Dans les pornos au Japon, les sexes sont floutés ou pixelisés car jugés obscènes. Un paradoxe immense quand on voit la place de la culture cul chez les nippons. L’artiste japonaise Megumi Igarashi a fait les frais de cette contradiction et s’est retrouvée en prison pour avoir fait de l’art à partir d’un moulage de sa vulve. Elvire et Sarah sont parties à la rencontre de cette artiste qui a fait de son sexe un outil artistique et d’émancipation féminine et ont atterri à Kawasaki où se déroule chaque année un festival dédié... au phallus bien sûr !