Die 83-jährige Jenny Moran wird tot in ihrer Wohnung aufgefunden. Da die Wohnungstür aufgebrochen wurde und die Nachbarin den Verlust eines silbernen Reiseweckers bestätigt, deutet zunächst alles auf einen Raubmord hin. Die Kongolesin Cecile Bakama, die die alte Dame gepflegt hat, gerät ins Visier der Ermittler, als sich herausstellt, dass sie den Wecker an sich genommen und in einem Pfandhaus versetzt hat. Cecile beteuert jedoch ihre Unschuld und lenkt den Verdacht auf Jennys Enkelin Connie, die einen strikten Diätplan für ihre Großmutter aufgestellt hat. Ceciles Aussage deckt sich mit der Obduktion, die einen Tod durch Gewalteinwirkung ausschließt und bestätigt, dass das Opfer verhungert ist.
Following a break-in, a frail, elderly woman is found dead in her flat. DS Brooks and DS Casey suspect a robbery gone wrong and treat it as murder. Tipped off by the victim’s granddaughter, Connie, the investigation turns towards the live-in carer who has gone missing. But the carer, Cecile, claims she was fired because she disobeyed Connie’s instructions not to feed her grandmother. Further investigations throw more suspicion on the granddaughter who is charged. Despite her brief arguing that it is impossible to prove Connie is responsible for her grandmother’s death, Chief Prosecutor Thorne has the bit between his teeth when he tells the jury Connie was the only real family the victim had, and she left her to die.
Personnes âgées, frêle Jenny Moran est retrouvée morte dans son appartement et la police soupçonne d'abord un cambriolage qui a mal tourné. La petite-fille de Jenny Connie dit à Ronnie que Cécile, la gardienne de Jenny, a disparu après avoir volé une horloge, mais Cécile prétend que l'horloge était un cadeau et accuse Connie de la congédier parce qu'elle n'obéit pas à ses instructions et affame Jenny à mort. Elle soutient sa demande avec des instructions écrites. La police découvre que Connie, une faillite potentielle, a hérité de l'appartement de Jenny et qu'elle est accusée de meurtre. Son avocat, Vijay Prasad, soutient que l'accusation est vague et que Connie aurait facilement pu étouffer sa grand-mère si elle le voulait. Puis Connie donne des preuves, indiquant que sa grand-mère souffrait énormément et s'est suicidée pour la libération.