À Palerme, la capitale sicilienne, on estime que 80% des commerces paient cette taxe de protection à la Cosa Nostra. Mais tout ça pourrait bientôt changer. Au cours des dernières années, un groupe de jeunes italiens qui s’est donné comme nom ADDIOPIZZO, adieu au « pizzo » en italien, mène une campagne qui vise à mettre fin à cette extorsion à grande échelle.