Filmant et commentant les tableaux du peintre Lucian Freud, le petit-fils de Sigmund Freud, disparu le 20 juillet 2011, Hector Obalk fait découvrir une oeuvre surprenante.
Caméra et micro en main, Hector Olbak fait découvrir la vie et l'oeuvre de Jean Auguste Dominique Ingres, qui peignit «La Baigneuse Valpinçon» en 1808.
Pour cette exploration de l’œuvre d'Ingres, Hector Obalk pénètre dans l'atelier du maître, à la rencontre des notables, diplomates, banquiers et autres hauts fonctionnaires zélés qui y posaient volontiers.
La peinture de Titien, "L'Assomption de la Vierge", fait grand bruit lorsqu'elle est révélée aux habitants de la République de Venise, en mars 1518. Le jeune maître y figure une Marie sans auréole et singulièrement "normale" donc profane, «silhouette torsadée» planant au-dessus de douze apôtres, tout à la fois calés et remuants dans le cadre de la toile. Titien rompt avec la raideur de ses prédécesseurs et apporte à l'art de son époque un dynamisme inédit.
Une promenade dans le «Concert champêtre» assortie d'une confrontation entre deux peintres, Giorgione, délicat et profond, et Titien, novateur et spectaculaire.
Le rouge, le rose, le bleu, le vert, l’or et la boue composent la palette de Titien et plus largement de la lumière vénitienne.
Ce volet est consacré aux peintres Lucian Freud, petit-fils de Sigmund Freud, et Titien. À partir de leurs tableaux de nus, le réalisateur analyse la subtile lutte pour le pouvoir qui s'instaure entre le peintre et le modèle au moment de la pose.
Hector Obalk aborde les figures importantes du maniérisme italien du XVIe siècle, avec les chefs-d'oeuvre de Corrège, Andrea del Sarto, Bronzino, Rosso Fiorentino et Primatice.
On dit d'un tableau qu'il est maniériste quand les corps y sont légèrement tordus, ou lorsqu'ils sont vus en contre-plongée : c'est le cas des toiles religieuses du Corrège.
Hector Obalk propose de découvrir trois peintres maniéristes de l'apogée de la Renaissance, obsédés par la beauté dans les moindres détails.
Léda séduite par un cygne, Io par un nuage, Vénus par un satyre, Danaé par une pluie d'or : Corrège s'est inspiré de la vie sexuelle des dieux dans ses derniers tableaux.
L'oeuvre insaisissable d'un peintre florentin fabuleux, révolutionnaire, singulier, incomplet, inégal, mystérieux, énergique et des plus inventifs.
Si Hector Obalk se rend au château de Fontainebleau, reconnaissable à son escalier en fer à cheval, c'est parce que Francesco Primaticcio en assura la décoration.
Une étude de l'oeuvre de Michel-Ange, à travers une réflexion sur sa carrière et sur son obsession pour le corps humain qu'il n'aura cessé d'observer.
Michel-Ange se voit confier la peinture de la chapelle Sixtine aux palais pontificaux du Vatican : cette fresque lui demandera quatre années de travail.
Une plongée dans le fabuleux corpus des dessins de Michel-Ange, une oeuvre graphique qui permet de découvrir les projets contrariés d'un artiste tourmenté.