Un jeune homme est accusé du meurtre d'un grand couturier. Mais au moment où il va être déféré devant la justice, Moulin est pris d'un doute. Et si, malgré une accumulation de preuves accablantes, il n'était pas coupable ? Moulin, presque solitaire, se lance alors dans une enquête à contre-courant. Et il n'est pas au bout de ses surprises.
Un jeune couple d'hôteliers vendéens est venu à Paris ouvrir un restaurant à Montmartre. Soumis à un racket de la part d'une organisation de gangsters, ils refusent de payer et leur restaurant est plastiqué. C'est le commissaire Moulin qui enquête. Bientôt, il découvre le chef de l'organisation mais le plus dur sera de l'inculper car l'homme a su se mettre à l'abri. Le jeune policier et le « truand à col blanc », habile et retors, s'affrontent.
Par une amie, le commissaire Moulin vient d'être saisi du cas étrange de Monique Frémont, une femme qui semble être dans un état de terreur permanent. Quelques jours plus tard, Monique Frémont est retrouvée assassinée près du Bois de Boulogne. L'enquête est confiée au commissaire Le Marchand, collègue de Moulin…
Floquet, un riche entrepreneur adepte d'une secte religieuse, a été tué par l'éboulement de la voûte d'une chapelle. L'enquête nous fait pénétrer dans un monde mystique, silencieux, étrange, dominé par la personnalité du grand prêtre Cassius. Pour ce dernier, Floquet a été victime d'un « choc en retour ». Le commissaire Moulin, flanqué du superstitieux Guyomard, tente de comprendre l'incompréhensible.
Voulant réparer une erreur judiciaire, le commissaire Moulin se heurte à la hiérarchie. Chargé de retrouver un ancien caïd de la pègre, Joseph Braun, évadé de la prison où il purgeait sa peine pour un meurtre qu'il refuse de reconnaître, le policier se prend de sympathie pour l'homme et acquiert la conviction de son innocence. Cette compréhension lui vaut une série de déboires : gardé en otage par Braun dans un bunker, il parvient à s'en échapper mais se retrouve lui-même en prison.
Un été, Moulin est invité par Bulocq, pêcheur de son état, à venir passer quelques jours de vacances dans l'île où, jeune garçon, il passait ses vacances en famille. Au cours d'une partie de pêche en mer, il remonte le corps de Céline Altman, manifestement étranglée. À ce meurtre succède celui de Snookie, jeune femme à laquelle Moulin s'est attaché…
Des coups dans les murs et les planchers, des objets qui volent à travers les pièces, le feu qui prend tout seul dans les tiroirs… Ces éléments permettent-ils de conclure qu'une maison est hantée ? En l'absence de spectre, il s'agirait d'un simple cas de « petite hantise » comme les gendarmes en consignent plusieurs chaque année. À un détail près : la maison hantée est la ferme normande où Moulin a passé sa jeunesse. L'objet de la persécution est sa propre tante et l'adolescente au centre des phénomènes est sa cousine. Les phénomènes en question, Moulin et Guyomard les voient de leurs propres yeux. Enfin le mort que l'on trouve un beau matin n'est autre que le cousin de Moulin. Tout ceci amène le commissaire à mener la plus insolite de ses enquêtes…
Tout commence lorsqu'un promoteur immobilier est tué dans un accident de la circulation. Crime déguisé en accident ? Le commissaire Moulin enquête. Une piste : Manuel Marchand qui a eu maille à partir avec le promoteur à la suite de la construction de pavillons. Sa petite fille, après avoir vécu un an dans le pavillon, est morte. Pourtant Marchand, comédien raté, a un alibi…
Nicolas Crescenti, dit « le Tordu », est devenu l'ennemi public numéro un. Le commissaire Moulin est sur ses traces et, tandis qu'il s'apprête à l'arrêter, « le Tordu » lui échappe et le blesse. « Le Tordu » lui échappe une seconde fois lors d'une opération montée par la Section Nationale d'Intervention et de Recherches. Moulin rejoint alors la PJ. Sur l'hippodrome où « le Tordu » doit faire courir une de ses pouliches, le commissaire organise un nouveau guet-apens.
Dure réalité pour Moulin : atteint d'une fièvre carabinée, il est obligé de laisser l'avion de touriste qu'il devait emprunter à son aéro-club. Mais l'homme qui prend sa place est victime d'un accident mortel. Rapidement, il apparaît que l'appareil a été saboté. Quelqu'un en voulait donc à la vie du commissaire. Mais de qui s'agit-il? Malade et perclus de douleur, Moulin va devoir enquêter sans savoir où se diriger. Le voilà embarqué dans une drôle d'affaire, bourrée de fausse pistes et de mystères, qui trouvera sa réponse dans un ultime et dangereux face à face aérien dans le ciel de France…
La jeune employée d'une galerie de peinture est suivie dans le métro par un inquiétant personnage. À la sortie, il la rattrape, la tue et s'enfuit. Un témoin, paisible musicien, est convié par la police à une tentative d'identification. Coup de théâtre, il reconnaît formellement parmi les suspects présentés, le commissaire Moulin! Le criminel serait donc un sosie de Moulin dont le portrait-robot est largement diffusé dans la presse. Le propriétaire d'un petit hôtel de banlieue reconnaît à son tour, sur la photo, un de ses pensionnaires, et la police n'a plus qu'à venir cueillir le suspect…
Le père de Cécile Vierne, une jeune médecin psychiatre, est mort des circonstances étranges. Cécile demande au commissaire Moulin d'élucider ce qui lui paraît être un mystère. le résultat de l'enquête confirme la thèse du suicide. Mais Cécile reste persuadée que son père a été tué. Moulin entame une contre-enquête, assisté d'un commissaire de police de Nice. les voilà bientôt amenés à suspecter un certain Blaireau, qui meurt lui aussi. S'agit-il d'un autre suicide ou d'un autre crime ?
