Commençant son périple chez les Mayas qui consommaient le xocoat, une boisson à base de fèves de cacao, le gourmand Maestro va découvrir comment il a fallu au fil du temps inventer un objet qui puisse rendre le chocolat adoré par le monde entier plus facile à consommer, à transporter et à stocker. Un tour du monde pendant lequel Maestro aura du mal à croquer le moindre carré !
Maestro nous emmène en Chine impériale aux origines du Cuju, l’ancêtre du football, où les ballons utilisés étaient remplis de plumes et de poils. Puis Maestro va rentrer sur le terrain pour montrer l’évolution des ballons qui sont devenus les stars du terrain au même titre que les joueurs, de véritables objets technologiques développés en laboratoire !
Maestro a rendez-vous avec Psi mais trouve son vélo avec les deux pneus à plat ! Il va lui falloir en trouver un autre avant d’aller retrouver son amie. Le Baron Drais lui prêtera sa draisienne, ancêtre de la bicyclette et Michaud sa Michaudine. Essayant tous les modèles, Maestro finira par enfourcher un vélo à assistance électrique pour rejoindre son amie. Est-ce l’avenir du vélo ?
A cause de toilettes publiques occupées, Maestro nous emmène avec lui dans l’histoire des toilettes afin de soulager sa vessie. Depuis les toilettes romaines où tous les utilisateurs étaient réunis dans la même pièce jusqu’aux toilettes modernes à chasse d’eau, Maestro nous montrera qu’après des années d’évolution technologiques, les toilettes du futur ressembleront peut-être aux toilettes primitives : des toilettes sèches qui permettent d’économiser l’eau…
Au musée du Louvre, Maestro admire La Joconde et nous entraîne voir Léonard de Vinci, son auteur, dans son atelier au XVIème siècle. Il y fait la connaissance de Mona Lisa, son modèle, tandis que Léonard lui explique les différentes techniques de peinture : à l’eau, à l’huile, à l’œuf... L’emmenant avec lui à travers les âges, Maestro fera découvrir la peinture en tubes à Léonard de Vinci puis nous apprendra à créer toutes sortes de couleurs à partir des trois couleurs primaires, le rouge, le jaune et le bleu au cours d’une bataille de peinture contre Minus et Teigneux.
Maestro nous emmène sur les traces des ancêtres du livre, depuis les tablettes d’argile mésopotamiennes en passant par les rouleaux égyptiens, pour finalement rendre visite à Gutenberg avant d’être arrêté par un censeur qui confisquent les livres, considérés comme dangereux... Mais les livres papier connaissent à notre époque une autre menace : ils sont mis en péril par les tablettes et autres objets de lecture connectés...
Coupure de courant ! Maestro emmène petit Pierrot et petite Psi dans le Paris du 17ème siècle, quand les seules sources de lumière étaient les lanternes, les bougies et les lampes à huile ! Avec l’arrivée de l’ampoule, c’est toute la société qui change : les heures de travail s’allongent et les rues des grandes villes deviennent plus sûres... Mais au fait, comment ça fonctionne une ampoule ? Maestro miniaturisé se glisse dans l’une d’elle pour expliquer le fonctionnement du culot et du filament. Après l’ampoule à incandescence, viennent l’ampoule néon et la dernière-née... la LED, plus économique et écologique !
En voyant des enfants se disputer un toboggan, Maestro nous explique comment les humains ont copié la nature pour inventer cet objet de loisir. Pour profiter des sensations fortes procurées par la descente d'un toboggan, il en a inventé de toutes sortes et de toutes formes. Maestro devra vaincre ses peurs pour tester le plus grand toboggan du monde ! Mais le toboggan n'est pas seulement un objet ludique, il peut aussi sauver des vies humaines, lors de l'évacuation d'un avion par exemple. Maestro va joindre l'utile au frisson !
Avec deux déménageurs comme Minus et Teigneux dans les jambes, Maestro n’est pas aidé pour nous parler du piano. Heureusement, Pierrot et Pierrette l’aident pour nous montrer l’évolution de ce magnifique instrument polyphonique à cordes frappées... Vous avez dit polyphonique ? Qu’est-ce que cela veut dire ? Attendez, Maestro va vous l’expliquer !
Pour connaître le gagnant d'une partie de billes, Maestro remonte aux origines de la règle jusqu'en Égypte antique où les premiers géomètres utilisaient la corde à treize nœuds pour prendre des mesures. Puis au Moyen-Âge où les bâtisseurs de cathédrale se servaient de la pige pour mesurer leur construction. Mais, entre le pied, le pouce et la palme, les unités de mesure sont trop nombreuses... avant l'invention du mètre, à la révolution Française. Le mètre se décline bientôt en « mètre étalon », puis en règle... devenu l'instrument indispensable de tout écolier.
"Maestro part à la découverte des premières cartes à jouer, originaires de Chine. Puis, d’un pays à l’autre, il découvre que les premiers jeux de cartes sont tous différents, avant que l’essor de la lithographie ne leur fixe des couleurs et des symboles communs. Il doit aussi échapper aux censeurs religieux, aux taxes, aux révolutionnaires qui détestent les rois et les reines et apaiser une dispute entre les anciennes cartes et les cartes modernes, inspirées de personnages fantastiques dotés de super-pouvoirs... Un voyage mouvementé !
