Le chemin de fer arrive à Saint-Libéral. Édouard Vialhe, le grand-père, meurt (1909), ainsi que le mari de Louise, Octave, de maladie. Peu après son retour du service militaire, Pierre-Édouard se brouille avec son père, quitte la ferme et trouve du travail dans la région de Meaux. Léonie Vialhe, la grand-mère, meurt à son tour (1914). La guerre éclate en 1914, Berthe quitte également la ferme en cachette à l’occasion des obsèques du premier villageois tué à la guerre. Pierre-Édouard, rappelé, rencontre à la faveur d’une permission Mathilde, la jeune sœur de son ami Léon Dupeuch et, à la fin du conflit, retourne au pays après avoir frôlé la mort au combat.