Discussion avec monsieur le Duc de Chavignole au Quai d'Orsay. Il lui parle des frais d'entretiens de son château ; François lui annonce son intention de se faire nommer ambassadeur en Kurlande. Chavignole lui passe un film publicitaire qui présente la Kurlande. Sicile du Nord par sa forme, on y parle le français, le climat y est polaire ; on y présente la famille royale, son lien avec Avignon, mais François est distrait quand passe l'image de la princesse Koba. François, aveuglé, n'y voit que du bonheur. Alors que son supérieur lui annonce qu'il n'y a pas de poste au Proche-Orient où il a l'habitude de faire des fouilles, François lui annonce son intention d'aller en Kurlande. Hélas, son supérieur vient de parvenir à placer la Kurlande à ce niais de Dupont-Bridaine. François a alors rendez-vous avec « monsieur » le ministre de la Joie de Vivre, Nicole, qui est aussi amoureuse de François, rencontrée lors de fouilles précédentes. Elle aussi a changé ; comme Caroline, elle est devenue une femme d'action et de pouvoir, et elle veut le faire nommer ministre des Affaires étrangères. Fonsalette et Chavignole convainquent Dupont-Bridaine de renoncer à la Kurlande. Fonsalette pense que cette fois-ci, c'est le grand amour, que Koba, elle, ne changera pas, qu'elle restera la petite orpheline qu'il aime. De son côté, Koba arrive au Palais royal ou elle reprend sa vie de princesse. Elle se fait raconter les potins du palais. Elle arrive à une répétition de la famille royale pour le concert, où l'on fait la connaissance de son grand-père le roi, de son frère le prince Rollon, de ses quatre sœurs et d'un autre jeune prince, Kilpéric, qui a un accent d'Avignon à couper au couteau...