Maestro a des invités ce soir et il lui manque une fourchette. Il part à la recherche de la fourchette perdue, mais celle-ci ne cesse d’apparaître et de disparaître au cours des âges. Son usage aussi évolue de bien des manières. Au cours de son périple, Maestro nous fera découvrir qu’il y a plusieurs façons de manger !
Maestro, dont la brosse à dents est usée, nous emmène avec lui sur les traces de cet objet capital pour notre hygiène. Devenu minuscule, Maestro se perd entre les poils de la brosse avant de subir des tests d’implantation de poils dans une usine de fabrication de brosses ! Il nous emmène ensuite à la découverte de l’étonnant arbre à brosse à dents, un arbuste dont les racines permettent de se brosser les dents sans eau ni dentifrice...
Maestro doit renouveler sa carte d'abonnement au musée mais il a oublié la photo d'identité. Le voilà parti en quête d'un photographe quand son image se retrouve en Égypte, au 11ème siècle, projetée à l'envers dans la chambre noire du savant Alhazen. Huit siècles plus tard, Maestro rencontre les véritables précurseurs de la photographie moderne : Nicéphore Niépce, Louis Daguerre, Georges Eastman…Avec eux et bien d'autres, la photographie ne cessera de se perfectionner. En noir et blanc, puis en couleur. Sur plaque de verre puis sur pellicule avant de devenir numérique et d'arriver dans toutes les poches via les smartphones…
Maestro explique à Petite Psi que son jean n’est pas un pantalon comme les autres. Trouvant naissance à Gêne, en Italie, le jean qui est d’abord une matière va traverser les océans pour devenir un vêtement à part entière aux Etats-Unis en 1873. Croisant la route de hippies, de motards et de stars de cinéma, Maestro nous montre comment le jean est devenu un symbole de liberté avant d’être un des vêtements les plus acheté au monde, ce qui n’est pas sans poser de sérieux problèmes environnementaux ...
Maestro dort à la belle étoile, regrettant son bon petit lit douillet. Il nous entraîne dans l'histoire de ce meuble incontournable. Dormir seul, dans un lit, n'a pas toujours été la norme. Au moyen âge, on préférait se serrer à plusieurs dans un lit pour se tenir chaud, même avec des inconnus ! On pouvait aussi y manger, y étudier ou gouverner la France, comme louis XIV à qui Maestro rend une petite visite surprise !
Maestro qui a perdu ses clefs va rendre visite aux différents inventeurs et artisans qui ont fait évoluer cet objet à travers les siècles, depuis les premières clefs à crochets égyptiennes, jusqu'aux étonnantes bagues clefs romaines, ce qui vaudra à Maestro une proposition de mariage qu'il devra éviter en se réfugiant à notre époque où il découvrira que les clefs sont menacées de disparition par les fermetures électroniques…
Maestro et Petite Psi se promènent dans un vide-grenier où la fillette découvre les différents disques musicaux. C'est alors que Petite Psi découvre un CD de l'ancien groupe de Maestro. Emballé, Maestro l'achète et décide d'en faire des copies pour les envoyer à ses amies musiciennes. Maestro explique à Petite Psi les caractéristiques du CD, son invention et sa fabrication. Plus tard, quand Maestro veut envoyer les copies de son CD à ses amies, Petite Psi lui rappelle que c'est bien plus rapide avec Internet !
Maestro emmène petite Psi à travers les âges afin de lui trouver le cartable idéal pour sa première rentrée des classes qu'elle appréhende beaucoup… Au 18e siècle, le mot " cartable" désigne un carton pour ranger des cartes et au début du 19e siècle, les enfants n'ont pas encore de vrais cartables… Mais à partir de 1882, Maestro et petite Psi commencent à avoir du choix : randoseru japonais, cartables en cuir, en plastique, à roulettes et même connectés ! Même Maestro a envie d'avoir un cartable maintenant !
Lors d'une balade avec ses amis, Maestro découvre les joies de la trottinette. Essayant de maitriser l'engin, Maestro part à la découverte des différents modèles de cet objet qui a d'abord été un jouet avant de devenir un véritable moyen de locomotion. Une histoire à roulettes qui emmène Maestro en patrouille avec les facteurs et les policiers américains dès 1913 puis à la rencontre des suffragettes en Angleterre…
Pierrot a un rendez-vous galant avec Psi...mais il a les lèvres gercées ! Passant des salons de beauté de l’Egypte ou de la Grèce antique aux pharmacies et usines américaines du 20e siècle, Maestro va aider Pierrot à trouver du baume à lèvres. Il nous montrera comment ce baume fait bien plus que graisser nos lèvres et révèle toutes les innovations dont il a fait l’objet ! Au point de devenir un incontournable des skieurs... ou des amoureux !
Pierrette, Clown dans un cirque, brise accidentellement le miroir qui lui servait à se maquiller. Elle a absolument besoin d’un autre miroir et Maestro, malicieux, en profite pour lui en expliquer son fonctionnement. Il l’entraîne alors dans un voyage dans le temps pour lui montrer que l’humain a toujours cherché à connaître son apparence. Pierrette parviendra-t-elle à finir son maquillage de clown avant le début du spectacle ?
