Die zweite Folge „Der schönste Tag des Präsidenten” erzählt von der schwierigen Reformierung des amerikanischen Gesundheitssystems.
With exclusive interviews from president Obama and his White House team, episode two tells the story of Obama's greatest legacy: healthcare.
When Obama announced his proposals for affordable, accessible healthcare for every American, he sparked a bitter conflict. Within weeks of his launch, members of Congress were confronted by angry 'Tea Party' protesters.
As opposition grew, Obama's top advisers asked him to go for a less ambitious bill - he refused. His chief of staff knocked heads together inside his own party, as Democrats in Congress began to fight amongst themselves. The final battle was over abortion - the Catholic bishops tried to kill the bill. The hero who saved him was Sister Carol Keehan. She mobilised 59,000 US nuns and faced down the bishops to get Obama the votes he needed.
But in the midterm elections, Obama lost more seats in Congress than any president since 1938. The Tea Party now had 60 members and the Republicans would block all his future major reforms.
Yksi Obaman virkakausien vaikeimmista tavoitteista oli taata terveydenhuolto kaikille amerikkalaisille. Kun presidentti julkistaa suunitelmansa, sitä vastustetetaan sekä omassa puolueessa että republikaanien piirissä.
Neuvonantajien suositus on tavoitella vähemmän kunnianhimoista lakialoitetta. Obama kuitenkin pitää päänsä, vaikka saa maksaa uudistuksesta kalliin hinnan.
Acte II : comment le nouveau président, contre l'avis de ses principaux conseillers, a tout risqué pour faire passer sa plus grande réforme, l'"Obamacare", lançant le chantier de l'assurance santé pour tous dès le début de son mandat. Un débat qui a exacerbé les passions américaines et coupé le pays en deux. Le texte est adopté à la Chambre des représentants, largement dominée par les Démocrates. Mais, au Sénat, la bataille est plus rude et Obama est obligé de faire des compromis qui affaiblissent le texte. Après une défaite surprise de la candidate des Démocrates dans le Massachusetts, Obama perd de plus sa courte majorité au Sénat. Il doit persuader Nancy Pelosi, la tenace présidente de la Chambre, d'utiliser toute son ingéniosité pour faire adopter le texte par ses troupes et négocier personnellement avec les députés anti-avortement de leur parti pour éviter une rébellion de dernière minute. Le 21 mars 2010, il réussit là où sept présidents avaient échoué avant lui, mais il en paiera le prix quelques mois plus tard. Aux élections de mi-mandat, il perd plus de sièges qu'aucun autre président depuis 1938, ainsi que le contrôle de la Chambre des représentants. Pendant tout le reste de sa présidence, il ne pourra faire voter aucune de ses grandes réformes par le Congrès.