Sept attentats à l'explosif sont commis à Paris. Chargé d'enquêter sur l'un deux, le commissaire interroge Lannelongue, un idéaliste non violent et Rose-Marie Mercier, surnommée « Rom », qui chante dans un cabaret pour payer ses études de violoncelliste. Rom vit entourée d'amis, tous révoltés. L'un deux, José, plus âgé, est un terroriste agissant pour une organisation internationale. Malgré les mises en garde du commissaire, Rom poussée par José passe à l'action.
Dans un avion, un homme entre dans le cockpit et demande l'asile politique. C'est un soviétique, et Moulin est le premier à l'accueillir à la police de l'aéroport. Quelques mois plus tard, alors qu'il venait de reprendre contact avec Moulin, l'homme meurt dans ce qui semble être un accident domestique…
En stage à Nice, Moulin et son adjoint Galand sont confrontés à l'organisation du vieux truand Lorca ainsi qu'à l'autorité du commissaire Neubauer. Ses activités amènent Moulin à rencontrer une séduisante chanteuse et un ambitieux malfrat
Alors que Moulin vient d'emménager dans un nouvel appartement, Isabelle Mencier, une amie d'enfance, arrive à l'improviste à Paris. Isabelle lui demande s'il peut l'héberger quelque temps. Pour le moment, c'est « copain-copain » et Moulin, surnommé par Isabelle « Linou », accepte. Hélas, leur tranquillité est troublée par un fou qui sème la terreur dans le quartier en multipliant les attentats, notamment dans les restaurants…
Pierre Chartier, patron d’un journal à scandales, découvre que sa femme Camille le trompe avec un de ses rédacteurs. Il décide de le tuer et s’arrange pour faire condamner sa femme pour le meurtre. Moulin se persuade de l’innocence de Camille Chartier mais n’a aucune preuve contre le « Patron »…
Un homme d'affaires, cavalier assidu, est enlevé lors d'une promenade. L'ex-policier Toscane, devenu détective, et une journaliste dynamique contribuent à l'enquête.
Le commissaire Moulin a commis une « bavure » en faisant arrêter un innocent. Libéré au bout de cinq ans , ce dernier semble avoir quelques idées de vengeance...
Parix XVIIIe, arrondissement de l'angoisse et de la violence.. C'est là que le commissaire Moulin exerce sa responsabilité policière. Après un braquage qui a mal tourné et se solde par la mort d'un fonctionnaire. Moulin se voit confronté à un nouveau défi : un tueur en série rôde dans la cité et assassine des personnes âgées. Entre le tueur et Jean-Paul Moulin s'engage alors une course contre la montre... C'est grâce à un commando de "mamies" équipées d'émetteurs et servant d'appât qu'il réussira à neutraliser le meurtrier... Derrière la Butte Montmartre, au-delà des clichés et du regard des touriste, la violence est omniprésente....
Tandis qu'un homme est tué dans un parking, Moulin tente de gérer une crise! Sa compagne lui reproche en effet son trop grand engagement professionnel. Quelques jours plus tard, Moulin est pris à partie dans un règlement de comptes entre flics et voyous. Ses collègues sont abattus froidement sous ses yeux mais c'est lui que la justice met en cause. Suspendu, Moulin reçoit des menaces de mort très explicites. Il comprend alors qu'un groupe de policiers baptisé « Honneur et justice » agit en sous-main et applique ses propres lois. Parmi eux, des flics en activité. Il existe sans doute une « taupe » dans l'équipe même du commissaire…
Alors que le commissaire Moulin surveille des voyous qui ont attaqué son fils à l'école, il perçoit le manège de quelques revendeurs de drogue. Il décide de mener sa propre enquête sans en référer à la brigade des stups, à qui l'enquête reviendrait de droit. Assisté de toute son équipe, il veut faire tomber un « gros bonnet » du trafic de drogue pourvu d'une couverture diplomatique, José Ribeira. En se faisant passer pour un dealer, il est mis en contact avec Manuel Coeixera, terroriste recherché par Interpol…
La bande des « Buveurs d'eau » sillonne la banlieue parisienne depuis des années, provoquant ici et là des casses audacieux. Tous les services de la police ont déclaré forfait face à leur arrogance et à leur témérité. Même le commissaire Moulin ne parvient pas à les saisir sur le fait, à tel point que le directeur de la PJ décide de participer aux planques et aux filatures, ce qui va lui amener quelques ennuis…
Lorsque Max apprend que son épouse a été enlevée, il s'adresse à son voisin et ami, le commissaire Moulin. Ce dernier se met sur l'affaire sans en parler à qui que ce soit. Cela fait partie des exigences des ravisseurs : le secret et dix millions de francs en petites coupures. Hélas, l'intervention inopportune du capitaine Bertrand fera avorter le piège tendu par Moulin…
Dans un immeuble glauque, au fond d'une cité de banlieue, un homme s'est retranché dans son appartement après avoir tué sa femme. Alors que Moulin essaie de négocier avec lui, la brigade d'intervention donne l'assaut. Bilan : un mort et un drôle de témoin car dans l'appartement se trouve également un ancien braqueur, un truand « à l'ancienne ». Si celui-ci n'a rien à voir avec l'assassin, il n'en reste pas moins un sujet à surveiller. Lorsque Moulin s'aperçoit que cet élégant voyou n'est pas « rangé des voitures » et qu'il trafique de la fausse monnaie, il décide de le suivre de près. Sans imaginer pour autant jusqu'où cette drôle d'histoire va le mener…
