Le directeur de l'école a engagé Marianne une jeune psychologue qui s'intéresse aux psychopathologies policières et à Bartoletti. L'inspecteur vit désormais seul avec son fils Nicolas dont il s'occupe avec tendresse, mais il noie son chagrin dans l'alcool. Marianne fait de nombreuses tentatives pour le faire sortir de son personnage de flic désabusé et cynique. De son côté, Pierre entame avec Claire une liaison houleuse qui les mène au bord de la rupture.
Bartoletti est confronté à un événement douloureux : en voulant intervenir lors d'un hold up, son élève préféré a été très gravement blessé. Bartoletti se juge responsable de ce drame : si son élève a agi de façon inconsidérée et maladroite, c'est parce que pense-t-il, il a été "trop mou", "trop gentil" avec lui comme avec les autres élèves. A partir de maintenant, tout va changer. Il va se montrer dur avec eux, il ne leur passera rien. Certes, il se fera détester, mais seul le réultat compte. Et le résultat, c'est de faire d'eux des inspecteurs qui ne se feront pas bêtement assassiner par des petits voyous à la gâchette trop facile. Mais en voyant son père se conduire très durement avec chacun, le petit Nicolas se met à le haïr. Bartoletti essaie d'expliquer son attitude à son fils: en vain... Pendant ce temps, un vieux malfrat décide d'infiltrer l'Ecole de Police pour obtenir tous les renseignements possibles sur les futurs inspecteurs.