Le petit mot de Gérard Miller : "Lorsque j’ai parlé de la première fois de Platon et de Leibniz avec Jean-Marie Bigard, je me suis dit qu’il devait y avoir erreur sur la personne. Mais lorsqu’il m’a réinterrogé quelques jours plus tard sur leurs oeuvres, en m’affirmant qu’il se faisait fort d’inclure les deux philosophes dans son prochain spectacles, je me suis dit que les voies de l’humour étaient décidement insondables, et que Jean-Marie, en tout cas, ne misait pas sa carrière sur la routine."