Amélie Lemieux rêve d’être mère à nouveau, elle qui a connu l’enfer en 2020. Il lui faut une femme pour porter son bébé.
Le premier transfert d'embryon d'Amélie a été un échec. Elle continue son chemin avec une nouvelle femme porteuse, Anne-Marie, pour qui un nouveau transfert a lieu. On rencontre Patrick et Maxime, les futurs papas qui accompagnent leur femme porteuse, Geneviève, qui est sur le point d'accoucher.
La gestation pour autrui n'est pas illégale, mais elle n'est pas encadrée au Québec. Plusieurs familles se tournent vers l'Ontario.
Un projet de gestation pour autrui est dispendieux. Combien en coûte-t-il aux femmes porteuses et à quoi ont-elles droit?
On découvre le rôle des agences de procréation pour autrui, qui agissent comme pont entre les femmes porteuses et les parents d'intention.
On suit Amélie dans sa procédure d'extraction d'ovules. Une procédure difficile sur le corps et sur le mental de n'importe quelle femme.
On rencontre Ashley qui est femme porteuse pour Éric et Jérôme, un couple français qui a décidé de faire le processus de gestation pour autrui au Canada puisque c'est illégal en France. Des spécialistes mettent en lumière la détresse psychologique qu’engendre l'infertilité ou l'incapacité d'avoir des enfants naturellement.
Nous apprenons ce que disent les études sur les enfants issus de la gestation pour autrui et la compréhension de leur histoire. C'est l'accouchement de Marie-Ève, femme porteuse de Pierre-Luc. Le ministre Jolin-Barrette parle de la réforme du droit de la famille et du projet de loi 2, où il est question de la grossesse pour autrui.
