Depuis plus de 800 ans, le Louvre, le plus grand des palais d’Europe, est le témoin actif de l’Histoire de France. En 12 journées incontournables, l’Ombre d’un doute dévoile l’épopée prodigieuse de cet illustre musée qui fut forteresse imprenable, palais des Rois de France et même siège du pouvoir impérial. Une histoire inattendue qui nous révèle les secrets étonnants de ses murs, bâtis, transformés, pillés et détruits au grès des grands évènements et des exigences de chaque époque. Dès la Renaissance, en 1527, François Ier s’y installa définitivement avec sa cour. La redoutable forteresse médiévale prit des allures de palais résidentiel et le Louvre devint le lieu du pouvoir. Désormais, c’est ici que les grandes décisions devaient se prendre, parfois dans le plus grand secret comme pour le terrible massacre de la Saint Barthélémy le 24 août 1572 ou l’assassinat de Concino Concini le 24 avril 1617. Qui a pris ces décisions tragiques ? Autant de mystères enfouis dans les enceintes du palais. Un palais qui témoigne encore des fastes du règne de Louis XIV, organisateur de la plus somptueuse des fêtes, le grand Carrousel de 1662. Dans le prolongement du Palais du Louvre, le palais des Tuileries fut le témoin majeur des grands bouleversements de la révolution, de l’incroyable scénario de la fuite de Varennes à la chute épique de Robespierre en passant par la fin de la monarchie. C’est entre le Louvre et les Tuileries que la veille de son sacre, Napoléon Bonaparte dut épouser religieusement Joséphine sous la contrainte du pape ! Et un demi-siècle plus tard, c’est au cours d’un de ses célèbres bals que Napoléon III rencontra sa future maîtresse, la sulfureuse Comtesse de Castiglione, une espionne italienne. Aujourd’hui, le palais des Tuileries n’existe plus, détruit par l’incendie de la Commune de Paris avant d’être rasé par une IIIè République qui ne supportait plus ce symbo
Name | Type | Role | |
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Camille Ménager | Director | ||
Jean-Christophe de Revière | Director | ||
Laurent Thessier | Director |