Retour sur deux faits divers qui se sont déroulés à Toulouse. Sous le signe du Crime En 2017, à Toulouse, les proches de Cintia, 21 ans, contactent les autorités : sans nouvelle de la jeune-femme depuis quelques jours, ils sont inquiets. Les pompiers décident alors de forcer la porte de son appartement. Au sol, Cintia git dans une mare de sang. Le corps lardéde coups de couteau et recouvert de plaies. Grâce aux traces ADN prélevées sur la scène de crime, les enquêteurs saisis de l’affaire remontent rapidement jusqu´à un certain Jean-François. L’homme de 37 ans est fiché car il a déjà commis un meurtre à Marseille en 2004. En 2008, Jean-François est condamné à 18 ans de réclusion criminelle. Mais en février 2005, il bénéficie d´une libération conditionnelle et pose ses valises à Toulouse. Alors qu´est ce qui a poussé le jeune-homme à commettre une nouvelle fois l’irréparable ? Le violeur au couteau En 2014, une jeune fille est agrippée par un homme alors qu’elle marche dans la rue. Un passant finit par le mettre en fuite. Une semaine plus tard, une autre femme est recueillie, en état de choc, par les policiers toulousains. Elle raconte qu’un homme l’a traînée de force dans un terrain vague avant de la violer, sous la menace d’un couteau. Les enquêteurs font le rapprochement entre les deux crimes. Et l’ADN retrouvé sur les lieux ne va pas tarder à incriminer un homme. Mehdi, 33 ans, est interpellé dans la foulée. Dans un premier temps, Mehdi s’enlise dans ses dénégations, puis commence à accepter sa culpabilité. Pourtant, lors de son procès en octobre 2017, il niera à la barre le troisième viol dont on l’accuse et sera finalement condamné à 20 ans de réclusion criminelle.