Le père de Jean et Suzanne espérait à tort que sa mort allait rapprocher ses enfants; Me Michel Beauchamp relate qu'il est fréquent que le testateur porte des lunettes roses en espérant réconcilier ses proches en rédigeant ses dernières volontés.
Âgée de 75 ans, Diane fait face à un dilemme: accepter ou renoncer à la succession; suite au décès de son mari, son neveu, nommé liquidateur, demande à Diane de lui faire confiance pour régler rapidement l'héritage; un rôle d'une haute importance.
Deux frères engagent des recours sans fin pour la répartition des legs de leur mère; ils se disputent le partage du moindre objet et contestent la légitimité des montants reçus par l'autre alors que leur mère était encore vivante.
Nommée liquidatrice par le défunt, elle n'a pas donné suite aux demandes du testament; les experts instruisent sur l'importance de cette fonction lors d'une succession et les conséquences considérables liées au mauvais liquidateur.
Lorsqu'un défunt met sur son testament des demandes farfelues, les héritiers écopent; le mari souhaite respecter les volontés de sa femme décédée, mais la notaire explique que plusieurs clauses ne sont pas recevables, comme ce qui est légué au chien.
Lorsqu'une mort accidentelle fait réaliser que la défunte n'avait pas de testament; parce qu'ils n'étaient pas mariés, le couple avait ensemble des acquis qui, en l'absence de testament, reviendront automatiquement aux héritiers légaux.
Une femme en deuil rencontre la notaire avec le testament maison de son mari; on comprend l'importance de la bonne rédaction des demandes dans un testament; pour éviter d'écrire celui-ci à la hâte et ainsi rendre les désirs invalides.