Les meurtres semblaient suivre une logique imprévisible, mais petit à petit, une hypothèse se dessinait. Le tueur ne semblait pas choisir ses victimes au hasard. Il frappait ceux qui, à un moment donné, avaient cédé à une impulsion, à une action irréfléchie. Le chaos émotionnel était une porte d'entrée pour lui. Il attendait dans l'ombre, observant les désirs et les faiblesses des autres.