Santa Barbara, 2005. Michael Jackson est déclaré non coupable de pédophilie. L'auto qui l'emmène file à vive allure vers son sanctuaire isolé de Neverland. Quelques heures plus tard, il part. C'est le début d'un périple de deux ans autour du globe. Il est la plus célèbre vedette pop et il est en exil : un paria, partout où il va. Les occasions où on l'a aperçu étaient de plus en plus inattendues et bizarres : à Dubaï, habillé en musulmane, où on l'a arrêté à l'entrée d'une toilette pour femmes, à Saint-Tropez, vêtu en femme portant un chapeau à grands rebords, et au Japon, à signer des autographes à 6000 $ pièce. Toute sa vie est liée à une image inusitée qui n'est pas nécessairement vraie. Voilà ce que tente d’approfondir l’écrivain et admirateur de Jackson, Jacques Paretti. Ch4