La biodiversité de notre planète est en crise. Les espèces animales et végétales disparaissent à un taux accéléré depuis une centaine d'années, probablement inégalé dans l'histoire de la Terre. Si rien n'est fait pour corriger la situation, certains scientifiques estiment qu'entre le tiers et la moitié de toutes les espèces de la planète pourraient disparaître d'ici la fin du siècle. La série 1000 jours pour la planète offre un constat troublant de l'état de la situation. À travers le périple de l'équipage du voilier océanographique SEDNA IV, la série interpelle le téléspectateur par la force de ses images, souvent belles et spectaculaires, mais aussi dures et brutales. Le combat des scientifiques qui luttent sans relâche pour sauvegarder les espèces de notre planète devient une réelle source d'inspiration pour tous les citoyens du monde. Le dernier épisode se concentre sur certains grands migrateurs océaniques et présente l'une des grandes victoires de l'humanité en matière de conservation : la sauvegarde des baleines à bosse. En République dominicaine, les scientifiques tentent de percer le mystère des routes migratoires de l'espèce. Mais de nouveaux dangers menacent aujourd'hui la santé de nos océans, comme la pollution par le plastique. Au milieu de l'océan Atlantique, un nouveau « continent de plastique » vient d'être découvert. Et dans le Pacifique, des albatros confondent le plastique avec de la nourriture, et nourrissent leurs oisillons avec plus de 5 tonnes de plastique chaque année! Coproduction : Société Radio-Canada, Glacialis, Décennie des Nations Unies pour la biodiversité Producteur de la série : Jean Lemire