Frédéric, le fils du commissaire Moulin, est grièvement blessé. À la fête foraine, un jeune homme ivre lui a involontairement tiré une balle dans le dos. À l'hôpital, on annonce à Moulin que son enfant va devoir rester en dialyse. Pire, il apprend que le tireur ivre, Arnaud Benazet, est le fils d'un mandarin. Intouchable. Le flic s'efface devant la colère du père meurtri. Moulin veut faire payer Arnaud. Son acharnement conduit Benazet, célèbre chirurgien, à faire une proposition qu'il ne peut refuser : un rein pour Frédéric, contre l'abandon des poursuites contre son fils. Moulin veut comprendre comment Benazet se prétend capable de trouver un donneur pour Frédéric alors que les hôpitaux publics ne lui laissent guère l'espoir d'une greffe avant de longues années. Il ne tarde pas à découvrir que derrière cette proposition se cachent un effroyable trafic d'organes et une formidable organisation internationale. Reste Frédéric cloué sur son lit… Une image obsédante pour Moulin, déchiré entre son amour paternel et son boulot de flic. L'argent n'est pas toujours le moteur des ripoux.
Le jeune Pascal agonise sur un tas d'ordures. Le commissaire Moulin se rend sur les lieux et trouve dans une des poches du jeune homme un billet d'entrée au Blue Bird, une boite de nuit. Moulin s'y rend et rencontre un gamin qui affirme avoir vu Pascal être victime d'un malaise dans les toilettes. Le commissaire se rend vite compte que le patron de la boite s'est débarrassé du jeune homme qui risquait de mourir d'une overdose dans son établissement. Parallèlement, Moulin va vivre une plongée cauchemardesque dans le quotidien d'un jeune garçon victime de violences parentales. Les deux histoires sont naturellement liées et Moulin, moins homme de loi que travailleur social va d'abord chercher à faire triompher la vérité.
Lors d'un braquage de banque, la femme du directeur et son fils sont pris en otage à leur domicile. Le chef de la bande de braqueurs fait preuve d'humanité et tout se déroule sans haine et sans effusion de sang, jusqu'à ce que deux de ses complices, moins scrupuleux, l'abattent froidement, le laissant pour mort. Peu de temps après, des collègues du commissaire Moulin se font attaquer. Ce dernier fait rapidement le lien entre les deux affaires. Le braqueur a survécu aux blessures de ses deux acolytes mais a perdu la mémoire. Pourtant, lui seul détient la clé de l'énigme permettant d'arrêter les assassins. Moulin va devoir se faire incarcérer sous une fausse identité pour approcher le truand, s'en faire un ami, et tenter de soutirer les renseignements essentiels. Amnésique ou simulateur? Au jeu des faux semblants, Moulin devra prendre tous les risques pour enfin connaître la vérité.
à la suite de la mort par injection de strychnine de l'un de ses plus vieux amis, flic à la brigade des stupéfiants, Moulin se sent investi d'une mission de « conscience » : découvrir l'identité de l'assassin. Pour ce faire, une seule solution : investir le milieu de la drogue. Mais la traque des gros trafiquants implique un apprentissage quotidien qui bouscule sérieusement le sens des valeurs et des convictions de Moulin. Chevelu, barbu vêtu à la manière des bikers qui écument la ville, Moulin doit s'initier à la dure loi de la rue. Plongé dans l'univers des squats délabrés, des HLM crasseux et des stations de métro glauques, au cœur des no man's land des friches industrielles de banlieue, Moulin doit composer avec un monde hostile qui lui est totalement étranger. Mais il sera confronté au pire, lorsqu'il découvrira que certains de ses collègues sont bien loin du métier de représentant de la loi, et trempent dans de bien sombres histoires…
Moulin se trouve pris entre deux affaires. À peine libéré de prison, un criminel qu'il avait envoyé derrière les barreaux menace sa vie privée. Parallèlement, un mystérieux tueur en série commet des meurtres rituels reproduisant des assassinats immortalisés quelques années auparavant par Cattoire, un artiste peintre sexagénaire, génialement pervers, et qui se trouve aujourd'hui lui-même incarcéré. Cattoire connaît certains détails indispensables à la résolution de l'enquête, mais est-il prêt à les divulguer? Entre Moulin et l'artiste diabolique va alors s'engager une partie de poker menteur acharnée, où se conjugueront séduction et rivalité intellectuelle. Soumis à une double pression, Moulin devra exorciser tous ses démons…
Un des meilleurs amis de Moulin, l'avocat Antoine Camara a accepté de défendre un monstre, Jean-Luc Duval, dit Rouge-Gorge, accusé d'avoir violé et assassiné plusieurs petites filles. L'avocat ne cesse de subir des pressions, les familles des victimes le harcèlent. Coups de fil anonymes, menaces sur ses propres enfants, photos de fillettes assassinées collées sur sa voiture, sur sa porte… La peur s'installe. Antoine craque, annonce à Moulin qu'il va abandonner l'affaire. Moulin le prend très mal. Si la justice cède au chantage et aux menaces, c'est son métier de flic qui est piétiné. Alors, à son tour, Moulin harcèle les tourmenteurs. Il n'y a rien de pire que d'avoir un flic pour ennemi. Coincé, Antoine reprend le dossier et gagne le procès. Rouge-Gorge est libéré. Peu de temps après, une nouvelle fillette est assassinée, dans les mêmes horribles conditions… Pour Moulin et son ami l'avocat, l'enfer vient de commencer.
