Le soir du 30 septembre 1966, les eaux du Saint-Laurent surprirent la drague Manseau 101 et les 23 membres de son équipage. Dix marins furent emportés dans les profondeurs. Six dépouilles de ces naufragés reposent toujours dans le fond du fleuve. Le chasseur d’épave Samuel Côté et son équipe partent à la rencontre des survivants du naufrage pour entendre le récit du tragique événement. Ils se donnent comme mission de rapporter des images pour honorer la mémoire des naufragés.
Samuel et son équipe de chasseurs d'épaves tentent une deuxième plongée à Québec sur la drague de la Manseau 101. Cette fois, leur but sera de remonter à la surface un souvenir en mémoire des naufragés. Le fils du capitaine de la drague, René Labarre, prend place à bord du bateau pour l’expédition. Malgré les mauvaises conditions météorologiques, l’équipe devra localiser l’épave et mener à terme leur mission à travers les eaux imprévisibles du Saint-Laurent.
Réputé pour être un vrai cimetière marin, Samuel et son équipe se rendent au large du Bic, dans la région du Bas-Saint-Laurent pour identifier une épave inconnue. On dit qu’il s’agirait de celle de Lina Gagné, un caboteur coulé en 1938 suite à une collision avec un gros cargo, le Manchester Regiment. Samuel a des doutes sur cette hypothèse et veut confirmer que l’information est erronée. La tâche sera parsemée d’embuches, les plongeurs ramèneront-ils assez d’indices pour aider Samuel?
L’enquête pour retrouver l’épave de la Lina Gagné se poursuit. Après avoir plongé dans la région du Bic, Samuel et sa gang tentent leur chance à Rimouski pour être les premiers à découvrir l’épave. En 1938, le Lina Gagné, un caboteur, percute le Manchester Regiment, un grand navire anglais transatlantique. Il dérivera quelques heures avant de couler. Grâce à une équipe spécialisée dans la cartographie marine, il est désormais possible de trouver la position de l’épave. Seront-ils les premiers à poser leur regard sur cette épave?
En 1779, le Viper, un navire militaire anglais, heurte un récif lors d’une tempête et s’échoue en Gaspésie. Il est le seul navire militaire présent sur le Saint-Laurent pour protéger un convoi de navires. Proche du rivage à Tourelle, plusieurs canons ont été repérés, mais on ignore le positionnement de ces vestiges de cette époque. L’équipe des chasseurs est sur place pour confirmer l’identité du Viper. Cette mission s’avère difficile avec les récifs et les vagues pour la plongée.
Samuel et son équipe remontent le temps jusqu’à la Bataille du St-Laurent. Ils recherchent le Frederika Lensen, un navire marchand torpillé par un sous-marin allemand pendant la Seconde Guerre mondiale. Leur mission est de retrouver la dépouille du marin Robert Spence afin d'aider sa fille Maureen Hall à faire son deuil. Samuel se lance dans d'intenses recherches dans les archives et sur le terrain, mais plus de 70 ans après le tragique naufrage, les indices sont rares.
Au printemps 1882, un incendie à bord du Progress coûte la vie à trois marins. Parti de Rivière-du-Loup, le navire sombre dans les abysses du fleuve Saint-Laurent, entre l’île Verte et l’île Rouge. Cette épave jusqu'alors inexplorée ne fut jamais identifiée. Le défi pour Samuel et son équipe est de localiser avec précision le navire. Entre les eaux troubles du Saint-Laurent et ses courants imprévisibles, les travaux des chasseurs d’épaves se compliquent considérablement.
Cap-Chat est reconnu pour être un lieu à naufrages par tous marins avertis. On dit que la région est baignée par le brouillard environ 100 jours par année. Impossible de déterminer combien de navires y ont connu un destin tragique. Et très peu d’entre eux ont été documentés à l’époque. Samuel et son équipe explorent les fonds marins à la recherche des vestiges du Delta. Le défi va être de différencier les pièces provenant du Delta ou d’autres épaves.
