L’industrie du petit prêt rapidement accessible est en pleine expansion au pays. Les prêteurs privés répondent au besoin d’un grand nombre de consommateurs dont la réputation de crédit est fragile ou inexistante. Ce que les emprunteurs ne savent pas ou refusent de voir, c’est qu’avec les nombreux frais supplémentaires qu’ils ajoutent au contrat, bon nombre de prêteurs imposent des taux d’intérêt annuels dépassant les 60%, ce qui est illégal au Canada.