Maurice Agnelet a un alibi pour le week-end de la disparition : il était à Genève avec une autre de ses maîtresses, Françoise. Mais en 2000, pressée par la justice, celle-ci revient sur son témoignage. L’enquête redémarre, 23 ans après les faits, une juge est saisie, Agnelet à nouveau poursuivi. Jugé une première fois en 2006, il est acquitté. En appel, un an plus tard, il est condamné à vingt ans de prison.