Le nombre de personnes s’identifiant Métis au Québec a quadruplé entre 2001 et 2016. Une identité souvent affirmée sur la base d’un ancêtre autochtone qui remonte au 17e siècle. Pour des membres des Premières Nations, plusieurs sont des voleurs d’identité qui revendiquent des droits territoriaux par opportunisme. Les Métis au Québec sont-ils des survivants du colonialisme canadien désireux de retrouver leur racines ou des usurpateurs qui cherchent à obtenir des avantages liés à l’identité autochtone ? Une question à laquelle même Ottawa est incapable de répondre.