Alors que le mouvement s’enlise et que les familles, précarisées, épuisées, se disloquent, l’agenda des grévistes se remplit. Une fête dans un bar queer de Lille organisée par d’anciennes copines activistes de Michèle pour remplir les caisses, une nouvelle action en justice orchestrée par Fanny… Problème : elle voudrait être Gisèle Halimi, mais n’a pas plaidé depuis la fac.