Gazon dangereux : Une femme de Sainte-Julie réclame un dédommagement de 2 000,00 $ pour le non-respect d’un contrat de coupe de gazon, qui lui aurait occasionné du stress et des problèmes de santé, de même qu’à ses enfants. Le défendeur nie toute responsabilité et soutient qu’il a tondu le gazon à une fréquence raisonnable. Il considère que la demanderesse tente de faire de l’argent sur son dos et lui réclame 2 000,00 $ pour atteinte à sa réputation. Relation éphémère : Une jeune femme de Lachine demande 7 000,00 $ pour des meubles, électroménagers et autres articles de maison qu’elle a achetés durant sa cohabitation avec le défendeur. Ce dernier, avec qui la demanderesse n’a vécu que deux mois, affirme avoir signé une entente prévoyant le paiement complet par chèques postdatés et ne comprend pas pourquoi son ex-conjointe ne veut plus respecter cette entente.