Une femme de Saint-Hubert et son conjoint ont loué un logement, mais les relations avec le propriétaire se sont tellement détériorées qu’elle considère avoir été victime de harcèlement. Elle le poursuit pour 7 000 $. Le défendeur affirme plutôt que la défenderesse et son conjoint étaient des locataires «bougons», qui lui ont fait vivre l’enfer. Il prétend même avoir été victime de menaces de mort. Il réclame à son tour 7 000 $ en compensation pour cette mauvaise expérience.