Jean-Xavier de Lestrade, réalisateur et scénariste, évoque la force émotionnelle de la narration sérielle. «On s’attache à des personnages, à des gens que l’on a envie de côtoyer dans le quotidien, d’avoir pour ami, pour ennemi. La série donne la latitude de prendre du temps avec les personnages, de les voir vivre, respirer… Il y a une volonté de laisser des petits temps de respiration, de vrais regards entre les personnages, entre les comédiens. »