Antonio Ferrara : blagueur, séducteur… Du haut de ses 1,65 m, l’homme a su séduire les chefs du grand banditisme. Parce qu’on lui prêtait des attaques de fourgon spectaculaires et des qualités d’artificier hors pair, ce délinquant de banlieue a aussi mis les plus grands flics de France à ses trousses. Pour lui, une douzaine d’hommes a pris d’assaut la prison de Fresnes, l’une des plus sûres du pays ! Il a fallu 8 ans, et pas moins de 20 procès pour juger Antonio Ferrara, celui qu’on appelait Nino. Il est 4 heures du matin, le 12 mars 2003, quand la prison de Fresnes entre dans l’histoire pénitentiaire. Ses miradors sont pris d’assaut à l’arme de guerre, une série d’explosions ébranle tout le quartier…
Antonio Ferrara : blagueur, séducteur… Du haut de ses 1,65 m, l’homme a su séduire les chefs du grand banditisme. Parce qu’on lui prêtait des attaques de fourgon spectaculaires et des qualités d’artificier hors pair, ce délinquant de banlieue a aussi mis les plus grands flics de France à ses trousses. Pour lui, une douzaine d’hommes a pris d’assaut la prison de Fresnes, l’une des plus sûres du pays ! Il a fallu 8 ans, et pas moins de 20 procès pour juger Antonio Ferrara, celui qu’on appelait Nino. Il est 4 heures du matin, le 12 mars 2003, quand la prison de Fresnes entre dans l’histoire pénitentiaire. Ses miradors sont pris d’assaut à l’arme de guerre, une série d’explosions ébranle tout le quartier…