Dans cette deuxième partie, Henri Guillemin s'intéresse à la personnalité de Lamartine, dessinée à travers plusieurs moments marquant de sa vie, tels la mort de sa fille, un drame qui modifiera profondement la foi de cet homme croyant. Mais aussi la générosité naturelle de son caractère, ses passions amoureuses, son voyage à Jérusalem…