Modèle « naturel » ou maillot brésilien, le torse plutôt Tom Selleck ou Ricky Martin : l’acceptabilité sociale du poil varie énormément selon les époques et les cultures. Aujourd’hui, qu’on se rase pour des raisons religieuses ou aérodynamiques (comme les athlètes !), qu’on se teigne le poil des aisselles en rose pour faire aller notre créativité ou qu’on fantasme sur les barbes de 3 jours, notre rapport au poil est d’abord une affaire de goût et de culture. Et ça, ça ne se discute pas. Dans cette édition du magazine interactif Sexplora, on s’est intéressé aux poils, de la racine à la pointe !