L’ami de la famille : Un résident de Mont-Tremblant dit qu’il a vendu une automobile à son bon ami et qu’il lui a ensuite prêté de l’argent pour l’aider à se sortir d’une situation précaire. Mais le défendeur n’a pas payé la voiture et a remboursé seulement une partie de sa dette. Le demandeur réclame le solde, qu’il évalue à 4 265 $. Le défendeur conteste ce montant et rétorque qu’il a remboursé une bonne partie de sa dette. L’homme de Vaudreuil-Dorion soutient par ailleurs que l’automobile du demandeur était un citron qui a nécessité des milliers de dollars de réparations. Le Dépôt perdu : Un homme de Magog dit qu’il a versé un dépôt pour l’achat d’une camionnette. Mais comme il n’a pas obtenu son financement à la banque, la transaction a été annulée. Il réclame le remboursement de son dépôt de 500 $. Le défendeur prétend que l’annulation de la transaction lui a fait subir une perte de 1 400 $. Le vendeur de la voiture se considère donc en droit de garder le dépôt et réclame en plus la différence de 900$.