En voulant payer un achat sur un site internet, Maestro réalise qu’il a oublié sa carte de paiement au kiosque à journaux. En route pour la récupérer, Maestro s’arrêtera dîner dans un restaurant New- Yorkais en 1950, là où 200 clients privilégiés possédant la carte du « Diners’ club » peuvent payer à crédit pour la première fois. Dans une supérette des années 1970, Maestro nous montrera ensuite l’évolution de la carte de paiement. Toujours plus sécurisée, d’abord grâce à sa bande magnétique puis à sa puce électronique et son code confidentiel à quatre chiffres, invention du loufoque mais génial Roland Moreno ! Après s’être glissé dans un distributeur de billets pour nous expliquer comment on retire des espèces avec une carte de paiement, Maestro récupérera la sienne au kiosque où il pourra payer son journal...sans contact ! La carte de paiement n’a pas fini d’évoluer...
Maestro et Psi sont surpris par une averse. Hélas, ils n’ont pas de parapluie. Maestro entraîne Psi avec lui pour en trouver un. Ils découvrent que l’ombrelle, ancêtre du parapluie, est apparue en Chine il y a plus de 3000 ans. Elle résiste peu à l’eau et sert surtout à protéger du soleil. C’est au 17ème siècle, en Europe, qu’on trouve les premiers parapluies recouverts de toile cirée ! Peu à peu, le parapluie connaît diverses améliorations techniques jusqu’à devenir un objet incontournable et même...un accessoire de mode !
Au parc, Maestro croise la petite Psi qui essaie de dessiner un héros de manga, mais à force de gommer, sa gomme est devenue minuscule ! Maestro lui propose d’aller en acheter une nouvelle et en profite pour l’emmener au Moyen-Âge dans un atelier de copistes, qui utilisent un grattoir pour effacer leurs fautes. Leur chemin se poursuit en Amazonie où, il y a plus de 2000 ans, les Indiens découvrent le latex. Des siècles plus tard, Edward Nairne découvrira qu’il est idéalement adapté à l’effacement de l’encre ! Aujourd’hui, la gomme est indispensable pour tous les écoliers... mais aussi dans les ateliers d’artistes ! Psi adore le voyage et a même une nouvelle idée pour son héros de manga... Merci Maestro !
Dans un parc, Maestro récupère un ours en peluche oublié par sa jeune propriétaire. Il en profite pour nous raconter l'origine de ce jouet issu de l'observation naturelle de l'animal sauvage qui fascine petits et grands et dont le nom Américain « Teddy bear » vient du Président Roosevelt lui-même ! La légende de l'un des jouets les plus célèbres au monde est née...
Minus et Teigneux volent les clefs de Psi mais les deux maladroits les font tomber sous une grille d’égouts ! Impossible de les récupérer sauf avec un aimant capable d’attirer tout ce qui contient du fer… Maestro entraîne Psi à la recherche d’un aimant, lui expliquant au passage le fonctionnement du magnétisme. Alors qu’il lui montre pourquoi un magnet de réfrigérateur n’est aimanté que d’un seul côté, les voleurs surgissent à nouveau. Mal leur en prend, car Maestro possède un aimant ultra puissant...
Croisant petite Psi et petit Pierrot, sucettes à la bouche, Maestro les emmène avec lui dans la jungle à la découverte des primates qui se servent de morceaux de bois pour récolter le miel des ruches : l'ancêtre de la sucette ! Maestro emmène ensuite les enfants chez le confiseur Georges Evrard, inventeur de la sucette \" fer de lance \", un classique encore vendu aujourd'hui… Puis direction l'usine à sucettes pour découvrir comment elles sont fabriquées ! Mais attention, les sucettes sont sucrées : les enfants doivent les consommer avec modération… Et les adultes aussi, n'est-ce pas Maestro ?
Maestro qui adore fabriquer ses propres savonnettes rend visite aux maître-artisans pour comprendre comment améliorer leur élaboration. Il découvre qu'avant d'être associé au produit d'hygiène et de beauté que l'on connait, le savon servait aussi à nettoyer les peaux d'animaux, soigner les maladies de peau, se teindre les cheveux… Puis son voyage l'emmène en pleine révolution française où la guillotine sert (entre autres !) à découper des savons…
Maestro nous montre que l’influence des satellites est tout autour de nous à travers de nombreux objets quotidiens (radio, télévision, ordinateur, téléphone...) avant de nous présenter différents modèles de satellite et leurs diverses utilités, de l’espionnage jusqu’aux prévisions climatiques… Ne reculant devant rien, Maestro file dans l’espace et saute sur un satellite en orbite, découvrant l’embouteillage autour de la Terre causé par le grand nombre d’engins qui y gravite…
Maestro s’est coupé le doigt en épluchant des légumes. A la recherche d’un pansement, il nous conduit en Égypte antique où on soigne les plaies avec de la viande, du miel et des bandelettes ! Pas convaincu, Maestro rencontre Hippocrate puis un médecin de Napoléon qui cherchent à perfectionner le pansement. En 1920, Maestro fait la connaissance d’une femme au foyer dont la maladresse est à l’origine du pansement industriel ! C’est un peu grâce à elle que Maestro pourra faire soigner son doigt dans une pharmacie en apprenant les bons gestes…
Psi marche pieds nus au bord de l’eau, ses chaussures à la main. Minus et Teigneux la bousculent et font tomber ses sneakers dans la rivière. Voilà qui mérite une bonne leçon ! Maestro entraîne Minus et Teigneux dans le passé où ils découvrent l’utilité des chaussures pour se protéger du froid ou des brûlures. Les deux affreux se retrouvent affublés de chaussures de toutes les époques à leurs pieds : de la poulaine pointue du moyen-âge aux chopines vénitiennes, aux talons hauts de 50 centimètres…
Maestro a sa cuisine encombrée de sacs poubelles car c’est la grève du ramassage des ordures. Une bonne occasion de nous montrer à quel point il est désormais impossible de se passer de poubelle. Au Moyen-âge, Maestro nous montre comment les ordures jonchaient les rues. Il faudra attendre 1883 et le préfet parisien Eugène Poubelle pour voir enfin des contenants et des services publics dédiés aux ordures ! De quoi assurer aujourd’hui la propreté des villes !
