Bienvenue dans les coulisses de la lutte professionnelle québécoise, un milieu en pleine effervescence! Découvrez les dessous de cet univers éclaté en compagnie de plusieurs personnages colorés (lutteurs, gérants et promoteurs).
Au fil des différentes époques, au gré des courants sociaux et des modes, la notion de personnage dans la lutte professionnelle a constamment évolué, mais demeure l’un des éléments clés pour susciter l’adhésion du public.
Depuis quelques décennies, les masques sont tombés : c’est maintenant clairement assumé que les matchs de lutte professionnelle sont scénarisés.
À la base d'un combat de lutte professionnelle, il y a d'abord une rivalité. Que celle-ci soit basée sur des motifs farfelus ou sur le désir de deux lutteurs de montrer le meilleur d'eux-mêmes, peu importe.
Est-ce que la lutte professionnelle est un « vrai » sport? Là-dessus, les avis divergent. Impossible, à notre époque, de nier le côté arrangé voire chorégraphié des combats…
Longtemps dénigrée par le public et même interdite dans certains endroits, la lutte professionnelle féminine se porte aujourd'hui beaucoup mieux.
Aucune autre forme d'art ou discipline sportive n'inclut autant son public dans la prestation que la lutte professionnelle. Pour le promoteur et lutteur Steve Boutet, alias Stephen Sullivan, et le lutteur Benjamin Tull.
Le lutteur Marko Estrada s'efforce de renouveler sans cesse ses apparitions devant le public, en mettant la barre de plus en plus haute; pour le gérant de lutteur Claude Malouin la lutte professionnelle est d'abord et avant tout un spectacle.
Alors que jadis certains lutteurs professionnels québécois gagnaient beaucoup d'argent, aujourd'hui il est impossible de vivre de cette discipline au Québec.
Au-delà de l'effervescence qui s'en est emparée depuis quelques années.