à la suite d'un problème cardiaque, Jean-Paul Moulin est hospitalisé. Malgré les conseils de prudence de ses proches et du corps médical, le commissaire est amené à enquêter sur l'assassinat d'un voisin de chambre, un non voyant nommé Gilles Lecourbe. Ce dernier a été le témoin auditif du meurtre de son amie Nicole lors d'une conversation téléphonique avec elle. Alors que Lecourbe se rendait à la SRPJ pour témoigner, il a été pris en filature par le véhicule du meurtrier, qui l'a heurté de plein fouet. L'enquête conduite par Moulin, riche en rebondissements, va peu à peu révéler l'implication de membres du gouvernement et des services secrets. Pression, intimidation, tous les moyens seront utilisés pour fausser les pistes.
Le commissaire Moulin est temporairement affecté à la brigade de recherche et d'intervention (antigang) pour tenter d'enrayer des braquages de fast-food. Au cours du dispositif de planque, les voyous réussissent à prendre la fuite après avoir froidement abattu une prostituée et tiré sur les policiers. La liste des exactions de la bande s'allonge, ainsi que celle des victimes. Un large dispositif de surveillance est mis en place, et aboutit à l'arrestation des truands. Durant l'interpellation, le commissaire Lesueur, ennemi juré de Moulin, provoque la mort de son ami Max, un divisionnaire de l'antigang. Émotion assurée!
Un gang d'hommes cagoulés pénètre chez le docteur Cadiou et lui injecte un échantillon de sang contaminé par le virus HIV. Dès leur départ, le docteur se suicide. Accusé d'avoir transfusé des dizaines d'hémophiles en ayant conscience des risques encourus, Cadiou avait été innocenté. C'est le troisième médecin impliqué dans l'affaire du sang contaminé qui meurt brutalement cinq ans après le procès. Les services de la sûreté sont convaincus que le docteur Mérédith, qui doit sortir de prison prochainement, est le suivant sur la liste. Ils chargent alors Moulin de le protéger.
Moulin enquête sur la disparition d'une fillette. Lorsque son corps est retrouvé, les soupçons se portent sur le beau-père pédophile multi-récidiviste. (À la suite d'un procès perdu contre la famille dont l'histoire s'inspire, cet épisode reste à ce jour interdit de rediffusion à vie. À noter également que lors de sa diffusion il était déconseillé aux moins de 16 ans pour son extrême violence.)
Un voleur de scooter est abattu au fusil à lunette par le propriétaire qui n'est autre qu'un flic… Moulin enquête et s'aperçoit que les états de service du coupable ne sont pas aussi élogieux que sa hiérarchie veut le faire croire. De plus, le parquet met la pression pour faire passer cet assassinat pour un tragique accident. Moulin devra se battre pour empêcher une justice d'exception vis-à-vis de ce flic meurtrier, et ceci lui vaudra un passage à tabac en règle!