En essayant de méditer au parc, Maestro est dérangé par le vacarme de petit Minus et petit Teigneux qui répètent leur chanson pour la fête de l’école… Petit Minus joue même tellement fort qu’il casse une corde de sa guitare ! Maestro propose de les accompagner au magasin de musique pour en racheter… Mais avant, il les conduit en Mésopotamie découvrir le « tambûr », l’un des ancêtres de la guitare. Puis, direction l’Espagne et l’atelier du luthier Antonio de Torres, le grand maître de la guitare classique avant d’arriver sur une scène de concert pour découvrir la guitare électrique, yeah !
Maestro nous démontre que bien ou mal voir pouvait, à la préhistoire, être question de vie ou de mort. Il se lance ensuite sur les traces du premier traité d’optique voyageant d’Orient en Occident avant de rencontrer les moines copistes qui se servent de verres pour leur travail. Il devra ensuite arbitrer un conflit entre plusieurs artisans italiens, tous revendiquant l’origine des lunettes modernes. Mais cela n’est rien en comparaison de la terrible lutte que se livrent désormais les lunettes et les opérations au laser…
Maestro s’est égaré en Égypte antique et il aimerait en profiter pour envoyer une carte postale à son amie Pierrette. Mais il n’a pas le moindre stylo bille dans sa barbe, et ce n’est pas le scribe de Cléopâtre qui va lui en prêter un ! Maestro remonte alors le temps pour nous faire découvrir comment nous sommes passés de la plume d’oie au stylo à plume jusqu’au stylo à bille qui permet d’écrire sans faire de tâches ni de pâtés et qu’on n’a pas besoin de tremper dans l’encre ! Il va pouvoir en envoyer des cartes postales!
Invité chez Psi et Pierrot, Maestro s’amuse avec leur bébé jusqu’au moment où il est temps de changer la couche ! Maestro admire l’ingéniosité de cette couche jetable si pratique avant de tenter de la jeter à la poubelle comme un ballon de basket. Mais ratant son tir, il l’envoie à la Préhistoire ! L’occasion pour Maestro de découvrir qu’avant cette invention révolutionnaire, les bébés étaient maintenus au propre dans des couches en tissu qu’il fallait laver. Quelle corvée ! Néanmoins, moins polluantes, elles pourraient redevenir un modèle d’avenir…
Psi et Teigneux sont en finale d’une émission musicale qui distingue la plus belle voix. Voyant que Psi a des fortes chances de l’emporter, Teigneux sabote son microphone. Peu importe ! Maestro s’empresse d’aller lui en chercher un autre. On le retrouve au 19ème siècle, où il découvre le mégaphone, ancêtre du micro. Mais c’est grâce à d’autres grandes inventions, comme le téléphone ou le cinéma, que le micro se développe réellement. Après avoir essayé le micro statique puis le micro dynamique, Maestro opte pour le micro-cravate, idéal pour la voix cristalline de Psi…
Maestro veut faire le portrait de Psi mais celle-ci n’a pas le temps. Il nous raconte alors la passionnante histoire du crayon à travers les âges depuis la préhistoire jusqu’à nos jours en rencontrant chaque fois la Psi de l’époque. Mais impossible de faire son portrait jusqu’au moment où il décide de la dessiner de mémoire…
Maestro, grand couturier d’un jour, nous présente sa collection de pantalons. Pierrot, journaliste, l’interviewe : non, le pantalon n’a pas toujours eu la forme qu’on lui connait aujourd’hui. Maestro nous fait découvrir sa drôle d’ histoire et nous raconte le combat des femmes qu’il leur a fallu mener pour le porter à leur guise.
Pour l’anniversaire de leur papa, Petite Psi et Petit Pierrot concoctent un gâteau au chocolat, avec l’aide de Maestro. Mais au moment de peser la farine, Maestro se souvient qu’il a prêté sa balance. Il file en chercher une autre à travers le temps. D’abord en Egypte, il y a 7 000 ans ! Puis en Italie où la balance romaine envahit les étals, grâce à son système de contrepoids. Au 17ème siècle, la « balance Roberval » devient l’instrument de pesage le plus utilisé jusqu’au 20ème siècle. C’est une balance automatique qui permet enfin à Maestro de peser sa farine…
Maestro, invité à une soirée importante, ne parvient pas à se débarrasser d’un épi récalcitrant. Et il n’a pas de brosse à cheveux sur lui. Il file en chercher une. On découvre alors que l’Homme s’occupe de ses cheveux depuis la préhistoire, avec un peigne. Bien plus tard, au 15ème siècle, la brosse à cheveux fait son apparition. Mais c’est au 19ème siècle que Mason Pearson invente la brosse à cheveux à coussin de caoutchouc. Puis Lyda Newman, une jeune afro-américaine, met au point la première brosse pour cheveux crépus. Maestro parvient enfin à se débarrasser de son épi et peut participer à sa soirée… où il remporte un prix inattendu.
