Première vidéo de la chaîne. Parlons de ce qu'est la philosophie, de son utilité, de son rapport aux sciences et à la religion. Voilà, voilà... (Et c'est en deux parties parce qu'il y avait beaucoup à dire tout de même.)
Deuxième partie du premier grain de philo. (Oui, c'est un gros grain.) (L'image est loin d'être parfaite du point de vue technique, mais c'est une première vidéo, il faut le temps de se faire la main...) Pour les curieux, un extrait un peu plus long du chapitre XV des Problèmes de philosophie de Russell dont je cite un passage dans la fin de la vidéo : "Comme toute autre discipline, la philosophie vise d'abord à connaître. La connaissance qui est sa visée propre est celle (…) qui résulte d'un examen critique des fondements de nos convictions, préjugés, et croyances. Mais il faut bien reconnaître que dans son effort pour apporter des réponses précises à ces questions, la philosophie n'a pas rencontré un succès considérable. Un mathématicien, un minéralogiste ou un historien, comme n'importe quel homme de sciences, à qui l'on demande quelles vérités déterminées sont reconnues dans la discipline, pourra répondre aussi longuement que vous êtes disposé à l'écouter. Mais posez la même question au philosophe : s'il est de bonne foi, il devra avouer que sa discipline n'est pas parvenue aux résultats positifs qu'on trouve dans les autres sciences. Il est vrai que cet état de choses s'explique en partie ainsi : dès qu'une connaissance bien définie d'un domaine devient possible, ce domaine cesse d'appartenir à la philosophie et devient l'objet d'une science distincte. L'étude des cieux, qui appartient maintenant à l'astronomie, faisait autrefois partie de la philosophie ; le grand ouvrage de Newton avait pour titre : Principes mathématiques de la philosophie naturelle. De même, l'étude de l'esprit humain était une partie de la philosophie : elle s'en est aujourd'hui séparée pour devenir la psychologie scientifique. De sorte que l'incertitude de la philosophie est dans une large mesure plus apparente que réelle : les questions qui ont trouvé une réponse définie sont rangées dans la science, et celles qui restent ouvertes forme
Premier épisode d'une série de 5 sur les rapports esprit/corps. On la joue très classique pour commencer avec Descartes et son doute méthodique !
On sort du doute. On fait son cogito. On prouve que l'esprit est distinct du corps. Voilà, voilà...
Où l'on explique pourquoi il n'est pas plus difficile d'expliquer comment faire bouger un sabre laser à distance que d'expliquer comment remuer son petit doigt.
On essaye d'expliquer l'interaction entre l'esprit et le corps. Du coup, on parle de Mariokart et d'harmonie préétablie. Tout ça fait sens.
Dernier épisode sur l'esprit et la matière. Où l'on voit, pour peu qu'on soit un peu matérialiste, pourquoi les machines pensent aussi bien que nous.
On parle d'un argument frappant de Nick Bostrom qui montre que la probabilité que nous soyons des simulations est plutôt élevée, en fait...
Il paraît que si Dieu n'existe pas, tout est permis. En fait, c'est un peu plus compliqué que ça.
On montre avec Kant pourquoi la religion nous empêche d'être moral. Je sais que je fais un peu dire à Kant ce qu'il ne dit pas... mais ça me paraît quand même assez cohérent avec les prémisses de sa pensée.
Aujourd'hui on voit pourquoi le droit à l'avortement est un sujet complexe...
La Novlangue, c'est doubleplusbon !
Pour en savoir plus sur la loi de Bayes, il y a énormément de ressouces sur Internet et ça peut être difficile de s'y retrouver, donc en voici deux que je trouve particulièrement bonnes et accessibles : - En anglais, ce site est très bien et complet : https://arbital.com/p/bayes_rule/?l=1zq - En français, il y a ces très bons articles du blog de Science étonnante de David Louapre : https://sciencetonnante.wordpress.com... Dans la prochaine vidéo, j'en dirai un peu plus sur les principaux biais qui nous font, trop souvent, mal appliquer la loi de Bayes, et je vais illustrer cela d'exemples concrets (et de schtroumpfs parfois aussi). Bref, on va essayer de devenir un peu plus bayesiens, ça ne fera pas de mal...
