De plus en plus d’adolescentes choisissent de changer de genre partout dans le monde. Au Québec, le système de santé répond très vite à leurs demandes de transition médicale en prescrivant des bloqueurs, de la testostérone et des mastectomies. Ces jeunes filles présentent souvent plusieurs problèmes de santé mentale et plusieurs se demandent si on se donne le temps d’évaluer tout ce qui se passe dans leur tête. Est-il normal qu’une jeune fille de 14 ans obtienne une prescription de testostérone en quelques minutes? Et que se passe-t-il quand elles changent d’idées?