Maestro a reçu une chaise en kit mais impossible de la monter correctement ! Le voici avec un meuble informe qui ressemble à un gros insecte ! Il décide d’aller chercher un autre modèle mais il n’est pas au bout de sa peine. Chassé d’Egypte antique après s’être assis sur la chaise d’un Pharaon ou enrôlé dans une usine de fabrication de chaises à la chaine, Maestro découvrira que les fonctions attribuées aux chaises ont grandement varié selon les pays et les époques.
Minus, le voisin de Maestro, sonne à sa porte pour lui emprunter une paire de ciseaux… mais le voilà malgré lui embarqué à rebrousse temps à la découverte des origines de cet objet du quotidien. En Egypte antique d’abord, où les forces servent à tondre les moutons, puis dans la Rome du 2ème siècle où les paires de ciseaux à lames croisées ressemblent déjà beaucoup à celles d’aujourd’hui. Au 18ème siècle, Maestro échappera de peu à Robert Hinchliffe, l’inventeur des ciseaux modernes, qui voulait lui tailler le poil ! Mais pas Minus qui, de retour au 21ème siècle, découvrira à ses dépens que la paire de ciseaux possède de très nombreuses formes pour de très nombreux usages…
Maestro veut offrir une gourde originale à Psi qui part en randonnée. Des grottes préhistoriques jusqu’aux plages de notre époque, Maestro remonte la trace de cet objet qui permettait aux humains de transporter liquides, potions et autres denrées fluides. Aujourd'hui, la gourde est devenue un objet "incontournable" qui permet de boire partout où l'on se déplace et éviter d’acheter des bouteilles en plastiques très polluantes.
En route pour la piscine, Maestro s’égare au 17ème siècle où il nous apprend que jusqu’à cette époque on se baignait tout nus et sans complexe ! Quelques années plus tard, c’est l’inverse : pour se baigner, il faut être habillé de la tête aux pieds ! Au fil de ses pérégrinations dans le temps, Maestro va voir le maillot de bain bousculer les conventions et raccourcir progressivement jusqu’à devenir tout petit-riquiqui…puis, par une étonnante pirouette, redevenir plus couvrant à la fin du 20ème siècle…
Psi s’entraîne pour participer à un concours de skateboard. Hélas, un concurrent malhonnête se débrouille pour casser son skate. Maestro entraîne Psi avec lui aux USA pour en trouver un autre. Ils découvrent que le skateboard a été inventé par des surfeurs californiens qui ne pouvaient pas surfer, faute de vagues... En fixant des roues de patins à roulettes sur un planche en bois, ils inventent le skateboard ! Un loisir qui deviendra très populaire et bientôt un sport inscrit aux Jeux Oympiques !
En courant, Maestro s’est foulé la cheville et il a besoin d’un fauteuil roulant pour se déplacer ! Il déboule en Chine où les meubles à roulettes sont apparus il y a plus de 3000 ans. Au fil du temps, le fauteuil roulant connaît plusieurs améliorations jusqu’au 19ème siècle où l’anneau de poussée est inventé. Une invention importante qui permet de se déplacer tout seul. Puis arrive enfin le fauteuil électrique ! Maestro va peut-être même pouvoir reprendre le sport avec !
Maestro veut vendre tout le bric à brac qui encombre son grenier. Voulant calculer combien tout ça pourrait rapporter, il part à la recherche d’une calculatrice. Au cours de son voyage, Maestro nous apprendra qu’il y a 7000 ans, en Mésopotamie, on comptait avec des petits objets d’argile : les calculis ! Il passera ensuite par la Chine où l’on calcule depuis des siècles avec des bouliers, avant de rencontrer le Français Blaise Pascal, inventeur de la première machine à calculer mécanique ! Invention qui ne cessera de s’améliorer au fil des années jusqu’à l’arrivée des calculateurs électroniques géants de la NASA …dont la miniaturisation permettra de mettre une calculatrice dans tous les cartables, puis dans toutes les poches…
En attendant le bus, Maestro se fait survoler par un avion télécommandé piloté par la petite Pierrette. Maestro décide de lui conter la grande histoire de l’aviation. Ce sont les frères Wright qui réussissent les premiers à faire décoller un avion à moteur en 1903 avant que les exploits ne s’enchaînent : Louis Blériot traverse la Manche et Charles Lindberg l’Atlantique… En 1939, l’hélice est remplacée par le moteur à réaction ! Le problème aujourd’hui est que les avions, devenus trop nombreux, émettent des gaz à effet de serre qui contribuent au dérèglement climatique.
Le cordage de sa raquette de tennis est cassé. Maestro part à la recherche d’une raquette de rechange et nous emmène dans une abbaye du moyen âge où des moines jouent au jeu de paume en se revoyant une balle avec la main. Bientôt, la main sera munie d’un gant, puis d’un battoir et enfin d’une raquette ! Un vrai succès, même chez les rois de France ! La raquette de tennis ne va cesser d’évoluer au fil du temps pour devenir un objet de haute technologie et Maestro va les essayer toutes…
Maestro se retrouve place de la Concorde au milieu d’un cadran solaire géant dont l’Obélisque du Louxor sert de gnonom : à l’origine, c’est l’observation directe du soleil qui permet de connaître l’heure. Maestro part en quête des cadrans solaires portatifs puis des horloges mécaniques qui donneront naissance aux horloges portatives et aux montres à gousset avant l’invention de la montre bracelet…Puis Maestro revient à notre époque où les montres modernes sont de plus en plus concurrencées par les Smartphones qui, eux aussi, donnent l’heure...