Alors que la police recherche un voyou qui a passé à tabac un policier lors d'une émeute, Moulin retrouve son ami Michel qui entraîne des adolescents de banlieue pour participer au « marathon des sables ». Moulin parvient à arrêter le voyou recherché, Thierry Bossais, mais son arrestation déclenche une émeute qui se traduit par l'attaque d'un véhicule de police durant laquelle un fonctionnaire est gravement brûlé. Pour apaiser la situation, le préfet décide de relâcher Bossais. Ce dernier retrouve Samir, le jeune dealer qui l'a dénoncé et l'abat froidement dans un terrain vague, sous les yeux de Rachid, un protégé de Michel, à qui il fait promettre de garder le silence…
Une nuit, au cours d'une interpellation qui tourne mal, le commissaire Moulin échappe de peu à la mort grâce à l'intervention d'une jeune femme, prostituée et droguée, Nathalie. Moulin se prend d'affection pour Nathalie et tente de la protéger alors qu'elle est la cible d'un tueur en série qui abat froidement toutes les prostituées rousses du secteur. Malheureusement, il ne pourra empêcher l'assassinat de Nathalie. Alors que la police délaisse l'enquête, le commissaire Moulin se sent coupable. Il est résolu à démasquer le meurtrier, et tous les indices semblent converger vers une même suspecte membre de la police…
Sophie Chaparal, l'épouse du magnat de presse André Chaparal, est assassinée dans sa voiture. Son mari, lui, n'est que blessé. Le commissaire Moulin, chargé de l'enquête, suit dans un premier temps la piste de Kévin, qui tente de se suicider lorsqu'il voit arriver la police. Moulin ne le croit pas responsable et se tourne vers Mourad, un jeune drogué qui avoue trop facilement. Moulin veut enquêter sur Chaparal qu'il croit coupable. Le directeur de la police accepte mais refuse de le couvrir en cas de débordement. En effet, Chaparal reproche à la police de ne pas avancer dans son enquête tandis que la photographe du journal, Ricky, mitraille Moulin pour faire des articles à sensations…
Le commissaire Moulin doit s'occuper d'un « bleu », Pierre Dufeau, frais émoulu de l'école des inspecteurs de police. Le jeune homme présente très vite les signes d'un comportement violent et étrange, notamment en ce qui concerne sa vie privée et son passé. Moulin ne tarde pas à découvrir que Pierre est en réalité le fils d'un « ripou » qu'il a jadis dû abattre. Dufeau est animé d'une obsession dévorante : se venger du commissaire Moulin et éliminer les prostituées qu'il estime responsables de la dérive de son père…
Encore une fois seul contre tous, le commissaire Moulin enquête pour réhabiliter le mémoire de son ami et collègue Vava. Décédé des suites d'une blessure à la tête lors de la tentative d'arrestation d'un gang de braqueurs, ce dernier est soupçonné de corruption. Mais Moulin connaît trop Vava pour se laisser influencer. Persuadé de l'honnêteté de feu son ami, il va se démener pour blanchir sa mémoire. Il réussira à prouver que Vava a en fait été victime des manigances de Wolf, un flic de la brigade de répression du banditisme désireux de masquer une bavure qui compromettrait sa carrière…
Il y a entre Moulin et le truand Berghese une sorte de respect mutuel : Berghese est un beau voyou, as du cambriolage, et Moulin est celui qui a réussi à le coincer sept ans plus tôt. Aujourd'hui, Berghese assiste à l'enterrement de sa femme morte dans un accident de voiture et il en profite pour proposer un marché à Moulin : il est prêt, contre sa liberté anticipée, à balancer les responsables d'un braquage de banque que Moulin trace depuis longtemps sans pouvoir les inquiéter, et qui semblent bénéficier de complicités au sein même de la PJ.
Moulin enquête sur une série de meurtres perpétrés dans le xixe à Paris et fait appel à Laurence Cusko, profiler, qui lui brosse un portrait psychologique du tueur. Quelques jours plus tard, le corps de Sophie Kazan est retrouvé, sauvagement mutilé selon les mêmes rites et toujours dans le même quartier. Parallèlement, Moulin découvre l'existence de Marie, en garde à vue pour détention de drogue, et qui prétend être sa fille. Marie habite aussi dans le xixe ! La liste des victimes s'allonge, et Moulin va devoir simultanément encaisser sa paternité, protéger sa progéniture et mettre fin à l'hécatombe de crimes sadiques.
Une femme meurt accidentellement, renversée sous les yeux de sa fille par Serge Blanc, un chauffard complètement ivre. Moulin, chargé de l'enquête, est mis en présence de Laetitia, la fille de la victime, jeune adulte, crucifiée par la douleur. Deux ans plus tard, lorsque Blanc sort de prison, la jeune fille devenue rebelle a soigneusement orchestré sa vengeance. Une nouvelle fois les destins de Jean-Paul Moulin et de Laetitia vont se croiser par hasard. Conscient qu'un engrenage fatal est mis en marche, le commissaire va tout faire pour sauver Laetitia contre son gré ! Mais la mécanique du destin n'est pas de celles qu'on arrête facilement…
Une banale aventure d'un soir tourne au drame pour le commissaire Moulin. Cette superbe femme, Patricia, qu'il a aimée une nuit, est juge d'instruction. Elle tombe follement amoureuse de Moulin, et le harcèle, allant jusqu'à mettre en danger la vie de Sam. Moulin tente de cacher cette liaison. Lorsque Patricia est assassinée, tous les soupçons se portent sur Moulin. Son calvaire se termine en prison. Grâce à Guyomard, il s'évade lors de la reconstitution du crime, et se retrouve seul pour tenter de découvrir le véritable assassin.
En effectuant un banal reportage, Sam est témoin d'une tuerie. Le tueur l'identifie et tente de supprimer ce témoin gênant. Moulin, qui est séparé de Sam depuis un an, doit assurer sa protection, sous le toit de l'homme qui partage maintenant sa vie. Tout en la protégeant et en cherchant à identifier le tueur, Moulin mène un autre combat : reconquérir celle qu'il n'a jamais cessé d'aimer.