Samuel et ses plongeurs d’expérience s’en vont à Québec visiter une épave jusqu’alors inexplorée. Découverte dans le port de Québec par les autorités maritimes en 2012, ce navire serait un vestige du XIXe siècle. Les courants et la faible visibilité dans le port de Québec se révèlent être tout un défi pour nos chasseurs d’épaves. C’est au fil des recherches et des plongées que Samuel souhaite mettre un nom sur ce bateau, tout en continuant l’exploration du fleuve Saint-Laurent.
De retour dans le port de Québec, Samuel et les chasseurs vont découvrir ce vestige de la fin du XIXe siècle. Riche en surprises et en découvertes, nos chasseurs remontent à la surface des fragments ainsi que des objets permettant l’identification du navire. Entre fausses pistes et grandes découvertes, nos chasseurs d’épaves ne sont pas au bout de leurs surprises. Le bateau gisant au fond de l’eau serait le Waterloo appartenant à la famille Molson.
Lors de ses recherches, Sam a découvert sur une carte de 1879 l’existence d’une épave près du quai de la Reine, dans le port de Québec. Malgré les plongés réalisées avec son équipe, aucune identification d’épave n’a pu être conclue. Sam tente de prouver qu’il s’agit du Waterloo, un bateau ayant appartenu à la famille Molson. Cette fois-ci, il travaille par déduction en espérant ne rien trouver sur le lieu du naufrage du Waterloo, augmentant ainsi ses chances de l’identifier à Québec.
Une rumeur court depuis des décennies dans le patelin de Sam : une mystérieuse épave dont on aurait perdu la tracese trouverait au large de Sainte-Flavie. En compagnie du CIDCO, spécialiste en cartographie océanique, Érik et Sam confirment qu’il y a bien une épave près de Sainte-Flavie. Deux plongées sont faites. Si la première se révèle difficile, la deuxième réserve une surprise qui permettra possiblement à Sam de résoudre un mystère qui remonte à son enfance.
Sam retourne sur les lieux du naufrage d’une goélette, au large du Bic. Il a précédemment cru que cette épave était la Saguenay. Or, il découvre sur un blogue anonyme qu’on y trouve des artéfacts datant de 1850, 75 ans avant le naufrage de la Saguenay, des données confirmées par Érik l’archéologue. L’équipe tente donc de mettre une page d’histoire à jour. Leur défi : entrer dans la partie tout à l’avant du bateau – une zone difficile d’accès où les pilleurs n’ont probablement pas pu se rendre.
Sam a souvent entendu parler d’une épave qui se trouverait sous celle du Germanicus. Le Bic est reconnu pour ces nombreux naufrages : ses paysages sont majestueux, mais cachent de grands dangers marins. La rumeur veut que l’épave soit le Blenheim, mais Sam en doute et tente de rétablir la vérité. L’épave est profonde, le courant est fort et la mer pleine de récifs, il fait donc appel aux meilleurs plongeurs de son équipe pour déterminer de quels matériaux est faite la coque du bateau.
Sam et son équipe se préparent à découvrir l’épave le Montreal à partir de la marina de Cap-Chat. Célèbre drame maritime dans la région, le Montreal n’a pourtant jamais été déclaré au gouvernement et ne figure sur aucune carte officielle. Les plans du bateau sont disparus et il existe très peu d’informations sur son architecture. Sam et l'archéologue Érik Phaneuf ont comme mission de positionner l’épave sur les cartes en tant que site archéologique officiel.
C’est en lisant un article de journal relatant les expéditions d’un plongeur gaspésien que Sam est attiré vers une épave qui lui est inconnue : le Ravenscrag. Il découvre rapidement qu’elle n’a pas coulé dans la Bais-des-Capucins. Sam veut trouver le vrai nom de cette épave. Il fait appel à Alain Therrien, un vieux de la vieille qui en sait long sur les épaves du coin. Nos chasseurs peinent à localiser l’épave en question, mais ne lâchent pas le morceau et tentent d’aller au bout de ce mystère.
Sam et son équipe explorent une zone où quelques débris ont été trouvés dans le passé. L'équipe est déjà venue sur le site une première fois et a observé les débris. Comme c'est une zone où beaucoup de naufrages ont eu lieu, les chances de tomber sur des vestiges sont élevés. Une grande battue est organisée avec 8 plongeurs! Différentes techniques de recherches sont testées et comparées. André-Claude et Mathieu se font une planche de surf sous-marin et Nathalie opte pour le scooter sous-marin.