Maestro et Psi font une virée en voiture quand soudain, panne d’essence ! Maestro s’éloigne à la recherche d’une station-service mais il se retrouve en 1770 en train de piloter bien malgré lui l’ancêtre de l’automobile qui va bien moins vite qu’un cheval ! Puis, poursuivant Minus et Teigneux qui se sont emparés des dernières bouteilles d’essence, le voici tour à tour à bord d’un tricycle à moteur puis d’une Panhard & Levassor de course avant de terminer son périple dans une mini voiture électrique…
Psi et Maestro sont venus voir « Les Aventures de Barbe Blanche » au cinéma. Fasciné par cet écran géant capable de diffuser une image nette grâce à une technologie de pointe, Maestro ne peut s’empêcher d’aller l’admirer de plus près avant de disparaitre derrière l’écran ! Le voici projeté sur toutes sortes d’écrans depuis l’invention des frères Lumière jusqu’au Cinema Led screen ultra moderne. Mais il est loin d’imaginer ce qui l’attend. Piégé en plein duel dans un western, entraîné dans une course poursuite pour échapper à un brigand, il se pourrait bien qu’il rate le début du film !
Maestro souhaite acheter un billet de tombola à 3 euros mais, n’ayant qu’un billet de 10 sur lui, il part en quête de monnaie…et déboule aux îles Maldives, 3000 ans en arrière, où l’on fait du commerce en troquant des coquillages : les cauris. Pour trouver de la monnaie, Maestro devra pousser sa quête plus loin et croisera le riche et célèbre roi Crésus qui fait frapper ses pièces d’or à la main. Il fera ensuite un détour par l’Allemagne du 16ème siècle, là où les monnaies sont frappées à l’aide d’un énorme balancier, avant de revenir au 21ème siècle, en France, dans l’usine où un milliard et demi de pièces de monnaies sont fabriquées chaque année...
Batterie de téléphone déchargée ! Sans moyen de prévenir qu’il sera en retard, Maestro presse le pas pour aller à son rendez-vous et, en chemin, nous fait découvrir l’ancêtre du téléphone : un jouet à fil pour enfants. Au 19ème siècle, le voilà témoin d’un vol de brevet et d’une querelle d’inventeurs qui revendiquent tous la paternité du téléphone. De retour au 21ème siècle, Maestro plonge à l’intérieur d’un smartphone, déambulant parmi ses nombreuses applis. Une vraie révolution ! Mais le succès planétaire du téléphone mobile crée aussi de nouveaux problèmes d’addiction et une pollution incontrôlable…
A la recherche de la pièce manquante de son puzzle, Maestro s’égare dans l’antiquité où son vieux copain Archimède vient d’inventer le Loculus, le premier puzzle connu. Après un détour par la Chine où il nous fait découvrir le Tangram, Maestro revient en Angleterre au 17ème siècle où la mode est aux cartes du monde découpées destinées à apprendre la géographie. C’est le début d’une passion partagée par petits et grands qui ne se démentira pas jusqu’à nos jours …
Maestro évite de peu deux jeunes cyclistes qui roulent sans casque de protection. Il leur dresse l'historique du casque conçu d'abord pour protéger la tête des guerriers et soldats, puis celle des ouvriers et professionnels, des pilotes et des sportifs. Les casques de protection n'ont cessé d'évoluer au fil des siècles pour s'adapter aux activités humaines toujours plus nombreuses et plus dangereuses.
Maestro n’a plus de place sur la porte de son réfrigérateur. C’est qu’avant d’être un joli présentoir à cartes postales, le réfrigérateur est une merveilleuse machine qui permet de conserver les aliments. Comment faisait-on avant son invention ? On descendait de la glace des montagnes… que l’on stockait dans des glacières ! Heureusement, Maestro nous présente les nombreux inventeurs qui ont œuvré pour donner naissance au premier réfrigérateur. Un objet qui cache un petit secret dans son fonctionnement : il ne produit pas du froid, il évacue de la chaleur !
Loin des masques de fêtes d’anniversaire, Maestro nous fait découvrir les masques d'hygiène que portaient les ouvriers des mines Romaines en l'an 1 pour se protéger des poussières. Au moyen-âge, pendant l’épidémie de peste, les masques avec leurs longs becs d’oiseaux étaient censés protéger les médecins du « mauvais air ».... Plus tard, les masques d’hygiène prouveront leur efficacité face aux maladies et virus dont la covid 19… Une promenade à haut risque pour Maestro !
La montre de Maestro sonne : il est convoqué par double zéro, le patron des services secrets. Une paroi dans son salon coulisse et révèle une base secrète… où différentes colles sont mises au point ! Mais Minus et Teigneux, en agents ennemis, tentent d’enlever Maestro alors qu’il explique aux techniciens de la base comment une colle fonctionne et quelles en sont les différents types ! Il est incollable sur ces questions ! L’agent Maestro parviendra-t-il à se débarrasser des deux espions ennemis ? Bien sûr, même s’il doit utiliser la colle la plus forte du monde !
Maestro et Psi ont hâte de faire du sport devant l’émission « Gym Energie » à la TV. Hélas, la télécommande est cassée. Peu importe ! Maestro file en chercher une autre. On le retrouve au 20ème siècle, en compagnie d’inventeurs comme Nikola Tesla ou Torres-Quevodo qui inventent des télécommandes fonctionnant via des ondes radio. Mais c’est en 1950 que la première télécommande pour la télévision est inventée : la Lazy Bones, rapidement supplantée par la Flash-Matic puis la Space-command ! En 1980, apparaît une télécommande révolutionnaire, fonctionnant grâce aux rayonnements infrarouges. Maestro arrivera-t-il à temps pour son cours de gym ?
