses valeurs, et Antoine de Maximy est retourné au Malawi pour la retrouver.
Four fêter les 20 ans de Groland (émission de Canal+), Antoine de Maximy a réalisé une parodie de son émission "J'irai dormir chez vous" . Il débarque dans la principauté de Groland avec son enthousiasme habituel d’aller à la rencontre des habitants. Seulement, les “grolandais” ont une vision bien particulière de l’hospitalité… Banzaï !
Sorti tout droit de l’esprit de l’aventurier barré et de son équipe, J’irai dormir dans le web est un concept live où Antoine part à la rencontre des Parisiens dans sa voiture à pédales, afin de partager un moment convivial à bord de ce véhicule étonnant aux couleurs de l’émission. Mais, là est toute l’originalité de l’émission, le baroudeur est dirigé dans les rues de la capitale grâce aux commentaires et autres hashtags des internautes, qui suivent en direct ses déplacements sur le site france5.fr ! Entres défis, surprises et autres débats mouvementés entre Antoine et ses passagers d’un jour, ce direct promet de belles surprises, à l’image du concept général de J’irai dormir chez vous et de son animateur vedette.
Diffusion intégrale des épisodes de "J'irai dormir à Burning Man"
L'explorateur et auteur Antoine de Maximy fait l'éloge de la combativité lors de son talk au TEDxMarseille. Armé de caméras portatives, d’une imagination débordante et d’une bonne dose d’audace, Antoine de Maximy parcourt le monde à la manière d’un homme orchestre. Assez tôt attiré par le métier de réalisateur, il ne sait pas vraiment par quel bout l’aborder. Qu’à cela ne tienne : le sort lui donne un coup de main en lui offrant la possibilité de s’engager dans le service cinéma de l’armée, où il peut se former aux techniques de l’image. Il se découvre alors un esprit aventurier. Après son retour, il travaille sur plusieurs tournages, notamment pour CBS News, prend part à des expéditions scientifiques, s’essaye au documentaire animalier. Il anime également des émissions pour France 2 ou Planète. Mais sa plus grande réussite reste celle de «J’irai dormir chez vous». À partir de ce concept innovant, il se propose d’aller à la rencontre des habitants d’un pays en leur demandant de l’accueillir chez eux et, grâce à ses caméras, filme ces expériences édifiantes. This talk was given at a TEDx event using the TED conference format but independently organized by a local community.