Drame personnel pour Moulin : Morgane, la petite-fille de son ami Paulo, est retrouvée morte dans son appartement. Moulin promet de retrouver l'assassin et lance son enquête. Ses investigations le mènent dans le milieu du film porno. La jeune victime, que tout le monde croyait une sage étudiante, était tombée dans les griffes du cynique producteur Schneider et de son bras droit : Moretti. Moulin obtient le feu vert de sa hiérarchie pour démarrer une opération d'infiltration dans le milieu… Mais quelle n'est pas sa surprise lorsqu'il découvre que Moretti, son principal suspect, est un flic de l'OCRTEH (la « police des putes »), infiltré depuis plusieurs mois pour faire tomber Schneider ! Moretti a-t-il franchi la ligne et basculé du côté des voyous ? Moulin refuse de le croire…
Le jour où Moulin s'est enfin décidé à se marier avec Sam, la femme de sa vie, le voilà embarqué dans une prise d'otages! Obligé de passer à la PJ en catastrophe pour récupérer les alliances oubliées par Guyomard, le commissaire Moulin tombe nez à nez avec un gang de fous armés. Ces derniers sont en fait les parents d'enfants victimes d'un dangereux pédophile, Sigura, qui vient d'être arrêté et attend son transfert vers la prison. Les revendications des preneurs d'otages sont claires : ils veulent la peau de Sigura, et le faire parler pour faire tomber son réseau. Ni la persuasion, ni la force ne semblent avoir raison de leur détermination. Ces parents sont désespérés et à ce titre, peuvent se révéler très dangereux…
Nicolas, un collégien de 16 ans, dérobe le revolver de son père brigadier de police et abat un élève en pleine classe. Au commissariat, Nicolas se réfugie dans le mutisme. Moulin n'obtient des informations qu'en interrogeant son meilleur ami. Il découvre alors qu'au collège, Nicolas était victime de racket. Simultanément, une mère de famille convaincue que son fils Julien est victime des mêmes racketteurs vient demander l'aide du commissaire Moulin. Un plan est alors élaboré, et les deux racketteurs sont pris en flagrant délit. Mais ces derniers semblent bénéficier de la protection de délinquants plus âgés, qui n'hésitent pas à menacer les surveillants. L'arrestation musclée d'un seul des racketteurs va mettre Julien en réel danger. Une fois l'écheveau des apparences démêlé, une vérité dérangeante va enfin éclater!
Un soir dans une rue de Paris, un homme, visiblement au bout du rouleau, se suicide. Il s'agit d'un flic. Parmi ses collègues les plus éprouvés par ce drame, une jeune « fliquette » gardienne de la paix, totalement investie dans sa mission. Déprimée, elle se confie à Moulin et parle de perte de confiance, de déni de sa hiérarchie, des graves interrogations que lui pose sa fonction. Quelques jours plus tard, la jeune fille est violée et tabassée par un trio de voyous. Moulin va donc mener l'enquête. Mais derrière sa quête des coupables, une idée l'obsède : défendre l'honneur de la police.
Francis Hellmann, commissaire à la très prestigieuse Direction de la Sûreté du Territoire, souhaite rencontrer Moulin pour lui parler d'une affaire urgente. Tous deux se connaissent bien : ils ont été camarades de promotion et se sont revus à diverses occasions depuis la fin de leurs études. Malheureusement, Moulin doit écourter leur conversation à cause d'un empêchement de dernière minute. Le soir même de ce rendez-vous manqué, Francis Hellmann et son épouse sont assassinés devant leur fils autiste de huit ans, Jérémie. Incontestablement, Hellmann avait quelque chose à révéler à son vieil ami. Des faits suffisamment graves pour que quelqu'un veuille l'empêcher de parler…
La fille du commissaire Moulin est fiancée à un vétérinaire qui milite contre l'expérimentation animale. Ensemble, ils mènent des opérations commando dans les laboratoires de recherche pour libérer les animaux enfermés dans des cages. Au lendemain de l'une de ces descentes, un scientifique est retrouvé assassiné. Les soupçons tombent assez rapidement sur le fiancé, qui peine à justifier son alibi. Le commissaire Moulin, bonne âme, essaie de trier le vrai du faux tout en protégeant sa fille des possibles retombées de l'enquête. Certains indices semblent néanmoins accabler l'amoureux transi. Moulin a toutes les peines du monde pour innocenter le prévenu.
Dans ce nouvel opus du Commissaire Moulin, notre héros va mener de front deux enquêtes. La première, plus banale, où il démantèlera un trafic de drogue sur fond d'histoire passionnelle, la seconde, plus particulière, qui le verra affronter un clan de gitans et les trafiquants d'organes humains, les premiers cherchant les seconds pour venger l'une des leurs, une enfant de 8 ans à qui on a volé un rein. Moulin, comme toujours, fera son job avec passion, d'autant plus que cette histoire lui en rappelle une autre.