Quelques explications supplémentaires concernant la formule présentée à la fin de la vidéo pour calculer rapidement une approximation de P(A|B) (probabilité de A sachant B) dans le cas où B est une preuve de A (au sens où P(B|A) est proche de 1), et où la probabilité a priori de A est faible et nettement plus faible que la probabilité de faux positif. Dans ce cas-là, on a P(A|B) à peu près égal à P(A)/P(B|-A) (c'est-à-dire la probabilité a priori de A divisée par la probabilité de faux positif) Partons de la formulation complète du théorème de Bayes : P(A|B) = P(B|A)P(A)/P(B) B se présente comme une preuve de A. Cela signifie que P(B|A) (probabilité de B sachant A) doit être très élevée, c'est-à-dire presque égale à 1 (sinon on verrait mal en quoi B est une preuve de A). Donc, si P(B|A) est à peu près égale à 1, ça signifie que P(B|A)P(A) est presque égal à P(A). Cela permet d'avoir déjà l'approximation suivante : P(A|B) est à peu près égal à P(A)/P(B). C'est déjà plus simple... Mais comment connaître P(B) ? En fait, on ne connaît jamais directement P(B) ; il faut le calculer de la façon suivante : P(B) = P(B|A)P(A) + P(B|-A)P(-A) (où "-A" signifie que A ne se réalise pas, ce qu'on écrit normalement avec un trait au-dessus de A. Désolé, c'est pas très pratique d'écrire des formules ici...) Là encore, étant donné que P(B|A) est presque égal à 1, du coup P(B|A)P(A) est à peu près égal à P(A), et donc P(B) est à peu près égal à P(A) + P(B|-A)P(-A). Maintenant, supposons que P(A) est faible et beaucoup plus faible que P(B|-A). Cela aura pour conséquence que P(A) + P(B|-A)P(-A) est à peu près égal à P(B|-A). (J'avoue que j'ai un peu la flemme d'expliquer en détail pourquoi mais ceux qui ont suivi le raisonnement jusque là ne devraient pas avoir trop de mal à voir. En gros, P(A) va être négligeable par rapport à P(B|-A)P(-A), et P(B|-A)P(-A) sera à peu près égal à P(B|-A).) Du coup, en ef
Aujourd'hui, on discute d'un passage vertigineux de la Richesse des nations d'Adam Smith, et ça va être chouette. Profitez-en, c'est pas tous les jours Noël : "Observez, dans un pays civilisé et florissant, ce qu’est le mobilier d’un simple journalier ou du dernier des manoeuvres, et vous verrez que le nombre des gens dont l’industrie a concouru pour une part quelconque à lui fournir ce mobilier, est au-delà de tout calcul possible. La veste de laine, par exemple, qui couvre ce journalier, toute grossière qu’elle paraît, est le produit du travail réuni d’une innombrable multitude d’ouvriers. Le berger, celui qui a trié la laine, celui qui l’a peignée ou cardée, le teinturier, le fileur, le tisserand, le foulonnier, celui qui adoucit, chardonne et unit le drap, tous ont mis une portion de leur industrie à l’achèvement de cette oeuvre grossière. Combien, d’ailleurs, n’y a-t-il pas eu de marchands et de voituriers employés à transporter la matière à ces divers ouvriers, qui souvent demeurent dans des endroits distants les uns des autres ! Que de commerce et de navigation mis en mouvement ! Que de constructeurs de vaisseaux, de matelots, d’ouvriers en voiles et en cordages, mis en oeuvre pour opérer le transport des différentes drogues du teinturier, rapportées souvent des extrémités du monde ! Quelle variété de travail aussi pour produire les outils du moindre de ces ouvriers ! Sans parler des machines les plus compliquées, comme le vaisseau du commerçant, le moulin du foulonnier ou même le métier du tisserand, considérons seulement quelle multitude de travaux exige une des machines les plus simples, les ciseaux avec lesquels le berger a coupé la laine. Il faut que le mineur, le constructeur du fourneau où le minerai a été fondu, le bûcheron qui a coupé le bois de la charpente, le charbonnier qui a cuit le charbon consommé à la fonte, le briquetier, le maçon, les ouvriers qui ont construit le fourneau, la co