Petite Pierrette à le bras dans le plâtre. Venu lui rendre visite à l’hôpital, Maestro s’éclipse afin de nous faire découvrir comment est née cette brillante invention. D’abord attelles de bois peu pratiques puis mélange à base de blanc d’œuf , ce n’est qu’au XIXème siècle que les bandelettes de plâtre et la résine feront leur apparition. Maestro assistera même des médecins en train de réaliser un plâtre à l’aide d’une imprimante 3D…
Maestro se réjouit de partir à la mer mais, à l’aéroport, une caméra thermique lui détecte de la fièvre et on lui interdit l’accès à l’avion ! Pour prouver qu’il n’est pas malade, Maestro décide d’aller prendre sa température… chez son ami le médecin Hippocrate en -400 ! Mais sans instrument de mesure, son diagnostic est approximatif. Maestro suit alors l’évolution des échelles pour mesurer la température et des thermomètres médicaux. Mais tous les modèles, de 1870 à nos jours, indiquent qu’il a de la fièvre ! Les vacances de Maestro semblent compromises, à moins que…
En taxi, en calèche ou à vélo, Maestro va de feux verts en feux rouges et remonte le temps pour nous raconter l’origine des feux de circulation. D’abord simples panneaux de bois, puis installations sonores, ils deviendront lumineux au 20ème siècle et Maestro nous expliquera le choix de leurs trois couleurs : rouge, orange, vert. Au fil de son voyage, il croisera aussi un feu qui parle aux malvoyants, un feu rouge « intelligent » qui envoie une contravention à celui qui le grille et même un feu de circulation pour les chameaux !
Pour son anniversaire, Maestro offre un télescope à petite Psi et remonte le temps avec elle à la découverte des origines de cet objet qui ne cesse d’améliorer la compréhension que nous avons de l’univers. Au 17ème siècle, ils rencontreront un opticien Hollandais inventeur du premier objet destiné à voir de loin : la longue vue ! Invention qui, amélioré par le fameux astronome Galilée, permettra pour la première fois d’observer des astres invisibles à l’œil nu. Perfectionné encore par le non moins fameux Issac Newton, le télescope sera bientôt prêt à partir dans l’espace ! Petite Psi et Maestro ne manqueront pas d’aller admirer le célèbre télescope Hubble…
Maestro va déjeuner au restaurant mais découvre que la spécialité du lieu est le petit plat surgelé réchauffé au four à micro-ondes… Pire, Minus et Teigneux, les gérants de l’établissement, ne savent même pas comment l’utiliser ! S’il veut manger chaud, Maestro va devoir leur apprendre tous les secrets du four à micro-ondes. De quelle façon réchauffe t’il les aliments ? Maestro et les deux apprentis restaurateurs assisteront à sa découverte accidentelle, en 1946, alors que l’Américain Percy Spencer travaillait sur un modèle de radar ! D’abord objet de luxe, le four à micro-ondes entrera bientôt dans toutes les cuisines contribuant à de nouveaux modes de consommation…
Maestro va participer à un casting de film. En route, il nous conte l’histoire de la caméra, objet sans lequel le cinéma n’existerait pas ! Mais le voilà coincé dans un zootrope, un jouet optique du 19ème siècle fonctionnant sur l’effet phi : cette impression de mouvement que perçoit l’œil et le cerveau quand des images défilent très rapidement ! Sorti de là, Maestro rencontrera l’américain Thomas Edison qui invente le kinétoscope : la toute première caméra ! Maestro aura ensuite l’honneur de jouer dans un film des frères Lumière, précurseurs du cinéma, avant de poursuivre sa route, de film en film, au gré des améliorations de la caméra : sonore dans les années 1920, vidéo dans les années 1980, numérique et dans tous les smartphones au début du 21ème siècle…
Maestro va aider Psi à faire son devoir de technologie consacré à l’ordinateur. Pour cela, il l’emmène avec lui à Lyon, au 19ème siècle, où Joseph Marie Jacquard a mis au point le métier à tisser mécanique programmable, considéré comme l’ancêtre de l’ordinateur. Leur périple les conduira ensuite aux USA, en 1946, à la découverte de l’ENIAC, le premier ordinateur électronique du monde, un mastodonte un peu encombrant…de 30 tonnes ! Heureusement, dans les années 1970, l’invention du microprocesseur permettra de miniaturiser la puissance de calcul de l’ENIAC dans une toute petite puce et permettra l’avènement de l’informatique au bureau et à la maison ! Il ne restera plus à Maestro et à Psi qu’à plonger au cœur même d’un ordinateur pour en comprendre le fonctionnement…
Psi et Pierrot préparent leur mariage mais ils ont égaré les anneaux qu’ils doivent s’échanger ! Maestro veut aider Pierrot à en retrouver de nouveaux et l’entraîne à la préhistoire où les bagues en ivoire de mammouth sont déjà utilisées. Dans l’antiquité, les sceaux portés au doigts servent à signer des documents importants ! Au moyen-âge, porter des bagues à tous les doigts était monnaie courante et à la Renaissance, les Borgia se font une spécialité des bagues contenant du poison ! Aucune des bagues vues ne convenant à Pierrot, Maestro le conduit dans un musée imaginaire de la bague où il trouvera forcément son bonheur…
Maestro s’est inscrit à une course de drones mais son petit aéronef à hélices s’échappe par la fenêtre ouverte ! Maestro file à sa poursuite et se retrouve aux USA en pleine première guerre mondiale où il assiste à la démonstration du Kettering bug : une arme de guerre qui est aussi le premier drone de l’histoire. Retrouvant la trace de son drone, Maestro se miniaturise pour grimper dessus comme sur un cheval de rodéo ! C’est le début d’un formidable voyage à la découverte des drones en tous genres et leurs très nombreuses applications : cinéma, agriculture, spectacle, sécurité…entre autres ! Maestro arrivera-t-il à temps pour participer à la course ?