Moulin est nerveux : c'est la deuxième fois qu'il intervient sur les lieux d'un drame. Deux jeunes gens sont en effet décédés après avoir utilisé une nouvelle drogue. Le produit est en fait un véritable poison. Moulin avertit son équipe : il faut mettre la main sur les dealers qui revendent la substance. Brisac, un nouveau venu, doit faire partie de la souricière montée par le commissaire. Au cours de l'opération, Brisac meurt. Moulin s'en veut d'avoir conduit au feu un policier inexpérimenté. C'est la première fois qu'il fait face à une telle situation. Son autorité s'en trouve remise en question. Plus jamais le commissaire n'agira de la sorte…
Un braquage minable dans un PMU sans prétention tourne mal. Paniqués, les deux malfaiteurs font feu avant de prendre la fuite. Aussitôt dépêché sur les lieux, le commissaire Moulin ne peut que constater le drame. Il lui faut à présent tenter de retrouver les responsables de ce véritable carnage où Guyomard a été grièvement blessé. Parallèlement, Sam apprend avec effroi qu'un ami journaliste vient de mettre fin à ses jours. La jeune femme est à la fois consternée et intriguée par cette nouvelle. En effet, elle avait vu le défunt le jour même, et celui-ci n'avait manifesté aucun signe de déprime. Sam cherche à comprendre ce geste inexplicable…
Hugo Arragio, voleur de grands chemins, n'en est pas moins largement suivi par les médias qui couvrent chacun de ses larcins. Le brigand au grand cœur n'est pas dénué de charme. Et pourtant, Moulin, qui nourrit quelque sympathie pour ce malfaiteur non violent, lui promet de l'arrêter. C'est bientôt chose faite et Arragio se retrouve derrière les barreaux. Sous une fausse identité, il a en effet été arrêté pour une pécadille. Le commissaire demande alors son transfert dans une prison parisienne. Arragio est maintenant au frais. Lorsqu'il est retrouvé pendu dans sa cellule, Moulin ne parvient pas à croire à la thèse du suicide. Il penche plutôt pour un assassinat savamment préparé…
Alors qu'ils s'apprêtent à monter en voiture, Moulin et Marie se font agresser par une équipe de « tamponneurs ». Marie, sérieusement blessée, doit être conduite aux urgences. Tandis que Moulin attend les résultats des examens, un jeune couple simulant une déclaration de vol braque un commissariat et tue un policier. Ils prennent la fuite et continuent le massacre, tirant sur tout ce qui bouge ! Au terme d'une longue chasse, ils sont enfin interpellés. Moulin est loin de s'imaginer que cette affaire va le mener tout droit en prison en compagnie de Guermeur ! Il faudra la révélation d'un des « tamponneurs » et la complicité de Marie et du directeur du 36 Quai des Orfèvres pour extraire Moulin et Guermeur des griffes d'un juge inflexible… mais heureusement pas irréprochable !
Un tueur en série sévit à Paris depuis quelques semaines. Il a tué d'une balle dans la tête plusieurs hommes durant leur sommeil, et Moulin se retrouve chargé du dossier. Or le commissaire a des problèmes, il s'est séparé de sa femme il y a peu et un médecin de la police prétend avoir détecté chez lui un alcoolisme important, et cela alors qu'il déteste l'alcool ! Moulin se retrouve donc chez le psychiatre mais le commissaire doit mettre ses problèmes en veilleuse s'il veut arrêter le massacre causé par le tueur. Une piste mène bientôt à une agence matrimoniale fréquentée par les deux dernières victimes.
à la suite d'un manquement aux règles de sécurité lors d'une séance de tir de son ami Frank Pelletier, Moulin vide le chargeur de l'arme de ce dernier. En rentrant chez lui accompagné de Pelletier, il remarque une voiture de police suspecte garée devant une villa cossue. Il téléphone à ses collègues pour leur demander d'effectuer des recherches concernant cette voiture et apprend ainsi qu'elle a été volée. Le commissaire est alors convaincu qu'il se trouve face à un coup effectué par des malfrats appelés « saucissonneurs », qui s'introduisent chez les gens en se faisant passer pour des officiers de police. Moulin intervient d'urgence dans la villa, après avoir appelé des renforts. Hélas, Pelletier est abattu. Le commissaire se voit alors accablé de reproches, et l'avocat véreux du tueur parvient à faire libérer ce dernier. Moulin promet à la veuve de Pelletier de châtier le criminel…
Le commissaire Moulin et Marie visitent le jardin des Plantes. Soudain, ils aperçoivent une mère de famille complètement affolée. Celle-ci est à la recherche de son fils de quatre ans, Kevin, qui vient d'échapper à sa vigilance. Moulin tente de la calmer et lance un appel micro mais personne ne semble l'avoir vu. Le commissaire prend les choses en main et demande au responsable de la sécurité de bloquer toutes les issues et de filtrer la sortie des visiteurs. Kevin est retrouvé mais le ravisseur s'évanouit dans la nature…
Le commissaire Moulin parvient à arrêter Bronivsky, un tueur en série. Lors du procès, l'accusé finit par avouer ses meurtres, à l'exception de celui d'une jeune femme prénommée Béatrice. Moulin ne croit rien de ces déclarations mais l'avocate du tueur dispose d'un argument imparable : Brovnisky était hospitalisé à l'autre bout de la France lorsque Béatrice a été tuée. Le commissaire est forcé de s'incliner devant cet alibi incontestable. Il reçoit alors la visite de madame Lenormand, la mère de la jeune défunte, qui veut à tout prix connaître la vérité. Touché par sa détresse, Moulin accepte de reprendre l'enquête mais le meurtre a été commis deux ans plus tôt, ce qui complique ses recherches…