Aujourd'hui on voit pourquoi, bien souvent, pour coopérer efficacement il vaut mieux qu'on soit tous égoïstes. Plus exactement on va parler de quelques passages d'Adam Smith sur la division du travail, tirés surtout du chapitre 2 du livre I de la Richesse des Nations, et notamment ce passage : "Cette division du travail, de laquelle découlent tant d’avantages, ne doit pas être regardée dans son origine comme l’effet d’une sagesse humaine qui ait prévu et qui ait eu pour but cette opulence générale qui en est le résultat ; elle est la conséquence nécessaire, quoique lente et graduelle, d’un certain penchant naturel à tous les hommes, qui ne se proposent pas des vues d’utilité aussi étendues : c’est le penchant qui les porte à trafiquer, à faire des trocs et des échanges d’une chose pour une autre. (...) Par exemple, dans une tribu de chasseurs ou de bergers, un individu fait des arcs et des flèches avec plus de célérité et d’adresse qu’un autre. Il troquera fréquemment ces objets avec ses compagnons contre du bétail ou du gibier, et il ne tarde pas à s’apercevoir que, par ce moyen, il pourra se procurer plus de bétail et de gibier que s’il allait lui-même à la chasse. Par calcul d’intérêt donc, il fait sa principale occupation des arcs et des flèches, et le voilà devenu une espèce d’armurier. Un autre excelle à bâtir et à couvrir les petites huttes ou cabanes mobiles ; ses voisins prennent l’habitude de l’employer à cette besogne, et de lui donner en récompense du bétail ou du gibier, de sorte qu’à la fin il trouve qu’il est de son intérêt de s’adonner exclusivement à cette besogne et de se faire en quelque sorte charpentier et constructeur. Un troisième devient de la même manière forgeron ou chaudronnier ; un quatrième est le tanneur ou le corroyeur des peaux ou cuirs qui forment le principal revêtement des sauvages. Ainsi, la certitude de pouvoir troquer tout le produit de son trav
13,8 milliards d'années après le Big Bang, tout l'univers est régi par les lois physiques. Tout ? Non ! Une planète peuplée d'irréductibles humains résiste encore et toujours au déterminisme... Grâce à la potion magique concoctée par leurs philosophes : la liberté ! Ou pas.
Qui suis-je et de quoi suis-je responsable ? On en parle avec Locke et Spock. Car parler d'identité personnelle sans parler de téléportation à la Star Trek, ce serait un scandale.
Aujourd'hui, on voit pourquoi, tout compte fait, même si ça ne m'a jamais posé de problème par le passé, je vais plutôt éviter le téléporteur à l'avenir...
Une autre variante, juste pour le plaisir. Vous savez que les règles de politesse vous interdisent de manger le dernier petit four du plateau. Mais ne vous êtes-vous jamais dit que celui qui mange l'AVANT-DERNIER petit four était presque aussi impoli en ceci qu'il mange le dernier petit four que l'on peut manger sans impolitesse ? En un sens, si tout le monde est poli, l'avant-dernier petit four devient virtuellement le dernier petit four. Mais que se passerait-il si l'on ajoutait la règle de politesse suivante : "Il est interdit de manger le dernier petit four que les règles de politesse permettent de manger" ? Je vous laisse le soin de prouver à partir de cette règle qu'il n'est permis de manger AUCUN petit four...
Toujours ce paradoxe et on va presque le résoudre. Sauf que non pas tout à fait. Et je garde le reste pour une autre fois.
Aujourd'hui, on visite Gyeongbokgung et on en profite pour parler du bateau de Thésée et de notre rapport à l'histoire et à la conservation des choses qui en sont les témoins. Faut-il conserver leur forme au détriment de la matière ou leur matière au détriment de la forme ?