Maestro, petit Pierrot et petite Pierrette terminent un beau gâteau pour l’anniversaire surprise de Psi… Mais ils ont oublié les bougies ! Maestro et la fillette ont encore le temps d’aller en chercher ! Mais avant, isl font un petit détour par l’Égypte antique où est née l’ancêtre de la bougie : la « chandelle de suif ». Utilisée jusqu’au Moyen-Âge, elle dégage une affreuse odeur et n’éclaire pas très bien… Problèmes résolus avec l’arrivée de la bougie à la cire d’abeille. Enfin, en 1823, la bougie « stéarique » – nom de la bougie actuelle – permet d’obtenir un éclairage de meilleure qualité, sans odeur et à moindre coût…
Maestro visite une exposition de photographies prises à travers l’oculaire d’un microscope et remonte le temps à l’origine de cet instrument indispensable pour observer le très petit. D’abord au 11ème siècle, en Égypte, chez le savant arabe Alhazen qui vient d’inventer la loupe ! Son périple le conduit ensuite d’Italie en Hollande en passant par l’Angleterre à la rencontre des scientifiques du 17ème siècle qui, grâce aux premiers microscopes, découvrent la nature du vivant invisible à l’œil nu. Miniaturisé sur un microscope optique géant, Maestro nous en expliquera tous les secrets avant de devenir encore plus petit qu’une bactérie, observé à son tour à travers l’écran d’ordinateur d’un microscope électronique...
"Pas de chance, la télévision de Pierrette et sa fille est en panne le soir de la finale du 100 mètres. Maestro les invite toutes les deux chez lui ! Il regardera son émission préférée en replay. Après tout, la télévision sert aussi bien à informer et éduquer qu’à distraire. Il en profite pour expliquer le fonctionnement et le principe de la télévision à petite Pierrette mais aussi ses nombreux progrès depuis la première utilisation du tube cathodique en 1907. Grâce à Maestro, petite Pierrette assiste au couronnement de la Reine d’Angleterre en 1953 et aux premiers pas de l’homme sur la Lune en 1969. Quelle merveilleuse invention !
En se baladant au parc, Maestro croise des enfants qui écoutent de la musique sur leur enceinte portable. Ah la magie de l’enceinte audio ! Maestro remonte jusqu’en 1878 où Thomas Edison présente son invention à l’Exposition universelle de Paris : le phonographe, dont le son sort par le « pavillon ». L’ancêtre de l’enceinte… que les deux chercheurs américains Edward W. Kellogg et Chester W. Rice améliorent en 1924 pour créer leur modèle de haut-parleur, avec amplificateur : le « Radiola Model 104 ». Et hop ! Maestro se miniaturise pour explorer le fonctionnement d’une enceinte acoustique…
Maestro et Psi sont opposés à Teigneux et Minus lors d’une course d’orientation. Mais Teigneux et Minus volent la boussole de Maestro et Psi ! Qu’importe ! Ces derniers partent à la recherche d’une autre boussole en Chine ancienne, où ils découvrent une étonnante « louche » magnétique, indiquant le Sud. Au 14ème siècle, les voilà sur un bateau vénitien où ils découvrent la « boussola »… mais toujours pas de vraie boussole sous la main ! Heureusement, Maestro sait fabriquer une boussole artisanale…
Deux voleurs, Minus et Teigneux, viennent trouver Maestro avec la carte d’un vieux temple Inca oublié. Ils comptent sur lui pour les aider à la décrypter. Ce dernier embarque les deux voleurs dans une aventure qui leur fera rencontrer Ptolémée, le savant Grec de l’antiquité, inventeur de la géographie, et Gérard Mercator au XVIème siècle dont on utilise toujours les parallèles et les méridiens. Après bien des aventures, nos deux voleurs auront une bien mauvaise surprise en découvrant où Maestro les mène grâce à leur carte volée !
Maestro accompagne la petite Psi pour son premier voyage en TGV. Et pour que le voyage lui semble moins long, il propose de lui raconter l’histoire du train. Direction l’Angleterre… où l’on trouve les premiers rails en bois sur lesquels de petits wagons sont tirés par des chevaux. Puis en 1804, la première machine à vapeur construite au Pays de Galles par Richard Trevithick… Mais au fait, comment ça marche une locomotive à vapeur ? Maestro embarque la fillette dans la « Rocket » inventée par George Stephenson pour suivre le parcours de la vapeur jusque dans les pistons qui permettent de faire avancer les roues… En 1900, le train devient électrique, donc moins polluant ! Et les records de vitesse se succèdent avec le Shikansen, le TGV et le plus rapide de tous : le « Transrapide de Shangaï » !