Le commissaire Moulin est sur les dents : un déséquilibré tue des passants, au hasard, sans mobile apparent. Le sniper est un ancien tireur d'élite de l'armée, un homme frustré d'avoir dû mettre un terme à sa carrière à la suite d'une grave blessure à la main. Durant plusieurs années, il a armé le bras de son fils, lui apprenant à manier fusils et pistolets. Aujourd'hui, c'est ce dernier qui accomplit la sinistre besogne, allongé à l'arrière d'un break dans lequel une ouverture discrète a été aménagée derrière la plaque d'immatriculation. Le père et le fils se baladent en voiture et, au gré de leur errance, choisissent des inconnus, que le fils tue sans état d'âme…
Hiver 2004. Patrick Klotz, condamné à 20 ans pour trois braquages, partage sa cellule avec Pierre Sébastian. Il simule une crise cardiaque après avoir avalé des cachets. L'ambulance qui l'amène à l'hôpital est attaquée par des complices, permettant son évasion. Quant à Pierre Sébastian, condamné pour des meurtres de femmes, il est libéré après neuf ans à la suite de l'avis favorable d'un psychiatre. Patrick Klotz est repris lors du braquage d'une bijouterie et apprend au commissaire Moulin que Pierre Sébastian veut se venger de lui. Moulin est convaincu que Pierre Sébastian n'est pas guéri et va récidiver…
Alors qu'un dangereux braqueur multirécidiviste, William Terrano, sort de prison, Moulin découvre une impressionnante planque d'armes dans un parking. Le lendemain, un braquage est commis dans une banque. Consternation, Moulin découvre sur la vidéo de surveillance que Marie fait partie des braqueurs! Marie s'est-elle acoquinée à une bande de voyous ou opère-t-elle contrainte et forcée ? Moulin va rapidement se rendre compte que sa fille a été enlevée! Discrédité auprès de sa hiérarchie, et fou de rage, il va mener son enquête et découvrir que le trafic d'armes et l'enlèvement de sa fille sont étroitement liés. Ce trait d'union se nomme Terrano, une vieille connaissance du Commissaire Moulin. Jugeant ce dernier responsable de la mort de sa femme qui s'interposait entre eux lors de son arrestation, Terrano murît sa vengeance depuis dix ans. Il veut que Moulin assiste à l'assassinat de sa propre fille et endure le même calvaire que lui. Le destin va en décider autrement…
Le commissaire Moulin et le commandant Carella, son collègue de la BRI, arrêtent un dangereux gang de braqueurs qui s'apprêtait à attaquer un fourgon de convoyage de fonds. Le chef de la bande, Jo Roussel, est lourdement condamné. Cette arrestation se fête en famille car Carella est le frère de Sophie, la compagne du commissaire Moulin. Quelques jours plus tard, un diamantaire est braqué chez lui pendant une transaction. Les premiers indices laissent penser que Carella se trouvait sur les lieux…
Alors qu'il tente de découvrir qui a tué une adolescente dont le corps a été retrouvé à moitié immergé dans un étang du bois de Vincennes, le commissaire Moulin est appelé d'urgence pour un enlèvement. Déborah Guersant, 17 ans, a été enlevée sur le chemin de son lycée. Dans son sac, un téléphone portable émet en direct les premiers instants de son enlèvement. Réussissant à localiser l'appareil, Moulin se rend aussitôt sur les lieux mais il arrive trop tard et découvre le corps sans vie de Déborah. Le tueur a employé le même mode opératoire que pour le meurtre du bois de Vincennes…
Une jeune femme est retrouvée morte à son domicile, agressée, semble-t-il, en pleine nuit par deux hommes cagoulés. Étrange coïncidence, elle aurait eu la veille une vive altercation avec deux jeunes délinquants du quartier. Le commissaire Moulin entame son enquête dans l'immeuble et recueille un certain nombre d'informations intéressantes auprès des locataires. L'un d'eux, Vincent Perrin, harcelait la victime dont il était très épris. Quant à sa voisine de palier, Julie Jonquet, elle a déménagé précipitamment le lendemain du crime. Moulin découvre que cette jeune mère célibataire est recherchée pour enlèvement d'enfant : par décision de justice, elle a perdu la garde de son fils, confiée à son ex-mari, un commandant de la Brigade anticriminalité…
Moulin est chargé par le directeur de la P.J. de s'occuper de l'enlèvement de la fille d'un de ses amis, l'industriel Michel Léonard. Pour tenter de retrouver Véronique Léonard, Moulin, aidé de Guermeur et Charlotte, se concentre sur son entourage et celui de son père. Le petit ami de la fille, Frédéric Lopez, a lui aussi disparu. Léonard se prépare à payer la rançon. Pendant ce temps, Guyomard, qui fête son dernier jour avant son départ à la retraite, convainc le commissaire de lui confier l'enquête sur un cadavre retrouvé poignardé dans la Seine. Il accumule rapidement des indices.
Un jeune avocat noir, Jérôme Bonaventure, est interpellé par des policiers alors qu'il roule en scooter sans casque et sur un trottoir. Épileptique, il fait un grave malaise en cellule. Au lieu d'appeler un médecin comme il le demande, le brigadier Fontaine, raciste et violent, l'insulte, le moleste et tente de le coiffer d'un sac plastique. Pelletier, une jeune recrue, finit par tirer un coup de feu et tue Bonaventure. Fontaine et Pelletier affirment qu'il s'agissait de légitime défense. Kevin, un jeune toxicomane tout juste libéré de garde à vue, est témoin de la scène. Il s'enfuit du commissariat mais il est aperçu par le commissaire Gauthier, un raciste militant. Moulin, prévenu par Sophie qui connaissait la victime, arrive d'urgence sur les lieux mais doit laisser l'enquête à l'IGS.