Les temps sont durs pour les producteurs de porcs du Québec qui font face à une situation inédite. Alors qu’on martelait depuis la fin des années 90 que le secteur porcin devait croître pour mieux exporter et conquérir des marchés, on incite désormais les producteurs à réduire la taille de leurs troupeaux. Olymel, le joueur le plus influent de l’industrie, impose la décroissance. Des producteurs indépendants, à la croisée des chemins, essaient de sauver leur entreprise.