Sam et son équipe sont à la recherche du Christine, un yacht de luxe supposément coulé tout près de l’Île d’Orléans dans d’obscures circonstances pendant la Première Guerre mondiale. Un mystère entoure cette épave puisqu’une censure imposée par le ministère de la défense a fait en sorte que plus personne ne s’entend sur le lieu de l’échouement. Tout un défi attend les chasseurs d’épaves pour peut-être enfin élucider le mystère datant du début du 20e siècle.
Sam est obnubilé par le mystère entourant l’épave localisée tout près de l’Île d’Orléans. Malgré les plongées précédentes, le dossier n’est toujours pas classé. Accompagné de son équipe de plongeurs, ces derniers doivent recueillir des informations pertinentes pour permettre à Sam de mettre enfin un nom sur ce bateau… que peut bien être cette mystérieuse épave?
Une épave non-identifiée sur les cartes marines et la gravure d'un naufrage célèbre au large de l'île Verte lancent les chasseurs vers la carcasse la plus profonde pour laquelle ils ont eu à plonger. En plus de la grande profondeur, le froid et les courants imprévisibles séparent l'équipe de ce qui pourrait être l'une des plus grandes découvertes de l'histoire maritime du Canada.
De retour à l'île Verte, Sam et les membres de l’équipe veulent approfondir leurs connaissances d’une épave fascinante découverte il y a peu de temps. Au fond de l’eau comme en archives, le navire au passé trouble leur réserve bien des surprises. Une nouvelle expédition sur un bateau qui a marqué tant l'histoire navale canadienne que l'histoire militaire américaine.
Une découverte par des fans de la série remet Samuel et ses comparses sur les traces de l’insaisissable épave du Christine. Pour une seconde fois, l’équipe se rend à l’Île d’Orléans dans l’espoir d’enfin mettre la main sur le mystérieux yacht coulé par un sous-marin allié pendant la Première Guerre mondiale. Les eaux troubles et opaques de cette région mettent toutefois les recherches en péril.
En novembre 1998, le bateau de pêche Brier Mist met le cap vers Rimouski avec un chargement composé de 11 tonnes de pétoncles. Pris dans une tempête, l’esquif sombre au large du Bic, emportant son équipage avec lui. Aujourd’hui, l’épave s’enlise de plus en plus et menace de disparaître. Sam propose à son équipe d’aller faire un dernier portrait de ce lieu de sépulture. Une plongée éprouvante dans cette histoire tragique qui a marqué la région.
Vestige du naufrage le plus meurtrier de l’histoire canadienne, la luxueuse carcasse de l’Empress of Ireland a poursuivi l’hécatombe jusque dans les profondeurs du Saint-Laurent. Les plongeurs se font souvent prendre au piège par l’hypnotisante, mais dangereuse épave et y trouvent la mort. Deux chasseurs vont vivre leur baptême sur l’impératrice du fleuve, aujourd’hui considérée comme un passage obligé de la plongée de haut niveau.
Malgré l’envergure du navire militaire Nipigon, son épave est voisine de la prestigieuse Empress of Ireland et est boudée par les plongeurs. Pourtant, le navire a justement été coulé afin d’en faire un site d’entraînement à l’exploration d’épave. Samuel s’est mis en tête de remettre le site sur la carte, mais pour y parvenir, il devra convaincre tant la population que les membres de sa propre équipe.
En 1942, le Havorn, navire de ravitaillement pour les troupes alliées lors de la Deuxième Guerre mondiale, coule au large de l’Isle-aux-Coudres. Dans le but d’éclaircir les circonstances du naufrage, Samuel entraîne les chasseurs d’épaves dans une aventure dangereuse qui mettra à rude épreuve l’harmonie au sein de l’équipe.
Dans la magnifique région de Charlevoix se trouve la plus grosse épave du Saint-Laurent, celle du Leecliff Hall. Découverte l’an dernier par un groupe de plongeurs, elle demeure méconnue dans l’histoire maritime. Sam et son équipe décident de s’y rendre afin de mieux documenter le titan endormi. Mais avec sa profondeur, ses dimensions pharaoniques et les courants capricieux, la tâche se révélera être une mission périlleuse.