Jeanne claque la porte. Iris ne sait pas où aller ; elle sait seulement qu'elle ne peut pas rester. Par réflexe, Iris se rend chez Laurent, un endroit sûr où laisser la poussière retomber. Sûrement, Jeanne ne sera pas fâchée trop longtemps.
Lisa ouvre sa porte toute grande à Iris. Son divan n'est peut être pas plus confortable que celui du bureau, mais il est sans doute plus chaleureux. Pendant une semaine, Iris ferme les yeux sur la réalité que Lisa et l'angelot de son salon n'ont aucun mal à voir.
Laurent accueille Iris au milieu de la nuit. L'arrivée de Loïc donne des envies de bagarres à Iris ; elle en veut à Loïc de prendre sa place, à Laurent de ne pas lui en faire assez et à Jeanne de ne plus lui en faire du tout.
Ash retrouve Iris, mais Iris ne pense qu'à Jeanne. Autour d'un café, Iris trouve l'envie d'être honnête. Un peu trop tard.
Iris se rend à contre-coeur jusque chez sa mère, Sylvie. Là-bas, il n'y a rien à faire, sinon accepter qu'elle a perdu. Iris s'enferme à la fois dans la chambre d'ami.e.s et dans un mutisme qui ne lui ressemble pas.
Iris a trouvé un nouveau chez-elle. Elle repeint les murs en blanc, installe des rideaux translucides, des bibelots. Comme il se doit, elle pend sa crémaillère à grand renfort d'ami.e.s et de champagne.