Comme plusieurs consommateurs, un couple de la région de Baie-Comeau a signé l’an dernier un contrat pour l’achat d’un véhicule récréatif. Un an plus tard, le véhicule construit aux États-Unis n’a toujours pas traversé la frontière. Et le fabricant a fait bondir le prix d’achat du véhicule de près de 50,000 $. Pourtant il est illégal d’augmenter le prix d’un bien après la signature d’un contrat, selon l’Office de la protection du consommateur. Aussi au programme: Une subvention qui manque de clarté.