Dans une élection démocratique, la préférence de la majorité doit l'emporter. Et dans nos élections, ce n'est presque jamais le cas. Pour le comprendre, parlons un peu du principe de Condorcet !
Pour faire une bonne dissertation, il faut d'abord éviter le pire.
Pour compléter les conseils pour ne pas rater sa dissertation, en voici 5 autres pour éviter le pire sur une explication de texte.
12 000 abonnés ! Bientôt 1 an ! Du coup on se prévoit une petite FAQ pour fêter ça. Par ailleurs, j'ouvre un tipeee et un blog.
Vous aurez compris que la légitimité du vainqueur de Condorcet me tient à cœur ; et pourtant, à la fin de la vidéo, je défends le jugement majoritaire qui n’est pas une méthode de Condorcet : rien ne garantit que le vainqueur de Condorcet emporte l’élection au jugement majoritaire (même si on peut croire que ce mode de scrutin est plutôt favorable au vainqueur de Condorcet quand il y en a un – en tout cas bien plus que nos scrutins classiques, évidemment). Pourquoi n’ai-je pas préféré une véritable méthode de Condorcet ? Et quid du scrutin de Condorcet randomisé ??
Je n'ai pas pu répondre à toutes les questions que je voulais traiter, du coup j'en ai rajouté un peu sur le billet de blog ; allez voir : https://monsieurphi.com/2017/07/10/faq-juillet-2017/
Aujourd'hui on parle d'un des arguments les plus frappants de l'histoire de la pensée économique : la théorie des avantages comparatifs. Mais comme je ne veux pas vraiment vous faire un cours d'économie, je ne vais pas la jouer à la Ricardo en parlant de commerce de draps et de vins entre le Portugal et l'Angleterre, mais plus simplement d'échanges entre individus, et au fond c'est tout aussi intéressant et ça me paraît même plus frappant encore à ce niveau ! Notez que je ne présente pas ces concepts d'avantages comparatif et de coût d'opportunité de façon rigoureuse mais j'espère que ça vous donnera envie d'aller voir plus loin car l'économie, tout de même, c'est passionnant !
Aujourd'hui, on discute du sujet de la prochaine vidéo, et c'est vous qui le choisissez !
Aujourd’hui, on discute de trois idées reçues sur la philosophie.
Aujourd'hui on parle de morale, et on se demande si chacun a la sienne. (Attention aux images d'animaux terrifiants et de pratiques culinaires exotiques...)
Suivez Axiome ! Podcast mathématico-philosophique avec Lê (Science4All)
Toutes ces expériences de pensées sont dérivées du fameux dilemme du tramway décrit pour la première fois par Philippa Foot en 1967 et qui a inspiré des dizaines de variantes et des centaines d'articles ! (Je me suis plus particulièrement inspiré de la variante "du chirurgien" introduite par Judith Jarvis Thomson, la même à qui l'on doit l'argument du violoniste dont je parlais ailleurs...) Les discussions sur ces dilemmes et leurs subtiles variations sont complexes et passionnantes, et j'en parlerai sans doute lorsque je ferai une suite à cet épisode.
Êtes-vous assis sur des électrons ? Si oui, n'est-ce pas surprenant ? Si non, sur quoi donc êtes-vous assis ? En somme, réfléchissons au réalisme scientifique.
Montage d'extraits du dernier épisode d'Axiome où je reviens avec Lê sur nos expériences de pensée morale.
Aujourd'hui, on commence une série sur la démonstration, l'argumentation, la connaissance ; ça va être bien. Si, si.
Aujourd'hui on ne sait plus rien.
Un petit montage d'extraits du troisième épîsode d'Axiome où l'on discute d'un super paradoxe : le paradoxe de Bertrand, ou paradoxe du cube de Van Fraassen. Merci à Lê !
Aujourd'hui on parle d'inconscient cognitif. C'est fou tout ce qu'un cerveau peut voir sans qu'on n'en sache rien...
