"L’un est brillant, mais dépressif ; l’autre besogneux, mais docile…" Voilà ce qui se disait à propos de Pascal Vito et du docteur Dominique Cosme. Deux hommes qui s’étaient associés à la tête d’un laboratoire d’analyses médicales de Nice… Quand Pascal Vito est retrouvé mort sur son lit, des médicaments dans le sang, les policiers ont conclu au suicide. Jusqu’à ce qu’on découvre que le docteur Cosme avait fait une injection de tranquillisant à son ami. Quelques heures avant sa mort… Il aura fallu du temps, treize ans, pour savoir si Pascal Vito s’est donné la mort ou s’il a été assassiné. Le 28 février 1996, son ex-femme l’a découvert mort, allongé sur son lit, dans l’appartement de fonction du laboratoire d’analyses du Pont Neuf. La chambre était impeccable, le lit pas défait. Sur le corps, aucune trace de coups ni de violence. Seule une note est retrouvée près de lui, quelques mots griffonnés de sa main : Valium, Téralène, Barbi…
"L’un est brillant, mais dépressif ; l’autre besogneux, mais docile…" Voilà ce qui se disait à propos de Pascal Vito et du docteur Dominique Cosme. Deux hommes qui s’étaient associés à la tête d’un laboratoire d’analyses médicales de Nice… Quand Pascal Vito est retrouvé mort sur son lit, des médicaments dans le sang, les policiers ont conclu au suicide. Jusqu’à ce qu’on découvre que le docteur Cosme avait fait une injection de tranquillisant à son ami. Quelques heures avant sa mort… Il aura fallu du temps, treize ans, pour savoir si Pascal Vito s’est donné la mort ou s’il a été assassiné. Le 28 février 1996, son ex-femme l’a découvert mort, allongé sur son lit, dans l’appartement de fonction du laboratoire d’analyses du Pont Neuf. La chambre était impeccable, le lit pas défait. Sur le corps, aucune trace de coups ni de violence. Seule une note est retrouvée près de lui, quelques mots griffonnés de sa main : Valium, Téralène, Barbi…