La technique novatrice a consisté à implanter dans la boîte crânienne quatre cathéters, permettant de perfuser le médicament profondément dans le cerveau, afin de régénérer les cellules neuronales productrices de dopamine. Ce sont ces cellules qui meurent progressivement chez les parkinsoniens, entraînant des symptômes tels que des pertes de motricité et des troubles de la mémoire.