Aujourd'hui, on parle des fondements de toutes nos connaissances. En toute simplicité.
Aujourd'hui, on parle d'un chef d'oeuvre : les Eléments d'Euclide.
Aujourd'hui, ça y est, on parle du paradoxe de Lewis Carroll. Quand le modus ponens prend les dimensions vertigineuses d'un pont sur l'infini...
... et tout ce qui n'est point vers, est prose.
Loués soient les Féliciteurs qui feront le bonheur de tous ! Ou pas, en fait. Aujourd'hui, donc, il sera question d'une expérience de pensée imaginée par Robert Nozick en 1974 et abondamment discutée depuis.
Aujourd'hui, on voit pourquoi la logique n'a RIEN de "logique". Cet épisode est peut-être un peu plus exigeant que les précédents ; mais c'est le dernier de cette série, promis !
Aujourd'hui, on parle de moi.
Aujourd'hui, on parle de Black Mirror et de Charlie Brooker. Et ça va être sympa.
Aujourd'hui, on parle de la mort. Et ça tombe bien : il paraît que philosopher, c'est apprendre à mourir.
Selon Hawking, la philosophie est morte. Je me permets d'exprimer mon désaccord et j'en profite pour parler plus généralement du rapport des sciences à la philosophie.
Aujourd'hui, c'est le 1er avril, jour des menteurs, et du coup parlons du paradoxe du menteur ! Pourquoi dire que l'on est en train de ne pas dire la vérité pose problème... Ce sera l'occasion de parler d'un des plus grands logiciens du 20e siècle, Alfred Tarski, et de ses travaux sur la vérité ; et aussi d'un des résultats les plus importants en logique mathématique : le théorème d'incomplétude de Gödel. Et quand on croise Tarski et le théorème d'incomplétude, on obtient le théorème d'indéfinissabilité de Tarski. Et c'est chouette, si, si.
Si l'inspiration vous manque ou si vous n'avez aucune idée de ce à quoi ressemble un sujet de dissertation vous pouvez faire un tour par ici : http://coursphilosophie.free.fr/annales/annales_bac.php (J'ai passé le bac en 2004, devinez quel sujet j'ai pris...)
Aujourd’hui, on plonge dans les mystères de la reconnaissance des visages… Voici le lien vers le "Face Memory Test" pour évaluer votre capacité à vous souvenir et reconnaître un visage : http://facememory.psy.uwa.edu.au/ Un bel article pour en apprendre davantage sur le fameux cas de Monsieur Tan-Tan : http://100milliardsdeneurones.blogspot.com.es/2017/02/le-cerveau-de-tantan-dans-les-meandres.html Sur les neurones obsédés par Jennifer Aniston, la vidéo d’Homo Fabulus : https://youtu.be/GZ5sAoB8p2k La chaîne Dans Ton Corps a consacré une vidéo à la prosopagnosie, avec Aude GG : https://youtu.be/zhzGQ3M0DHQ Le phénomène de reconnaissance inconsciente chez les prosopagnosiques est généralement désigné dans la recherche par l’expression "Covert facial recognition" et vous pouvez en apprendre davantage par exemple en lisant l’article Wikipédia consacré à ce phénomène : https://en.wikipedia.org/wiki/Covert_facial_recognition Si vous êtes curieux de lire l’article original de Joseph Capgras dont je montre des extraits (c’est très facile à lire), il est disponible ici : http://www.biusante.parisdescartes.fr/histoire/medica/resultats/?cote=epo1250&do=pdf L’article d’Ellis et Young est disponible ici : https://www.cambridge.org/core/services/aop-cambridge-core/content/view/1054E1FB6F84E7D06608F58A3AEED93E/S0007125000062413a.pdf/accounting_for_delusional_misidentifications.pdf Ce Ted Talk par le neurologue Vilayanur Ramachadran parle, entre autre chose, du syndrome de Capgras : https://www.ted.com/talks/vilayanur_ramachandran_on_your_mind/transcript?language=fr Voilà !