In Japan zijn er inmiddels anderhalf miljoen particuliere beleggers, 'Mevrouwen Watanábe'. Maar waar er één wint, verliest er per definitie iemand anders. Wie zit er aan de andere kant van je 'trade'?
Les ménagères japonaises en quête de devises : Au Japon, les petites investisseuses sont particulièrement nombreuses. "Planète finance" les appelle "Mme Watanabe". Mme Watanabe est apparue dans les années 90, lorsque de nombreuses investisseuses ont commencé à spéculer sur le marché des devises dans le sillage de la crise boursière. Mais là aussi, le jeu à somme nulle s'applique - là où l'un gagne, un autre perd.
In Japan gibt es besonders viele Kleinanlegerinnen. Planet Finance nennt sie "Mrs. Watanabe". Mrs. Watanabe tauchte in den 90ern auf, als im Zuge der Börsen- und Finanzkrise viele Kleinanlegerinnen anfingen, auf dem Devisenmarkt zu spekulieren. Doch auch hier gilt das Nullsummenspiel - wo einer gewinnt, verliert ein anderer. Wer gewinnt also, wenn Sie verlieren?